Médaille militaire

La Médaille militaire était décernée aux adjudants, sous-officiers et militaires du rang pour des actes de bravoure individuels ou associés, sur recommandation d’un commandant en chef sur le terrain.

Artilleur George Wakely Abbot-Smith MM
Les 17 et 18 août 1917. Alors que la batterie du Art ABBOT-SMITH tirait en réponse à un S.O.S. signal et en même temps soumis à un bombardement de gaz lourd et bien dirigé, il a servi son arme jusqu’à ce qu’il soit vaincu par N.C.T. et les vapeurs de gaz. Après avoir été transporté hors de la fosse à canon et ressuscité, il est retourné au canon et a continué jusqu’à ce qu’il soit à nouveau vaincu. C’est en grande partie grâce au magnifique exemple et aux efforts de ce Art que la batterie a pu maintenir tous les canons en action malgré de lourdes pertes.
Sergent Johnston Williams Abraham MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Albert Ahiers MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur William Clifford Ace MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Wheeler Adams MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Signaleur Thomas Wallace Aikins MM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir. Lors de l’attaque du 15 août 1917, le signaleur AIKINS a agi comme serre-file. Les lignes de l’ancienne ligne de front vers l’avant furent rompues à maintes reprises, mais malgré le caractère apparemment désespéré de la tâche, il s’efforça de les réparer avec un mépris total du danger et une détermination tenace, sous un bombardement intense, des tirs de mitrailleuses et de fusils. Son travail admirable a permis d’établir la communication de temps à autre, et a fourni un moyen d’envoyer des messages de la plus haute importance au contrôle de l’artillerie, contribuant ainsi au succès de l’opération sur cette partie du front.
Artilleur Henry Charles Ainger MM
Pour sa bravoure et son dévouement au devoir. Lors de l’attaque de la crête PASSCHENDAELE le 30 octobre 1917, l’artilleur AINGER était l’un des deux signaleurs qui se sont avancés avec le lieutenant Oliver et sont restés toute la nuit à découvert pour être prêts à l’action à l’aube. Tout au long de l’action du 30, grâce à sa persévérance et à son sang-froid, sous un bombardement extrêmement lourd, il permit de maintenir la communication visuelle, fournissant ainsi des informations précieuses à l’artillerie et contribuant au succès de toute l’opération. Sur le chemin du retour, il s’est arrêté avec les autres pour ramasser un blessé au milieu d’un violent barrage, et l’a porté en lieu sûr.
Artilleur William Ballantyne Aitken MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Frederick George Aldridge MM
Pour sa bravoure et son dévouement exemplaire, les 15 et 16 septembre 1916, près de Courcelette, alors qu’il était responsable des transmetteurs de la brigade, pour maintenir les communications entre les Qrts chefs de la brigade et l’officier de liaison du bataillon. Il a travaillé sans relâche pendant toute cette période, et c’est en grande partie grâce à ses efforts que la communication a pu être maintenue. Il a personnellement dirigé la pose et la réparation des câbles, généralement sous le feu des obus, et a montré un magnifique exemple de dévouement au devoir.
Sergent George Burpee Alexander MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Donald Jack Allan MM
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Artilleur James Coleman Allen MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent de batterie Major Sidney Allen MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Alfred James Allinson MM
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Artilleur Alexander Gordon Anderson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Alexander Leslie Anderson MM
Il n’y avait pas de détails sur la carte de citation. Transcription partielle d’autres sources :
Il a fait preuve d’une  » grande bravoure, d’un grand sang-froid et d’un mépris pour sa propre sécurité  » en veillant à ce que ses canons reçoivent les ordres nécessaires pour soutenir avec précision et efficacité l’attaque de l’infanterie sur le Mont Lambert près de Boulogne le 17 septembre. Un rapport sur sa citation indique que pendant le bombardement intensif, le canonnier Anderson a compris l’importance de rétablir la communication radio pour un poste d’observation du champ de bataille. Il est retourné au transporteur de troupes et a écouté le poste radio qui transmettait les ordres de tir. Anderson a reçu ces ordres et les a relayés aux canons sur son poste pour qu’ils les remplissent. Ces tirs de soutien ont permis l’avancée des alliés. La présence d’esprit et la bravoure d’Anderson sous le feu de l’ennemi ont été exemplaires et ont directement contribué à l’important succès de cette attaque.
Caporal Arthur Anderson MM
Pour sa conduite courageuse près de Thiepval, le 3 septembre 1916. Au cours d’un bombardement intense, cette position a été touchée cinq fois, mais le caporal Anderson a maintenu son mortier en action jusqu’à ce que le côté de l’entrepôt de bombes soit détruit et que le canon soit mis hors service. Bien que gravement secoué, le caporal Anderson est resté à sa position jusqu’à ce que son officier de batterie lui ordonne de se rendre au poste de secours le plus proche.
Artilleur Arthur Anderson MM
Dans la nuit du 6 novembre, on a appris que le F.O.O. avait besoin d’un téléphone pour remplacer celui qui avait été détruit. Bien que la nuit soit noire, que la zone soit lourdement bombardée et qu’il n’ait jamais vu le sol auparavant, il se porta volontaire pour faire le voyage, ce qu’il réussit à faire. Il s’est rendu compte qu’un fil était également nécessaire pour rester en contact pendant la nuit. Il s’est à nouveau porté volontaire et a guidé un groupe de transport. Grâce à sa bonne humeur dans les circonstances les plus éprouvantes et à son vif intérêt pour le succès de la communication, il a grandement encouragé tous ceux qui étaient associés à lui, et a permis de maintenir une communication avancée pendant la nuit, alors qu’une contre-attaque était prévue.
Sergent Alexander Davidson Anderson MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables le 5 novembre 1917 pendant les opérations à PASSCHENDAELE. Ce sous-officier était sergent-major adjoint aux canons et, sous un feu nourri d’obus, il se chargea de construire une route vers la position de la batterie. Malgré les obstacles apparemment insurmontables, il a, par son magnifique exemple et son énergie inlassable, fait travailler tous les hommes à un tel rythme que les six canons étaient en position pour fonctionner le 6 novembre. Pour ce faire, il a dû retirer la pièce d’un des chariots qui était embourbée jusqu’aux coupes d’essieu sous un barrage lourd et continu et la tirer en position. Le courage, l’esprit d’initiative et la détermination dont a fait preuve ce sous-officier ont été un excellent exemple pour ses hommes.
Artilleur Alexander Gordon Anderson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur David Elliott Anderson MM
Cet artilleur était de service au téléphone à la position de la batterie près de  » KANSAS CROSS  » le 5 novembre 1917, pendant une attaque sévère de la position avec des obus de 5,9 et 8 pouces. Il resta à son poste pendant toute la durée de l’opération et resta en communication constante avec son commandant de compagnie, relayant les messages importants depuis le poste d’observation. Le mur de sacs de sable de son abri a été enfoncé par un obus. Il s’est extrait, a réparé ses fils et a continué à envoyer des messages.
Artilleur Howard Britton Anderson MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables au cours des opérations à Passchendale. Cet homme faisait office de coursier du QG du groupe aux batteries le 27 octobre 1917. Il devait traverser des tirs d’obus extrêmement violents, à la fois d’artillerie lourde et de gaz, de jour comme de nuit, jusqu’aux positions des batteries, qui étaient fréquemment bombardées, l’aller-retour prenant 4 heures. Cela se produisit quotidiennement jusqu’à la prise de Passchendale le 6 novembre. Le fait que les dépêches n’aient jamais été perdues ou tardives est entièrement dû à son courage et à son dévouement au devoir.
Sergent John Noble Anderson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier James Harman Andrews MM
Le 9 novembre, lors d’un combat près de ST. JULIEN, leur batterie a subi un feu d’obus intense pendant le temps alloué à l’enregistrement. Tout le personnel avait été évacué de la position lorsque cet homme s’est porté volontaire pour s’occuper du canon, et dans des circonstances très éprouvantes, il est passé d’un canon à l’autre jusqu’à ce que l’enregistrement soit terminé. Son grand mépris du danger personnel et son dévouement au devoir ont permis à la batterie d’être enregistrée à temps pour notre attaque du 10. Nov :
Artilleur Joseph Angell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Gordon Apperley MM
Pour sa bravoure et son dévouement près de Courcelette pendant les opérations du 21 octobre 1916. Cet artilleur s’est porté volontaire pour poser une ligne téléphonique entre la tranchée Kenora et la tranchée Regina, sur une distance de 200 mètres en terrain découvert, sous un bombardement très intense. Il a réussi à le faire plus tard. Lorsqu’il n’a pas pu maintenir cette ligne, cet artilleur a volontairement fait de nombreux voyages entre ces deux tranchées pour porter des messages d’extrême urgence.
Bombardier James Henry Apperley MM avec barrette
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir. Cet homme était un préposé aux lignes et, bien que la ligne soit rompue toutes les quelques minutes, il a continuellement patrouillé et réparé les ruptures. C’est grâce au courage, au sang-froid et à la détermination de cet homme que la communication a pu être maintenue tout au long des opérations.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Bombardier William Archer MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables du 16 octobre au 10 novembre 1917 près de ZONNEBEKE. Ce sous-officier était employé comme monteur de batterie. De nombreux canons de la batterie ont été détruits par des tirs d’obus et mis hors service en raison de tirs excessifs. C’est grâce à l’attention inlassable portée jour et nuit à ces canons par cet officier de marine que le plus grand nombre d’entre eux ont pu rester en état de marche. Ce sous-officier a fait preuve d’un mépris total du danger à plusieurs reprises dans cette position en réparant les canons sous le feu. Ses services à la batterie ont été inestimables.
Sergent James Ardern MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Gerald Sarsfield Arkison MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Leslie Armitage MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent William Frederick Armstrong MM
Vers 10 heures, le matin du 6-5-17, un de nos avions R.E. (no 4586), des appareils photographiques, a été vu atterrir derrière notre position de tir à FARBUS, manifestement en détresse. L’ennemi a immédiatement commencé à tirer sur l’avion, qui se trouvait dans une position très exposée. Au mépris de sa propre sécurité, le sergent Armitage s’est précipité à l’endroit où l’avion était tombé et a trouvé le pilote étendu sur le sol, blessé, et l’observateur gravement secoué. Il a pansé les blessures du pilote et les a dégagés de l’avion et du bombardement. Le sergent Armstrong est ensuite retourné à l’avion, qui était toujours sous le feu des obus, et a réussi à détacher l’appareil photo, qui, selon l’observateur, contenait de précieuses photographies de la ligne de front ennemie, et aurait été détruit sans l’intervention rapide du sergent Armitage, car l’ennemi a immédiatement réussi à toucher l’avion de deux coups directs.
Artilleur Thomas (Tom) Armstrong MM
Pour sa bravoure et son dévouement près de Courcelette pendant les opérations du 21 octobre 1916. En raison du nombre de blessés parmi les tireurs, cet homme a maintenu la ligne jusqu’au F.O.O. de la batterie sans aide. Lorsque la tranchée Regina a été prise, avant que l’officier d’observation ne s’y rende, l’artilleur Armstrong a volontairement fait plusieurs voyages depuis la tranchée Regina à travers la campagne sous un feu d’obus extrêmement intense, apportant des informations précieuses au quartier général de la brigade.
Artilleur Thomas Eugene Armstrong MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables au cours des opérations de FRESNOY, les 8 et 9 mai, lorsqu’on a constaté que l’infanterie avait perdu ses communications téléphoniques, les artilleurs T.E. ARMSTRONG et J. THOM, en dépit de l’intensité exceptionnelle des tirs d’obus, ont établi une ligne vers l’avant à partir du canon du tireur d’élite. Bien que cette ligne ait été continuellement coupée par le feu ennemi, ces deux hommes ont réparé les coupures et à aucun moment la communication n’a été perdue pendant plus de quelques minutes. Le grand courage, le sang-froid et l’efficacité dont ont fait preuve ces hommes ont été de la plus haute importance pour l’artillerie et l’infanterie tout au long des opérations.
Artilleur George Frederick Atherton MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Richard Atkin MM
Pour sa conduite courageuse, sa détermination et son contrôle après que son officier ait été blessé et qu’il ait été laissé à la charge d’un groupe, le sergent Atkin, accompagné de feu le lieutenant W.J. Cooper, s’est rendu dans la nuit du 20 mai à la gare ferroviaire de FARBUS pour désamorcer des obusiers allemands 5.9. Le sergent Atkin avait auparavant préparé la position pour le retrait de ces canons. La nuit en question, à environ un demi-mile de la position, le lieutenant Cooper fut tué par un tir d’obus. Le sergent Atkin prit immédiatement en charge le groupe, prit des dispositions pour le retour du corps du lieutenant Cooper aux lignes du D.A.C. et se mit en route avec son détachement pour sortir les canons. L’un des canons a été déplacé sur une courte distance lorsque l’effondrement d’une roue a rendu impossible toute progression. Le sergent Atkin est alors retourné sur place, malgré les tirs d’obus intermittents, et a tenté de retirer un autre canon. Ce n’est qu’après avoir brisé deux jeux de harnais en essayant de le sortir de la fosse à canon que la tentative a été abandonnée. Le sergent Atkin est l’un des sous-officiers les plus efficaces de cette unité et le grand courage et le sang-froid dont il a fait preuve ont constitué un magnifique exemple pour les hommes de sa sous-section.
Artilleur Richard Roy Atkins MM
Le 14 avril, alors qu’il faisait partie d’une équipe de tir dans une position isolée, l’ennemi (au cours d’un bombardement) a frappé directement la position, tuant le sous-officier responsable et un autre homme, et blessant mortellement un troisième. Bien que souffrant des effets de l’explosion, il a pansé le blessé et est resté en service pendant le bombardement, jusqu’à ce qu’il attire l’attention de l’infanterie et envoie un message de demande de renforts au quartier général de sa section, restant seul en service jusqu’à leur arrivée. Il a toujours fait preuve d’une bravoure et d’un dévouement exceptionnels à son devoir.
Sergent Leroy Scott Atkinson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur William Brenton Atwell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Adjudant 2e classe Douglas MacArthur Ault MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Lionel Charles Axton MM
Au poste d’observation de Hambourg pendant les opérations du 26 décembre, avant Passchendale. Pour sa bravoure et son dévouement remarquables en réparant le fil de fer de l’échangeur de Boetoek à l’O.P. Il s’est rendu cinq fois sous un feu d’obus nourri pour réparer le fil qui était le seul moyen de communication entre le Groupe et le F.O.O. La dernière fois, il a été gravement blessé à la main et au bras.
Sergent Edmond Percy Babbitt MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Murray Babin MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Walter Victor Bagg MM
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir le 31 octobre 1917 lors d’opérations sur PASSCHENDAELE. Après que sa section ait subi de lourdes pertes, il a réorganisé les équipages de canons, a mis le canon restant en action et l’a maintenu en action sous de violents bombardements continus, tirant sur S.O.S. appels et fixer des tâches pendant une heure et vingt minutes pendant lesquelles il n’y a pas eu de communication avec la Bde. Plus tard, il a aidé à transporter son commandant de section à un poste de secours à travers un barrage très lourd. Le courage, le sang-froid, la détermination et l’initiative dont fait preuve ce sous-officier. donner un magnifique exemple au reste des hommes.
Artilleur Donald Arthur Baillie MM
Le 9 avril 1917, près d’ECURIE, Art. BAILLIE D. avec deux autres hommes se sont fait remarquer par leur bravoure sous les tirs d’obus lors de la construction d’une route d’artillerie à partir de notre ligne de front vers l’avant. Par leur énergie et leur gaieté, ils ont beaucoup fait pour inspirer leurs camarades et accélérer l’achèvement des travaux.
Sergent James Basil Bailey MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Ernest Baird MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur James Campbell Baird MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Robert Edmund Baldwin MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur William Baldwin MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Cyril Douglas Ball MM
Pour sa bravoure et son dévouement les plus remarquables le 21 août 1917. Avec la Bde ROUTH, il a continué à réparer les ruptures de lignes dans les conditions les plus difficiles. Pendant le reste de leur tour de service de 24 heures, le Art BALL s’est porté volontaire à chaque occasion pour le travail le plus éprouvant et le plus dangereux, afin d’accorder au Bdr ROUTH un court repos. C’est en grande partie grâce au magnifique exemple donné par ce sous-officier. et le travail très galant et consciencieux effectué par Art Ball pour que la communication soit maintenue avec succès.
Caporal Gordon R Ball MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Sydney David Ballard MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur James Henry Bamford MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Louis Sherman Bardy MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Arthur William Barnes MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Bertram Barnes MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent John Alexander Barnhill MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Frederick Bartlett MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Frank Oliver Batstone MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Dominic Batterton MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Frederick Thomas Bean MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Jean Beaulieu MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Charles Lester Beck MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Frank Beckett MM
Dans la nuit du 17 au 18 août 1917, lorsque trois S.O.S. les signaux ont été envoyés en Art. Beckett est resté en service à partir de 17 heures. à 6h du matin patrouillant le fil et le gardant ouvert sous des tirs d’obus nourris. Il a été blessé en début de soirée mais a continué son travail malgré ses blessures. Ce travail a permis à sa brigade de rester au courant des développements à un moment très critique dans un bel exemple de bravoure et de dévouement au devoir.
Artilleur Robert Henry Beckett MM
CRÊTE DE VIMY. Entretenir et réparer les lignes de notre F.O.O. à partir d’un bouchon au large du cratère de Montréal sous un feu d’obus nourri le 5 avril 1917, et pour une bravoure constante à de nombreuses occasions similaires au cours des dix mois que cette batterie a été en action.
Sergent John Albert Beddow MM avec barrette
Pendant l’attaque et la prise de FRESNOY le 3 mai 1917, ce sous-officier était chargé des communications des officiers de liaison entre le quartier général du 2e bataillon d’infanterie canadienne et le quartier général de l’armée. et le Hqrs. Il fit preuve de la plus grande bravoure et de la plus grande habileté, sortant à plusieurs reprises au milieu d’un intense barrage ennemi pour réparer les ruptures dans une ligne échelonnée. En conséquence, la communication n’a été perdue à aucun moment au cours des opérations susmentionnées.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent George Albert Beele MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Frederick Clifford Bell MM
Pour galanterie et dévouement exemplaire au devoir les 5 et 6 novembre : près de PASSCHENDAELE. Cet homme a patrouillé et réparé les câbles sous des tirs d’obus intenses et sur un terrain presque infranchissable permettant de maintenir les communications entre le Bgde O.P. et le Group Hqrs tout au long de l’attaque du 6 novembre :
Artilleur George P Bell MM
En tant que monteur de lignes lors des récentes opérations, il a fait du bon travail avant et pendant l’attaque de VIMY RIGE, aidant à acheminer les câbles jusqu’à la cote 145 et à les maintenir sous le feu des obus. Toujours au même titre sur la Somme, il fait preuve d’une grande bravoure et d’un dévouement au devoir.
Bombardier James Galbraith Bell MM
Près de Courcelette, lors du bombardement des 5-6 octobre 1916, ce sous-officier. a fait preuve du plus grand sang-froid dans l’établissement de la communication entre la tranchée de Hesse et la tranchée de Zollern sous des tirs d’obus et de mitrailleuses extrêmement nourris, et a apporté une aide précieuse à sa brigade.
Artilleur Joseph Jeremiah Bell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent John Reginald Belyea MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Weldon Belyea MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal James Howard Bennett MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur James Thompson Bennett MM
Pour sa grande bravoure et son dévouement au devoir. À trois reprises, alors qu’il travaillait au 2e dépôt canadien de munitions avancées aux TILLEULS, A.5.d.2.6. Feuille 51.B. Art. J.T.Bennett et Art.H.W.Miller sont sortis sous un feu nourri d’obus et ont éteint un tas de munitions enflammées, économisant ainsi des centaines de cartouches à l’armée. La dernière fois, c’était le 28 mai. Ces artilleurs n’ont pas reçu l’ordre de faire ce travail mais l’ont fait sans hésitation par sens du devoir. Trois officiers différents les ont mentionnés pour récompense. Leur exemple a été une source d’inspiration pour tous dans la tâche très éprouvante de gérer un dépôt de munitions dans une zone soumise à des tirs d’obus.
Caporal Robert Carmen Bennett MM
Avec leur batterie F.O.O’s a/Cpl Bennett et Cpl Martin ont établi une ligne téléphonique de LICHFIEL CRATER à VOLKER TUNNELL jusqu’à THELOS MILL pendant les opérations contre la crête de Vimy, le 9 avril 1917. Devançant le bataillon de « nettoyage », ils ont été retenus par une barricade et une mitrailleuse dans le tunnel. Ils ont surmonté cette opposition et après avoir remis 12 prisonniers à l’infanterie, ils ont établi un F.O.O. gare au BOIS GOULOT à temps pour la prochaine attaque. Lorsque leurs lignes étaient sorties, ils ont continué à remonter les informations en temps opportun par coureur, faisant preuve d’initiative, de persévérance et d’une grande bravoure.
Bombardier Roy Allison Bennett MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent William Benson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Albert Berrett MM
Pour bravoure et dévouement remarquables dans la nuit du 24 au 25 juillet 1917. Cet homme faisait partie d’un détachement livrant des munitions lorsque l’ennemi a ouvert un feu nourri sur lui. Dvr. La mule de BERRETTS a été tuée sous lui. Cet homme a aidé à dégager les animaux morts du chemin et à décharger les sept wagons restants, son refroidissement et son courage sous le feu étaient un magnifique exemple pour le reste des hommes sur le détail.
Artilleur Richard Gordon Berridge MM
Pour bravoure ostentatoire et dévouement au devoir le 20 décembre 1916, près de l’Ecurie. Il a maintenu la communication téléphonique jusqu’à ce point malgré un feu nourri de représailles. Cet homme a fait quatre voyages sur le fil dont un seul il a réparé sept ruptures, et sa conduite courageuse était entièrement responsable du maintien de la communication ouverte, permettant ainsi à l’officier observateur d’envoyer de précieux rapports sur le raid. Au cours des opérations de coupe de fil avant l’attaque Art. Berridge a aidé le Cpl Boucher à établir la communication, et c’est grâce à sa diligence et à sa conduite courageuse en aidant à réparer le fil dans des circonstances très difficiles que la communication a été maintenue et que la tâche de coupe du fil a été réalisée avec SUCCÈS.
Artilleur Erin Danby Berry MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables, le 26 septembre 1916, alors qu’il était téléphoniste dans un poste avancé de la tranchée Hesxian et que les lignes étaient coupées, il a ramené des informations précieuses à travers un pays ouvert sous un barrage très lourd. À la même date, alors qu’il retournait à la tranchée d’Hesxian, il portait un bidon d’eau, allant de trou d’obus en trou d’obus auprès d’un grand nombre de blessés que les brancardiers n’avaient pas encore trouvés. Il a accompli cette tâche sous un feu d’armes et de mitrailleuses extrêmement intense.
Artilleur Frank Berry MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Ralph Oliver Berry MM MSM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent suppléant JJ Lucien Berthiaume MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Hubert Arthur Bessent MM avec barrette
Pour un service galant et méritoire. Sous un feu nourri le matin du 9 avril, ce sous-officier. installé une ligne téléphonique vers un poste avancé sur la CRÊTE DE VIMY. La route empruntée a été exposée à des tirs nourris d’obusiers et de canons de campagne, et la ligne a été coupée à plusieurs reprises. Avec beaucoup de persévérance et de dévouement au devoir, le caporal Bessant a patrouillé la ligne, réparant toutes les ruptures et, malgré les tirs nourris, a maintenu la communication tout au long de la journée et de la nuit suivante. Ce sous-officier a été un juge de ligne fidèle et infatigable. Il a fait un travail particulièrement bon à la SOMME et n’a reçu aucun prix auparavant.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent Harry Beveridge MM
Pour sa bravoure et son courage, il a fait preuve de bravoure le 14 novembre 1917. Un obus a atterri sur un gros tas de munitions, provoquant une terrible explosion qui a tué et blessé un grand nombre d’artilleurs, de conducteurs et de chevaux, et a mis le feu à deux camions à moteur, et un gros dépôt de munitions (dans des caisses) sur la route. En entendant des cris de blessés venant des flammes des camions en feu, cet homme a aussitôt couru à la rescousse, tandis que presque tout le monde dans les environs fuyait les obus encore brûlants. Il est entré à plusieurs reprises dans la zone en flammes et a réussi à trouver et à faire sortir six R.F.A. Des artilleurs tous grièvement blessés, et avec leurs vêtements déjà en feu. Il roula les blessés dans la boue pour éteindre les flammes et les emporta hors de la zone dangereuse. Il est ensuite retourné vers les camions toujours en feu et a recherché d’autres hommes vivants parmi les morts. Il n’est pas parti avant d’en avoir reçu l’ordre. Quelques secondes après leur dégagement, un autre tas partit avec une forte explosion, qui aurait sans aucun doute tué à la fois le secouru et le sauveteur s’il l’avait été quelques minutes plus tard.
Artilleur Thomas Ernest Beveridge MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent William Charles Bishop MM
À St Eloi du 4 avril au 1er mai 1916. Dévouement remarquable au devoir et à la bravoure dans le maintien des communications de la batterie avec les tranchées de première ligne et les stations d’observation avancées en continu pendant les opérations de St Eloi ; son sang-froid sous des tirs d’obus très nourris a été d’une grande aide pour la batterie dans le maintien de ses lignes.
Bombardier Alexander Black MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Arthur Blackburn MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent James Balfour Blacklaws MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables au FARBUS le 3 mai, lorsque cette batterie était sous le feu concentré des 5.9 et 4.1, un coup direct a été obtenu sur la position du canon Sgt. Blacklaws, malgré les tirs d’obus extrêmement nourris, organisa une fête pour retirer les blessés, rassembla ce qui restait de son équipe de canonniers et réussit à remettre le canon en action. Ce sous-officier par sa grande démonstration de courage et de sang-froid, il donna un magnifique exemple aux hommes de son détachement.
Sergent maréchal-ferrant Albert Blackley MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Arthur James Blackwell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur George Edward Blackwell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Silas Alexander Blair MM
Le 4 novembre 1917, alors qu’il était en action, l’ennemi a lourdement bombardé la position de la batterie, obtenant un coup direct sur un canon, tuant un homme et blessant le reste de l’équipage de canon, y compris le sergent responsable et en même temps mettant le feu aux charges. . Le sergent Lowe et l’A/Bombardier Blair, bien qu’à une certaine distance, ont quitté leur canon et, malgré tout danger personnel, ont réussi à sauver des flammes les hommes blessés, dont certains étaient inconscients, et à les mettre en lieu sûr. Ils étaient retournés à la fosse et avec un courage et un sang-froid admirables sous les bombardements violents, ils ont éteint le feu. Grâce à leur présence d’esprit et à leur rapidité d’action, la vie des blessés a été sauvée et une explosion a été évitée, ce qui aurait détruit l’obusier et plusieurs centaines de cartouches.
Sergent Herbert George Blazier MM
À Pozières. Pour sa bravoure et son dévouement. Le 15, alors qu’il dirigeait le creusement d’une fosse pour le canon avant. L’ennemi a ouvert un intense barrage de shrapnel, le sergent Blazier a tenté de mettre ses hommes à l’abri, deux d’entre eux ont été blessés. Le sergent Blazier, après avoir mis ses hommes à l’abri, est revenu sous un feu nourri, accompagné de la bombe A Mann, et a ramené un des hommes blessés, les autres ayant été tués, le sergent Blazier a été gravement blessé juste avant d’atteindre le couvert.
Caporal George Boaden MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Albert Heury Boddington MM
Près de Courcelette le 18 novembre 1916. Le sergent Boddington fait preuve d’une grande bravoure et d’un dévouement au devoir lors de la prise de la tranchée de soutien de Desire Sipp. Lorsqu’une ligne téléphonique qui avait été posée à partir de la batterie O.P. après l’avancée de l’infanterie a été coupée de façon irréparable, ce sous-officier. de sa propre initiative, a avancé deux fois sous un feu nourri jusqu’à rapporter des informations opportunes et importantes.
Sergent Frederick James Bolton MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur James Hadley Bonar MM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir lors des opérations sur Passchendaele. Cet homme agissait en tant que coureur du groupe H.Q. aux batteries le 27 octobre 1917. Il a dû traverser des tirs d’obus extrêmement nourris, tant H.E. et du gaz jour et nuit vers les positions de batterie, qui étaient fréquemment bombardées, l’aller-retour prenant 4 heures. Cela a eu lieu quotidiennement jusqu’à la prise de Passchendaele le 6 novembre. Qu’en aucune occasion les dépêches n’aient été perdues ou en retard était entièrement dû à son courage et à son dévouement au devoir.
Artilleur Allan Edwin Bond MM
Les 17/18 août 1917. Alors que la batterie du Art BOND tirait en réponse à un S.O.S. signal et a été en même temps soumis à un bombardement de gaz lourd et bien dirigé, il a servi son arme jusqu’à ce qu’il soit vaincu par N.C.T. et les vapeurs de gaz. Après avoir été transporté hors de la fosse à canon et ressuscité, il est retourné au canon et a continué jusqu’à ce qu’il soit à nouveau vaincu. C’est en grande partie grâce au magnifique exemple et aux efforts de ce Art que la batterie a pu maintenir tous les canons en action malgré de lourdes pertes.
Bombardier Cecil George Hulbert Botting MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Ernest Bouchard MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Rolland Bouchard MM
À Otterloo, dans la nuit du 16 au 17 avril 1945, l’ennemi a attaqué et envahi le poste de commandement de la 76e batterie, incendiant le bâtiment, détruisant les postes sans fil et coupant la communication avec le quartier général du régiment. L’artilleur Bouchard, un chauffeur/mécanicien, se rendant compte de la gravité de la situation et du fait que la nouvelle d’une attaque à grande échelle devait parvenir à l’infanterie le plus tôt possible, a sauté dans son véhicule non blindé de 1500 poids et s’est dirigé vers le quartier général du bataillon d’infanterie, à une distance de 1 200 mètres. mètres.
À ce moment-là, l’ennemi était retranché des deux côtés d’un tronçon de 400 mètres de route. Affichant un mépris absolu pour les tirs de mitrailleuses et de fusils ennemis, inspiré uniquement par la pensée qu’il devait passer, il poursuivit son chemin. Des flammes ont balayé les deux côtés du véhicule alors qu’il poursuivait sa tâche auto-proclamée et bientôt le véhicule a commencé à brûler violemment. Sans tenir compte du danger imminent d’explosion, il a continué avec son véhicule et, à son arrivée au quartier général du bataillon, a présenté une première image claire de la gravité de la situation.
Cet homme, par sa propre initiative personnelle, son dévouement total au devoir et son mépris du danger, a donné un exemple exceptionnel à ses camarades et a transmis des informations claires et concises essentielles à la défense réussie d’Otterloo.
Sergent Gordon William Boucher MM avec barrette
Pour sa grande bravoure et son dévouement au devoir près de Courcelette le 21 octobre, lors de l’attaque de la tranchée Régina, le Cpl Boucher est volontairement sorti sous des tirs nourris d’obus et a réparé les fils téléphoniques pendant toute la durée de l’action. L’excellent travail accompli par ce sous-officier. et l’exemple qu’il donna aux autres monteurs de lignes était dans une très large mesure responsable de l’entretien des lignes téléphoniques.
Barrette à la médaille militaire – Pour bravoure et dévouement au devoir. Lors de l’attaque sur PASSCHENDAELE RIDGE le 30 octobre 1917. Le Sgt Boucher était l’un des deux signaleurs qui sont allés de l’avant avec le Lieut. Oliver est resté toute la nuit à l’air libre pour être prêt pour l’action à l’aube. Tout au long de l’action du 30, par sa persévérance et son sang-froid, sous des bombardements extrêmement violents, il a permis de maintenir la communication visuelle, fournissant ainsi des informations précieuses à l’Arty et contribuant au succès de toute l’opération. Sur le chemin du retour, lui et les autres se sont arrêtés pour ramasser un homme blessé au milieu d’un lourd barrage et l’ont porté en lieu sûr.
Aiguilleur Thomas Miller Boucher MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal George Wesley Bourke MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Edgar Guy Bourque MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Frederick H Bousquet MM
Le matin du 28 octobre 1917. Cond. BOUSQUET faisait partie d’un Pack Detail qui apportait des munitions aux canons à l’est d’Ypres. Le convoi a été retenu par des tirs d’obus hostiles et, pendant l’arrêt, a été lourdement bombardé par des avions hostiles. Cond. BOUSQUET s’occupe du détail et fait preuve d’une telle galanterie et d’un tel sang-froid que le détail échappe à la perte de 3 mulets. Au milieu du bombardement Cond. Bousquet coupa de deux mules des meutes chargées de munitions dans lesquelles les munitions avaient été incendiées par des éclats.
Bombardier E Boutilier MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Edward M Bowes MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Alfred George Bowler MM
Pour son courage remarquable et son dévouement au devoir sous des tirs d’obus très nourris à FARBUS lors des opérations du 3 mai 1917, le 3 mai, alors que sa batterie était en action, elle a été soumise à des tirs d’obus très nourris et à un moment donné les munitions de trois canons les fosses étaient en feu. Ce sous-officier a fait des efforts acharnés pour éteindre le feu dans deux des fosses, gardant ainsi les armes à feu en action. Par son sang-froid, il donna un très bel exemple aux hommes, et c’est en grande partie grâce à ses efforts que la batterie fut maintenue en action. Son exemple a maintenu le moral de ses hommes dans les circonstances les plus éprouvantes.
Artilleur Charles Herriman Boyd MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal John Gibson Boyd MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Sydney James Boyte MM
Pour sa bravoure remarquable pendant les opérations contre la tranchée de l’ennemi au SUD-EST de SOUCHEZ du 9 au 13 avril 1917. Cet homme était membre d’une escouade de bombardiers et prit le commandement après que son sous-officier ait été blessé. Il dirigea son escouade sous un feu terrible et, à un moment critique, alors qu’il était soumis à un tir croisé de mitrailleuses, il s’élança en avant, criant à ses hommes de le suivre et, par son exemple courageux, rallia ceux qui se trouvaient à proximité et atteignit son objectif, où il fut grièvement blessé. Cet homme avait déjà été recommandé pour une récompense immédiate pour un travail splendide dans une opération contre l’ennemi au S.E. de Souchez, à laquelle ce bataillon a pris part le 1er mars dernier.
Tous les officiers et tous les soldats de la compagnie de cet homme, sauf 14, ont été blessés. On considère qu’il mérite pleinement une récompense immédiate.
Bombardier Kenneth Oxenden Bracken MM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir le 22 octobre à la position de la batterie alors qu’il était impératif que la batterie soit enregistrée avant la tombée de la nuit, depuis la ligne de front des tranchées, il a fait preuve d’un grand sang-froid et de bravoure en tant que juge de ligne en travaillant le long de la ligne dans le ouvert et sous des tirs d’obus nourris et de mitrailleuses, et a maintenu la ligne en bon état. Il a déjà fait du bon travail dans les opérations.
Bombardier Frank Braybrook MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur John Douglas Breeze MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Aiguilleur Joseph Percy Breiter MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Wesley H Bremner MM
Pour bravoure et service particulièrement méritoire. A VIMY, le 9 avril 1917, cet homme a hésité à revenir à travers le barrage ennemi pour plus de fil téléphonique. Il a amené le fil a terminé la ligne jusqu’à un O.P. avancé et sous un feu d’obus nourri a patrouillé et l’a entretenu toute la journée quand relevé la nuit, il s’est porté volontaire pour apporter des rations et de l’eau pour le groupe de l’O.A.O. et l’a fait sous le feu de l’ennemi.
Bombardier Henry Courtney Brewer MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Thomas Stanley Bridel MM
Pour bravoure et dévouement au devoir. Lors d’un raid le 15 mars 1918, l’artilleur Bridel prend le dessus comme signaleur au F.O.O. avec la razzia. Par son sang-froid et son efficacité sous un feu nourri, il apporta une aide précieuse au F.O.O. dans la mise en place de la lampe Lucas lorsque leur position à l’intérieur des lignes ennemies avait été atteinte. Bien que la lampe ait été renversée plusieurs fois par des explosions, Art. Les travaux de Bridel ont permis de le mettre en place et de l’aligner pour qu’il soit en service jusqu’au retrait du parti. Il semblait toujours penser à la sécurité de son équipement avant le sien. Sa détermination et son courage tout au long de cette opération périlleuse ont été un bel exemple pour tous les grades.
Sergent William Humphrey Briggs MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal George Bristow MM avec barrette
Pour conduite galante le 22 novembre près de Courcelette. Il a supervisé le passage d’un câble téléphonique vers la ligne de front nouvellement capturée. Après avoir terminé la tâche, il a fait venir l’un des siens qui avait été blessé. Ce sous-officier a constamment rempli ses devoirs et les a menés à bien malgré les difficultés et les tirs d’obus, et son exemple tout au long a été des plus inspirants pour ceux qui travaillaient sous lui.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent Harry Lawton Broadbent MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Leonard Arthur Bromley MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Frederick John Brook MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Ernest Brookes MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur John Harvey Brooks MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Alexander Brown MM
Pour bravoure ostentatoire et dévouement au devoir près de LIEVIN, le 22 juillet 1917. Lors d’un intense bombardement ennemi sur la position de la Batterie, une des caves dans lesquelles se trouvaient le PTE BROWN et deux hommes avec deux autres, fut touchée par un obus à retardement. PTE.BROWN et les deux hommes ont réussi à s’extirper des décombres et malgré le fait que l’ennemi bombardait encore lourdement le bâtiment, ils ont travaillé jusqu’à ce qu’ils aient secouru les deux autres hommes, toujours enterrés. Le courage et le sang-froid splendides dont cet homme a fait preuve ont sans doute sauvé la vie de l’un des deux enterrés, l’autre étant mort à sa libération.
Artilleur Carl Wetmore Brown MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent maréchal-ferrant Duncan Brown MM
22 juin 1916. Pour bon service continu et dévouement au devoir sur le terrain de février 1915 à ce jour, en particulier pour bravoure remarquable dans la nuit du 22 au 23 avril 1915 à St Julian, et pour bon service à Festubert, mai 1915 , juin 1915, Bois Grenier, septembre 1915.
Sergent quartier-maître de batterie Fred James Brown MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal George Basil Brown MM
Pour sa grande bravoure et ses services particulièrement méritoires. Le 9 avril 1917, à Vimy, ce sous-officier a suivi l’avance de l’infanterie et a posé des câbles jusqu’à un point situé sur la pente avant, 100 mètres au-delà de la ligne que l’infanterie était en train de consolider. Pendant toute la journée, il patrouilla et maintint la ligne sous un feu continu d’obus, de mitrailleuses et de fusils, avec un grand dévouement et un mépris total du danger. Il a accompli son travail de manière si rapide et si minutieuse que la ligne n’a jamais été hors service pendant plus de quelques instants, et qu’elle était parfois la seule ligne de cette partie du front. Ce sous-officier s’est montré en tout temps absolument intrépide et entièrement dévoué à son travail. Il a constamment accompli un travail de très haut niveau.
Aiguilleur Harold Cordyn Brown MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Kenneth Charles Brown MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Lawrence Lloyd Brown MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-chef Leslie Talmadge Brown MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Ralph Wilson Brown MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier suppléant Robert Aaron Charles Brown MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier William Brown MM
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir à FARBUS les 3 et 4 mai. Ce sous-officier était responsable des lignes téléphoniques de la 4e brigade. et malgré les tirs d’obus exceptionnellement violents, il a continué à réparer les bris, étant en service pratiquement sans interruption pendant 48 heures. Le courage et l’efficacité dont a fait preuve ce sous-officier sous un terrible bombardement étaient de la plus haute importance pour la brigade, et à aucun moment les batteries n’ont été déconnectées plus de quelques minutes d’affilée.
Artilleur William Alexander Brown MM avec barrette
Pour sa bravoure et son courage, il a fait preuve de bravoure le 14 novembre 1917. Un obus a atterri sur un gros tas de munitions, provoquant une terrible explosion qui a tué et blessé un grand nombre d’artilleurs, de conducteurs et de chevaux, et a mis le feu à deux camions à moteur, et un gros dépôt de munitions (dans des caisses) sur la route. En entendant des cris de blessés venant des flammes des camions en feu, cet homme a aussitôt couru à la rescousse, tandis que presque tout le monde dans les environs fuyait les obus encore brûlants. Il est entré à plusieurs reprises dans la zone en flammes et a réussi à trouver et à faire sortir six R.F.A. Des artilleurs tous grièvement blessés, et avec leurs vêtements déjà en feu. Il roula les blessés dans la boue pour éteindre les flammes et les emporta hors de la zone dangereuse. Il est ensuite retourné vers les camions toujours en feu et a recherché d’autres hommes vivants parmi les morts. Il n’est pas parti avant d’en avoir reçu l’ordre. Quelques secondes après leur dégagement, un autre tas partit avec une forte explosion, qui aurait sans aucun doute tué à la fois le secouru et le sauveteur s’il l’avait été quelques minutes plus tard.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent Henry Humes Browning MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Adjudant 2e classe Harold John Brummitt MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent John Brunette MM
Pour la bravoure et le dévouement au devoir. Dans la nuit du 25 octobre 1917. La division du Sgt BRUNETTE’s est bombardée par plusieurs avions Gotha. Une quarantaine de bombes ont été larguées faisant exploser des Munitions et incendiant boîtes et camouflages. Le Sgt BRUNETTE, qui était en charge du groupe de travail, a agi avec sang-froid et galanterie en éteignant le feu et en jetant les munitions enflammées dans la boue, au péril de sa vie, alors que les bombardements se poursuivaient. Grâce à son sang-froid et à sa bravoure, un certain nombre de vies et une grande quantité de munitions ont sans aucun doute été sauvées.
Artilleur Bertram Bryan MM
Dans l’après-midi du 5 novembre 1917, à la position de la batterie, la batterie a été soumise à un violent bombardement d’obus lourds. Les hommes ont été dégagés sur un flanc. Un canon a été touché, et comme la batterie devait tirer un barrage en peu de temps, Artilleur. BRYAN, agissant en tant qu’installateur, le répare sous un feu nourri. C’est grâce à son action galante que tous les canons sont restés en action tout au long du barrage.
Bombardier Charles Alfred Bryant MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Alexander Bryce MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent William Buchan MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Aiguilleur Donald William Buchanan MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Gordon Edward Buchanan MM
Pour son travail remarquable en tant que sous-officier responsable de l’état-major d’une batterie, les excellentes communications de la batterie avec ses différents postes près d’Ypres du 2 au 13 juin 1916 étant principalement dues à sa prévoyance et à son habileté ; et pour sa bravoure le 2 juin, lorsque le F.O.P. était hors de communication avec la batterie et signalé comme étant aux mains des Allemands, il a traversé la ligne et a réussi à rétablir les communications et à trouver le F.O.P. et son groupe, occasion pour laquelle il a été blessé.
Caporal Harold Lambert Buck MM avec barrette
Pour sa grande bravoure et son dévouement au FARBUS lors des opérations du 3 mai alors qu’il était en charge des juges de lignes de la Brigade. Le QG de brigade et les batteries ont été bombardés en permanence, mais ce sous-officier. par son exemple intrépide et, le contrôle splendide de ses hommes a maintenu des communications continues malgré le fait que l’équipe de signalisation du quartier général ait été chassée de son abri des transmissions par des tirs d’obus quelques heures avant l’attaque. Lorsque la ligne de division était sortie, deux heures avant zéro, le cap. Buck est sorti personnellement avec le juge de ligne de la division pour réparer la rupture sur la crête, qui était fortement bombardée, et a réussi à modifier le cap et à réparer la ligne afin qu’elle résiste à l’opération.
Barrette à la médaille militaire – Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir. Ce sous-officier et les hommes ont avancé avec le F.O.O. et établi une ligne. Bien que cela ait été coupé à plusieurs reprises, ce sous-officier. et les hommes, malgré le barrage intense, patrouillaient et réparaient constamment la ligne. Par la suite, lorsqu’il devint impossible de maintenir la ligne, ce sous-officier. et les hommes passaient volontairement à travers les barrages rapportant des informations de grande valeur. Ce sous-officier et les hommes ont fait preuve de beaucoup de courage, de sang-froid et de détermination et leur travail était d’une grande valeur.
Artilleur Walter Bulak MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Harold E Bullis MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Albert F Bulman MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Cet artilleur et ses hommes ont avancé avec / F.O.O. et ont établi une ligne. Bien que cela ait été sectionné à plusieurs reprises, cet artilleur et ses hommes, malgré le barrage intense, ont constamment patrouillé et réparé la ligne. Par la suite, lorsqu’il devint impossible de maintenir la ligne, ce canonnier et ses hommes franchirent volontairement les barrages en rapportant des informations de grande valeur. Cet artilleur et ses hommes ont fait preuve de beaucoup de courage, de sang-froid et de détermination et leur travail était d’une grande valeur.
Bombardier Francis Lloyd Bulmer MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Neil Bundgard MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Thomas Francis Burchell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal William Henry Burchell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Arnold E Burgess MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Albert Edward Burke MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Alfred John Burke MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Charles Hammond Burnham MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent John Harold Burns MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Patrick Joseph Burns MM
Pour avoir fait preuve d’une bravoure remarquable en livrant des munitions aux canons sous un feu nourri d’obus près d’Ypres, pendant les nuits des 2/3, 3/4 et 4/5 juin 1916. Ce sous-officier a été abattu par deux chevaux mais a continué son travail.
Artilleur Harley Phillips Burpee MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Douglas Gerald Harcourt Burrage MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Cet homme faisait partie d’un groupe de dix signaleurs qui avançaient directement derrière l’infanterie et établissaient et maintenaient la communication entre le poste d’observation et la tête de câble. Malgré les tirs nourris d’artillerie et de mitrailleuses, il a réparé la ligne à plusieurs reprises, et lorsque les bombardements sont devenus si intenses qu’ils ont rendu la communication téléphonique impossible. Cet homme a agi en tant que coureur et a reçu de nombreux messages à travers le barrage, ce qui a permis à l’artillerie de faire face efficacement aux tentatives de contre-attaques. Cet homme. fait preuve d’un grand sang-froid, de courage et de détermination.
Caporal John Alfred Harcourt Burrage MM
Pour son courage remarquable et son dévouement au devoir près de Courcelette, le 3 octobre 1916, alors que sous un barrage ennemi extrêmement lourd, ce sous-officier. sans aide, a posé avec succès une ligne jusqu’à la tranchée de première ligne à un moment où les communications étaient pratiquement toutes coupées. Il a réparé et entretenu cette ligne tout au long de la journée et travaillait dans un pays entièrement exposé aux tirs de fusils et de mitrailleuses allemands.
Artilleur Arthur Bernard Burrows MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Cet homme agissait comme juge de ligne avec le F.O.O. et lorsque le bombardement est devenu si intense qu’une ligne ne pouvait être maintenue, il a fait fonctionner une lampe de signalisation pendant dix heures sous un feu nourri. C’était le seul moyen de renvoyer des informations d’une importance vitale. Le grand courage, le sang-froid et le dévouement dont fait preuve cet homme ont permis à l’Artillerie d’apporter un soutien efficace à nos troupes d’attaque.
Artilleur William Henderson Burrows MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent suppléant Roy Denis Buswell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur James Lucas Butler MM avec barrette
Pour dévouement constant au devoir et pour bravoure lors d’opérations près de Courcelette du 15 septembre au 16 octobre 1916. Dans le maintien des communications d’artillerie, en particulier avec l’infanterie souvent sous un feu nourri d’obus. Son énergie et son intrépidité étaient des plus remarquables.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Artilleur Phillip Henry Button MM
Cet homme avec d’autres artilleurs, le matin du 3 novembre 1917, forme le personnel de deux équipages de canons qui entrent en action. Ces deux équipages ont gardé leurs canons en action, bien que pendant toute la période, la zone dans un rayon de 500 mètres ait été soumise à un bombardement continu d’obus qui arrivaient au rythme moyen de vingt par minute. Des munitions ont été incendiées dans la position et l’un des obus était si proche que les artilleurs ont été renversés par la force de l’explosion. Cet homme et les autres artilleurs avec une bravoure remarquable sont restés fidèles à leurs armes et ont maintenu le feu. Ils étaient absolument sans couverture et ont miraculeusement échappé aux blessures. Dans les trois minutes qui ont suivi le retrait des hommes de leurs armes, l’une des armes a été touchée et l’ensemble s’est brisé.
Caporal Arthur Francis Cagney MM et Barrette
À FARBUS, le 3 mai, pour son travail constant et courageux sous un feu d’obus intense. En raison des pertes subies par le personnel de signalisation de sa batterie, il a été appelé à réparer les lignes téléphoniques qui étaient constamment brisées à cause des bombardements intenses. Il a été en service pendant 48 heures sans repos. Il a fait un excellent travail en maintenant les communications sous un feu d’obus exceptionnellement lourd pendant une longue période. Il a donné un merveilleux exemple à l’équipe du quartier général de la batterie dont il était responsable. Le bon travail que cette équipe a rendu à la batterie est en grande partie dû à l’influence du caporal CAGNEY. Il a été blessé au bras pendant la première demi-heure de l’engagement et aurait pu facilement se rendre au poste de secours, mais il est resté à son poste en soignant sa blessure.
Barrette de la Médaille militaire – Pour sa bravoure et son dévouement remarquables au cours des opérations à PASSCHENDAELE le 6 novembre 1917. Le canon de ce sous-officier a été mis hors service par un tir d’obus hostile, un homme ayant été tué et quatre autres blessés. Ce sous-officier a toujours fait preuve d’un grand courage et d’une grande persévérance en dépit des difficultés. Le grand courage et la détermination dont ce sous-officier a fait preuve dans les circonstances les plus difficiles ont toujours été remarquables.
Sergent William Pattieson Caine MM
Pour un bon service et un dévouement remarquables dans la nuit du 12 au 13 octobre 1916, près de Courcelette, lors de la livraison de munitions. Ce sous-officier était à la tête d’un convoi de munitions lorsque celui-ci fut essuyé par des tirs d’obus extrêmement nourris causant de nombreuses victimes parmi les chevaux et menaçant d’un grave blocus. Ce sous-officier a géré son détachement avec le plus grand sang-froid et le plus grand jugement et a livré ses munitions malgré le lourd barrage avec un minimum de pertes.
Bombardier George Albert Cairns MM
Alors qu’il était à la tête d’un convoi de wagons de munitions transportant des munitions vers des positions d’artillerie près de VIMY dans la nuit du 9 au 10 mai 1917, son convoi fut pris dans un barrage intense et, en raison de l’obscurité et des pertes, fut momentanément plongé dans la confusion, avec une grande confusion. Avec sang-froid et présence d’esprit, il stabilisa tous les rangs avec lui et passa à la batterie. Il revint ensuite avec des chevaux et dégagea un chariot abandonné en raison de la perte de chevaux. Par sa bravoure et sa rapidité d’action sous le feu, il a épargné de nombreuses victimes à son parti.
Sergent John Callaghan MM avec barrette
Le matin du 22 août 1917, alors que la batterie subissait un bombardement très intense, il quitta de son propre chef son abri et participa très activement à l’extinction des incendies autour des fosses à canon qui avaient été déclenchés par les bombardements ennemis, économisant ainsi beaucoup d’argent. munitions provenant d’une explosion.
Barreau à la médaille militaire– Le 16 novembre 1917, sous un feu nourri d’obus, il se dirigea vers la position d’une autre batterie alors que celle-ci et la sienne étaient sous le feu nourri d’obus et sauvèrent l’un des artilleurs qui avait la jambe brisée ; et, en compagnie du a/Bdr M.C. Stewart l’a transporté sous des tirs d’obus continus jusqu’au poste de secours.
Artilleur Andrew Perkins Cameron MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier George Arden Cameron MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Peter Frank Cammer MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Andrew Campbell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Arthur Prentiss Campbell MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 6 novembre 1917, lors des opérations préparatoires à l’attaque de PASSCHENDAELE. À deux reprises, lorsque les canons étaient mis en position, ils se sont enlisés jusqu’aux coupelles d’essieu et, malgré d’intenses bombardements hostiles, il a déterré les canons et a réussi à les mettre en position sur une route presque impraticable. Il a également éteint un incendie qui s’était déclaré dans une décharge de munitions. Ce sous-officier a fait preuve du plus grand courage et de la plus grande détermination et a donné un splendide exemple aux hommes sous ses ordres.
Sergent suppléant Charles Marsh Campbell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Clarence Grant Campbell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal John Campbell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Peter Campbell MM
Dans la nuit du 7 au 8 mai 1917, près de VIMY, ce sous-officier. a amené un convoi de wagons de munitions à trois reprises jusqu’à sa position de batterie à travers un lourd barrage d’obus à gaz et d’obus. Son convoi a subi à chaque fois des pertes de personnel et de chevaux. Bien que sous le feu nourri des obus, il réorganisa rapidement le personnel et les chevaux de son convoi pour remplacer les blessés et réussit à rassembler une réserve de munitions suffisante pour parer à toute éventualité le lendemain.
Conducteur Robert Campbell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Samuel Sanford Campbell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Simon Alexander Campbell MM
Sergent quartier-maître de batterie James Candlish MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Walter Arthur Cannell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Edwin George Canning MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Robert Carey MM
Pour d’excellents services lors de votre séjour dans la Somme Oct : 10 novembre ; 30, Fraîcheur et persévérance dans la réparation des lignes téléphoniques allant à la batterie avancée O.P. lors des opérations de la nuit du 10 novembre 1916. Entre minuit et tôt le matin ce N.C.O. a effectué des réparations dans plus de 30 endroits différents sous un feu nourri notamment dans le quartier de Courcelette, gardant ainsi la communication ouverte et permettant la remontée d’informations précieuses.
Sergent Heward John Carl MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Frederick Griffith Carlton MM
Les 11 et 12 octobre, alors que cette batterie était en soutien à l’infanterie près d’IWUY, ce sous-officier. a fait un excellent travail lorsqu’il était responsable d’un convoi de munitions. A plusieurs reprises, de jour comme de nuit, il fit avancer son convoi sous des tirs d’obus très éprouvants et compléta le ravitaillement en munitions alors vital. Pour ce faire, il lui fallait effectuer plusieurs voyages dans des conditions très éprouvantes. Il a personnellement effectué trente-six heures de service continu à cette époque. Son courage et son strict dévouement au devoir méritent les plus grands éloges.
Bombardier James Bremner Carr MM
Le matin du 6 novembre, il était sous-officier. chargé des signaleurs avec l’officier d’artillerie de cette brigade chargé d’avancer avec l’infanterie. Lorsque l’attaque a commencé, l’officier a été grièvement blessé. Bombardier CARR prend immédiatement les commandes, établit une station d’observation avancée et, au moyen d’une lampe, renvoie de précieuses informations à ce quartier général, jusqu’à ce qu’il soit relevé par un officier. Ses informations ont continué à arriver lorsque toutes les autres communications ont été coupées, bien que sa position ait été à tout moment sous le feu d’obus les plus violents.
Artilleur Clarence Hale Carslake MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Elmer Douglas Carter MM
Pour bravoure remarquable près d’ECURIE le 9 avril 1917. Cpl. CARTER était sous-officier. responsable des transmissions de l’officier de liaison de l’artillerie auprès du 5th Canadian Inf. Battn. Lors des communications avec le bataillon Hqrs. Et les troupes avancées se sont effondrées, il a fait avancer une ligne et a traversé à plusieurs reprises le barrage ennemi en collectant et en renvoyant des rapports de situation.
Artilleur Grover Carter MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Michael Cashen MM
Pour son courage et son dévouement remarquables. Le 28 mars 1918, l’ennemi lance un terrible bombardement à l’aide de plusieurs batteries de différents calibres, à base d’explosifs puissants, de shrapnels et de gaz. Lors du bombardement ci-dessus, le Sgt. Cashen qui était A.S.M. s’inquiète de la sécurité de certains artilleurs réfugiés dans la cave d’une maison en ruine. Il a vu le bâtiment frappé par un gros obus et le mur écrasé, et, dans un risque de mort presque certain, il s’est précipité en avant et a réussi à faire sortir les trois occupants hébétés et à les mettre en sécurité. Une minute plus tard, un autre obus a complètement détruit l’abri. Encore une fois, voyant un obus endommager la protection contre les gaz d’une autre pirogue et sachant que l’ennemi utilisait des obus à gaz ainsi que des explosifs puissants, ce sous-officier. se sont précipités et ont averti les occupants de mettre leurs respirateurs. Son courage et son abnégation ont sans aucun doute évité des pertes.
Bombardier August Henry Casorso MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent d’état-major Leon Castera MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Lawrence Frederick Catton MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Harry Hamilton Chace MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Verner Charles Chadwick MM
Le 6ème instant. Les canons avaient cruellement besoin de munitions, mais le convoi fut retenu en raison des lourds bombardements hostiles. Ce conducteur réussit pourtant non pas une, mais deux fois à franchir le barrage avec son cheval et ses munitions. Ce faisant, il a fait preuve d’initiative et de compétences dignes d’un leader, sans parler du courage et du dévouement au devoir.
Sergent George Alexander Chalmers MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Signaleur Thomas Leroy Chambers MM
Pour services courageux et méritoires. Cet homme était l’un des deux qui accompagnaient le lieutenant Scott (tué depuis) avec les premières vagues de l’attaque de l’infanterie à Vimy le 9 avril 1917. Malgré de grandes difficultés, il réussit à établir une communication téléphonique avec le quartier général du groupe à partir d’un poste de commandement avancé sur la pente de la crête. Les informations qu’il a ainsi pu transmettre sur la disposition de nos propres troupes et de celles de l’ennemi ont été de la plus grande valeur. Tout au long de la journée, sous un feu d’obus nourri, le signaleur Chambers a patrouillé sans relâche la ligne, réparant de nombreuses ruptures, et a réussi à maintenir une communication constante avec le quartier général du groupe.
Sergent Robert Jeremiah Chamberlain MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent maréchal-ferrant John Henry Champion MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Sin Twe (Roy) Chan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Basil Ernest Chaplin MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Harold Rae Chaplin MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur William Clifford Chapman MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Reginald Samuel Chappell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Joseph Chasse MM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir lors des opérations sur Passchendale. Cet homme agissait en tant que coureur du QG du Groupe. aux batteries le 27 octobre 1917. Il dut subir des tirs d’obus extrêmement nourris, tant S.E. et du gaz de jour comme de nuit vers les positions des batteries, qui étaient fréquemment bombardées, l’aller-retour prenant quatre heures. Cela s’est produit quotidiennement jusqu’à la prise de Passchendale le 6 novembre. Le fait qu’aucune dépêche n’ait été perdue ou en retard était entièrement dû à son courage et à son dévouement au devoir.
Artilleur Richard George Chinery MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Charles Clifford Chipman MM
Pour la fraîcheur et la bravoure sous les tirs nourris d’obus du 8 au 15 septembre. Ce sous-officier était en service comme juge de ligne à Pozières et dans ses environs, assurant une communication ouverte entre le poste d’observation et le commandement de la brigade. Les tranchées étaient souvent détruites, mais il réparait les brèches avec sang-froid et traversait les barrages les plus lourds pour ce faire. Sa conduite a été remarquée par les officiers de différentes batteries.
Sergent William Colin Chisholm MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur William Harry (Henry) Chisholm MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Le 15 août 1917, il était de service avec le Lt HASKELL à une station de signalisation visuelle. Le lieutenant Haskell a ensuite été blessé et Art. CHISHOLM a maintenu la station ouverte bien qu’elle soit exposée à de violents tirs d’obus. Il est resté en service pendant 14 heures en remplacement d’un téléphoniste blessé de son parti, et a renvoyé des messages importants à sa brigade.
Bombardier Norman James Chivas MM
Le 3 mai 1917, près de FARBUS, ce sous-officier. & le sergent. H. Cooke, a agi avec un courage et un sang-froid exceptionnels en éteignant un incendie qui s’est déclaré et s’est propagé aux munitions, provoqué par un coup direct sur le canon. Malgré le grand danger d’obus lancés dans toutes les directions à cause des cartouches qui explosaient, ils continuèrent leur travail à pelleter de la terre sur le feu jusqu’à ce qu’ils l’aient maîtrisé. Sans leurs efforts, une grande quantité de munitions aurait été détruite et, selon toute vraisemblance, plusieurs victimes auraient été parmi les membres du détachement.
Sergent William Chrich MM
Pour service vaillant et particulièrement méritoire au cours des opérations du Corps canadien culminant le 9 avril 1917 à VIMY. Deux fois pendant ce temps, certains de ses emplacements de mortiers de tranchée furent durement touchés, avec la plus grande énergie, sous de violents tirs d’obus dans chaque cas, il répara les emplacements et maintint sa batterie en action ; continuant à se maintenir dans les tranchées pendant un mois avant l’attaque. Par ses efforts inlassables, il maintenait ses mortiers et son personnel dans un état de grande efficacité, coupant les fils assidûment et avec une grande minutie. Le matin de l’attaque, il s’est porté volontaire comme brancardier et a travaillé jour et nuit pendant deux jours à la recherche et à l’évacuation des blessés.
Sergent Gordon Ross Christian MM
Le 28 mars 1918, la batterie subit un bombardement massif de canons de tous calibres, une bonne proportion d’obus à gaz étant utilisée. Quatre des canons ont été mis hors service, deux d’entre eux étant complètement détruits. Quatre hommes ont été tués, quatre grièvement blessés et deux autres légèrement blessés. Le Sgt Christian, avec une grande présence d’esprit et un mépris total pour sa sécurité personnelle, a réussi l’impossible en sortant les blessés des fosses en feu et en les mettant à l’abri. Par son acte courageux, il a donné un exemple inestimable aux autres hommes à un moment critique. Il a fait preuve d’un excellent jugement, d’un grand courage et d’un grand sens du devoir.
Sergent Percy Septimus Christmas MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Kenneth Vernon Church MM
Pour la bravoure et le dévouement au devoir. Le 9 novembre vers 10h30. sur la ROUTE PASSCHENDAELE d’Ypres, à environ un mile à l’ouest de PASSCHENDAELE Cond. Church faisait partie de l’avant-garde d’un grand entraînement de mules emballant des munitions vers la position de batterie de la 9e Bde.C.F.A. Juste à l’est de la ferme de la Spree, les Allemands ont bombardé très lourdement la route, tuant et blessant une vingtaine d’hommes et un certain nombre d’animaux d’un train de meute qui les précédait, ce qui bloquait entièrement la route. Le Sdt.Church avec le Cpl.Edgel et les conducteurs Dean et Price ont agi avec beaucoup de sang-froid et de bravoure, sécurisant les civières et transportant les blessés au poste de secours sous le feu nourri des obus. Ils ont ensuite dégagé la route et procédé au transport des munitions jusqu’aux canons. Par leur action courageuse, ils ont donné le bon exemple.
Bombardier Charles Howard Churchill MM avec barrette
Pour la plus grande galanterie, le dévouement au devoir et la détermination. Le matin du 6ème instant immédiatement après l’attaque de PASSCHENDAELE, Bdr. CHURCHILL a entrepris d’établir une station sans fil à onde continue sur PASSCHENDAELE. Le besoin de cette station était impératif car le sans fil était le seul moyen de communication rapide pour l’H.A. et F.A., F.O.O.s. Fortement chargé d’instruments sans fil, etc., ce Bde. a continué pendant près de 4 miles face à des tirs très nourris d’obus et de mitrailleuses ennemis. La station a été établie avec succès à environ 100 mètres derrière notre ligne et à la vue de l’ennemi. Le bde CHURCHILL a fait un travail héroïque en érigeant fréquemment l’antenne qui était abattue et en maintenant la communication jusqu’à ce qu’il soit relevé 48 heures plus tard.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Caporal Wilfred Laurier Churchill MM
Le courage et le dévouement remarquables de téléphoniste chez F.O.O. lors des opérations au Nord de Courcelette, le 8 octobre 2016. Il a réussi à maintenir sa ligne sur un pays très exposé jusqu’à l’après-midi où le maintien est devenu impossible. Il a ensuite agi comme coureur depuis la tranchée Kenora sur une distance d’environ 400 mètres à travers un terrain découvert sous un feu extrêmement nourri.
Artilleur Edmund Meade Clark MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Arlington Clarke MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal James Nelson Clarke MM
Pour la bravoure et le dévouement au devoir. Le 25 octobre 1917, le cap. CLARKE était responsable d’un train muletier transportant des munitions vers les batteries de campagne. Les Allemands ont bombardé très lourdement la route, tuant deux hommes et sept mules et blessant deux des conducteurs avec le Cpl. CLARKE. Ce sous-officier a agi avec beaucoup de bravoure en transportant les blessés vers un lieu sûr, puis en procédant avec le reste de son groupe pour livrer les munitions aux canons, pendant que la route était encore bombardée.
Sergent Joseph Kyle Clarke MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Edwin George Clements MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier James Clements MM
Les 8 et 9 avril 1917, ce sous-officier. était responsable d’un groupe de travail de sa batterie aidant à la construction d’une route d’artillerie depuis notre ligne de front, près d’ECURIE. Il a donné un splendide exemple d’énergie, de courage et de dévouement au devoir sous le feu nourri des obus ennemis, en gardant son parti uni et en accomplissant sa tâche.
Caporal Walter James Clynick MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Allen James Coburn MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS le 3 mai 1917, Art. COBURN, l’un des cuisiniers de la batterie, est venu de l’arrière de sa propre initiative et, pendant le bombardement très intense de l’ennemi, a servi du ragoût chaud et du thé aux hommes des détachements de canons. Cette nourriture chaude était d’une grande valeur pour les hommes et les aidait matériellement à poursuivre leur travail. Le grand courage et la prévenance manifestés par Art. COBURN a permis à l’efficacité des détachements de canons d’être bien supérieure à ce qui aurait été le cas autrement.
Sergent Walter Arthur Cochrane MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Perry Douglas Cockwell MM
Pour bravoure et dévouement au devoir à VIMY. Dans l’après-midi du 28 avril 1917, pendant les opérations, il était essentiel de maintenir la ligne téléphonique avec la batterie O.P. Ce sous-officier. sortit lors d’un violent bombardement et, avec le plus grand sang-froid, répara et entretint la ligne. Son travail était d’une grande valeur. En tant que juge de lignes, il a exercé à plusieurs reprises ses fonctions sous le feu des obus, sans se soucier de sa sécurité personnelle, et a toujours accompli un travail de très haute qualité.
Sergent Albert Cole MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Delos Harold Cole MM
Le 24 août 1917, au péril de sa vie, sous le feu nourri d’obus qui avait commencé dans une fosse à canon à la suite du travail de la contre-batterie ennemie. Son action a sans doute permis d’économiser une grande quantité de munitions qui auraient pu exploser et détruire l’arme.
Caporal John Thomas Cole MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Murray Cole MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Ambrose Collings MM
Pour sa conduite courageuse et distinguée et son dévouement au devoir le matin d’octobre ; 22 1917. Le Cpl THOMSPON reçoit l’ordre de prendre un avant-fusil pour ressortir un canon endommagé par des tirs d’obus. Câble d’entraînement COLLINGS, centre d’entraînement GRIS et roue motrice TREWIN. À FREZENBERG, l’avant-garde a essuyé de violents tirs d’obus, le cheval le plus proche du centre étant tué et le cheval excentré étant abattu. Les 3 cochers étaient entassés sous leurs chevaux et TREWIN eut la jambe sérieusement écrasée. Bien que soumis à un feu nourri, ils ont coupé l’équipe centrale et ont rattaché les équipes de tête et de roue. GREY a reçu l’ordre de reprendre le cheval restant décentré. L’amortisseur s’est alors mis au trot en avant. Un autre obus blessa le cheval le plus proche et l’attelage tout entier tomba. Le groupe a finalement atteint la position de la batterie et s’est accroché au canon. Ils ont réussi à le faire ressortir le long de la seule route disponible qui était encore lourdement bombardée.
Sergent-major de batterie Edward Collins MM avecc 2 barrettes
Le 5. Septembre 1917, lors d’un intense bombardement hostile, une fosse à canons est touchée et incendiée. Ce sous-officier au péril de sa vie, réussit à éteindre le feu et, par son action rapide, sauva incontestablement l’arme et les munitions de la destruction.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Deuxième barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Artilleur Frank Benjamin Conrad MM
Le 16 août 1917, au nord de Lens lors d’une attaque, ce Art tient un poste d’écoute en avance de ligne de front et d’échange avancé. Il a fait preuve d’une grande bravoure et d’un grand dévouement au devoir et c’est en grande partie grâce à leurs efforts que la communication a été maintenue pendant la journée. Le terrain sur lequel ils devaient travailler était très exposé et constamment balayé par des tirs très nourris d’obus, de mitrailleuses et de tireurs isolés. Il fut gazé dans la nuit du 14 lors des préparatifs de l’attaque, mais continua malgré un grand épuisement.
Conducteur Hugh Conway MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Arnold William Cook MM
Pour son travail distingué le 15 août 1917. Il réussit à faire avancer une ligne avec la première vague d’infanterie entre la tranchée de saut et l’objectif final. Ensuite, il a gardé ouvert 1000 mètres de ligne
Bombardier William Osser Cook MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Heskith Cooke MM
Le 3 mai 1917, près de FARBUS, ce sous-officier. & Bmdr. N.J. Chivas, a agi avec un courage et un sang-froid exceptionnels en éteignant un incendie qui s’est déclaré et s’est propagé aux munitions, provoqué par un coup direct sur le canon. Malgré le grand danger d’obus lancés dans toutes les directions à cause des cartouches qui explosaient, ils continuèrent leur travail à pelleter de la terre sur le feu jusqu’à ce qu’ils l’aient maîtrisé. Sans leurs efforts, une grande quantité de munitions aurait été détruite et, selon toute vraisemblance, plusieurs victimes auraient été parmi les membres du détachement.
Sergent Robert Christopher Cooke MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Horace Wattam Coon MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Alexander Mitchell Cooper MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Thomas Albert Copping MM
Le 19 octobre 1918, près de RALLENCOURT, un canon et un camion dérapent hors de la route. Ce sous-officier à la lumière du jour, à la vue de l’ennemi, il réussit à le remettre sur la route et à se mettre en batterie sans faire de victimes, bien que sous le feu des obus pendant une période considérable.
Sergent Edward Joseph Corbett MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Curtis Colleson Cordell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Thomas Corkin MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Adjudant 1er classe James Donald Alexander Corrigan MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Gordon Carey Cosh MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal John Costello MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Harry Thomas Costigan MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Hubert Reginald Cousins MM avec barrette
Médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Bombardier James Russell Coutts MM
Pour bravoure et dévouement au devoir le 8 octobre 1916, au nord de Courcelette, dans le maintien de la ligne allant de la batterie à l’OP dans la tranchée de Kenora, sous des tirs d’obus nourris et continus, étant pratiquement enterrés à trois reprises. Son dévouement au devoir était de la plus grande valeur pour la batterie.
Caporal Clarence Burton Cowdy MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Sidney Herbert Cox MM
Pour son courage et son dévouement remarquables le 21 août 1917. Ce sous-officier. était de garde au sein de l’O.P. auxiliaire la nuit et lorsque toute communication avec l’O.P. fut interrompue, il resta à son poste malgré le bombardement hostile très intense de son corps. et des obus à gaz. Grâce à son courage, son sang-froid et son dévouement au devoir, la batterie était à tout moment parfaitement au courant de la situation devant elle.
Sergent John James Crafton MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier William Austin Cragg MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur William Arthur Craik MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal John Crawford MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur William Thomas Crawford MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Robert Russell Crocker MM
Pour bravoure et dévouement remarquables au PASSAGE FERROVIAIRE près de VIMY, le 13 mai 1917. Lorsque sa batterie était lourdement bombardée, les deux entrées de l’abri profond ont été détruites par des obus ennemis, avec des fusées à retardement. Il y avait alors cinq hommes dans la pirogue, qui n’avait pas été reliée entre les deux entrées. Les artilleurs Lee et Crocker, voyant la situation et sachant que les hommes ne pourraient pas tenir longtemps dans la petite pirogue, malgré les intenses bombardements hostiles, ont creusé une ouverture dans la pirogue et ont libéré les hommes emprisonnés. Les hommes relevés étaient dans un état très épuisé, et c’est grâce au grand courage et à l’ingéniosité manifestés par ces deux hommes que la vie des cinq hommes dans l’abri a été sauvée.
Caporal John Murray Crockett MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur John Crothers MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 9 novembre près de PASSCHENDAELE. Cet homme faisait partie d’un F.O.O. groupe qui s’est trompé de chemin et s’est placé entre notre ligne (ligne de front) et l’ennemi, l’un des membres du groupe a été dangereusement blessé par un tireur d’élite et le Sdt. CROTHERS l’a transporté jusqu’à un trou d’obus sec, est resté avec lui et a soigné le blessé de 10 heures à 16 heures. Comme aucune aide n’arrivait, il a rampé à travers le pays jusqu’à l’infanterie la plus proche sous le feu des tireurs d’élite, et a finalement fait entrer le blessé. Il a ensuite commencé à chercher son officier mais est devenu délirant à cause du manque de nourriture et des tirs d’obus et est retourné vers nos lignes.
Artilleur Harold Grose Yule Crowder MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Alfred Charles Cruchley MM
Depuis le début des opérations actuelles, c’est en grande partie grâce à l’infatigable travail de cet officier de marine que les canons de cette batterie ont été maintenus continuellement en action malgré leur état d’usure. Pour ce faire, il lui a fallu se rendre constamment aux diverses positions de la batterie, sur des routes dangereuses et au péril de sa vie ; ce fut particulièrement le cas du 22 au 25 juillet.
Bombardier Harry Cruly MM
Proche AVION le 28 juin. 1917. Pour son courage et son dévouement remarquables. Tout en agissant comme N.C.O. en charge des signaux auprès du F.O.O. qui accompagna l’infanterie dans l’attaque d’AVION TRENCH à 2h30 du matin le 28 juin 1916, il posa une ligne allant de l’ancien front à la tranchée capturée. Grâce à son efficacité et à son sang-froid, des messages ont été envoyés via ce fil depuis l’objectif final à zéro plus 25. Au mépris total du danger, il a travaillé pendant 5 heures et demie au maintien de cette ligne qui a été brisée à plusieurs reprises par des tirs d’obus. Grâce à cette ligne, des informations précieuses et des rapports de bombardements hostiles perturbant la consolidation étaient transmis à l’artillerie.
Sergent Frank Croome Cullimore MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Edward Albert Cullum MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Ernest George Cumber MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Gordon Alexander Cumming MSM MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur William Cumming MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Russell Harold Cummings MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Carporal Leslie Cunningham MM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir en décembre ; Le 8 janvier 1916, près de Neuville-St-Vaast, lors du tir d’un mortier de tranchée de 9,45 pouces, la bombe tomba dans la tranchée juste devant le canon. Le Cpl Cunningham a immédiatement couru vers la bombe, a dévissé le fusible à retardement et l’a jeté. Sans son action prompte et vaillante, un certain nombre de victimes parmi nos hommes et des dégâts considérables aux tranchées auraient probablement été causés.
Sergent Robert Cunningham MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Vernon James Cunningham MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier William J Currin MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 6 novembre 1917, près de ZONNEBEKE, BELGIQUE. Ce sous-officier était responsable d’un détachement d’armes à feu. La batterie tirait des salves sur son barrage protecteur, tandis que notre infanterie se consolidait. L’ennemi a lancé un tir destructeur concentré sur la batterie et a donné l’ordre de réduire les détachements afin de minimiser les pertes. Ce sous-officier il renvoya tout le détachement et resta au chargement du canon, le déposant et le tirant lui-même. À de nombreuses reprises, il a fait preuve d’une bravoure remarquable.
Bombardier Elliott Leslie Dale MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Ernest Dalton MM
Pour bravoure et dévouement au cours des opérations préliminaires à l’attaque de la CRÊTE DE VIMY, près d’ECURIE, du 3 au 8 avril 1917. Cet homme était constamment sous le feu pour réparer les lignes avancées. Au cours des opérations de coupe de câbles dans les cratères de notre dernier front, il entretenait les câbles terrestres en réparation, travaillant souvent dans le No Man’s Land à la lumière du jour. Son travail a été tout au long des éloges.
Conducteur Godfrey Duncan Daniel MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant Roland D’Aoust MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent George Henry Davidson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Arthur Davies MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Albert Davis MM
Les 2/3 Novembre 1917, en position batterie du 1er Cd. H.B., ce sous-officier. était responsable d’un détachement de canons qui a tiré environ 500 coups dans des circonstances exceptionnellement difficiles pendant une partie de cette période. Son arme a été soumise à un bombardement ennemi particulièrement intense, mais a continué à tirer tout au long. Trois de ses hommes ont été victimes. Il leur prodigue les premiers soins, les remplace par des hommes frais puis continue à répondre à deux S.O.S. appels. Le matin du 4 novembre, son équipage a de nouveau continué sous le feu, subissant des pertes et, encore une fois, par son sang-froid et sa présence d’esprit, il a rétabli le moral de son détachement sur une base de combat.
Signaleur Allen R Davis MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Lieutenant Herbert James Davis MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Charles Wright Davison MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal James Douglas Day MM
Pour son courage remarquable dans la réparation des fils téléphoniques et dans le maintien fréquent des communications de la batterie sous des tirs d’obus nourris, et en particulier pour avoir volontairement accompagné la batterie F.O.O. lors d’une reconnaissance périlleuse après que les Allemands eurent percé nos lignes le 2 juin 1916.
Caporal William John Day MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur James Dean MM
Pour la bravoure et le dévouement au devoir. Le 9 novembre vers 10h30. sur la ROUTE PASSCHENDAELE d’Ypres, à environ un mile à l’ouest de PASSCHENDAELE Dvr. Church faisait partie de l’avant-garde d’un grand entraînement de mules emballant des munitions vers la position de batterie de la 9e Bde.C.F.A. Juste à l’est de la ferme de la Spree, les Allemands ont bombardé très lourdement la route, tuant et blessant une vingtaine d’hommes et un certain nombre d’animaux d’un train de meute qui les précédait, ce qui bloquait entièrement la route. DVR. Dean, accompagné du Cpl. Edgel et des Drivers Church et Price, ont agi avec beaucoup de sang-froid et de courage, sécurisant les civières et transportant les blessés au poste de secours sous le feu nourri des obus. Ils ont ensuite dégagé la route et procédé au transport des munitions jusqu’aux canons. Par leur action courageuse, ils ont donné le bon exemple.
Caporal William George Dean MM
A VIMY le 7 avril 1917 ce sous-officier. fait preuve d’un grand courage en gardant son arme en action. Son emplacement de canon a été détruit à deux reprises et le canon enterré, mais, malgré des tirs d’obus nourris, il a déterré le canon, l’a remis en action et a continué à tirer jusqu’à ce que ses munitions soient épuisées, faisant preuve d’un grand courage et d’un grand dévouement au devoir.
Bombardier Thomas Edward Dearden MM
Le bombardier Dearden était chauffeur-opérateur de la Batterie « F », 2e Régiment, The Royal Canadian Horse Artillery. À ce titre, ses fonctions l’obligeaient à maintenir une communication en ligne entre les postes d’observation avancés et le commandant de batterie au quartier général tactique du bataillon. Le 23 novembre En 1951, le Royal 22e Régiment relève le 1 Bataillon, King’s Shropshire Light Infantry à proximité d’un élément dominant connu sous le nom de « Colline 227 ». Du 23 novembre 1951 au 26 novembre 1951, l’infanterie subit des assauts prolongés et soutenus de l’infanterie ennemie appuyés par des tirs d’artillerie et de mortier lourds et précis. Durant cette période, la fourniture d’un soutien d’artillerie à nos propres troupes est devenue d’une importance capitale. En raison des bombardements intenses et des tirs de mortier, l’entretien de la ligne est devenu pratiquement impossible et c’est en grande partie grâce aux efforts inspirants du Bombardier Dearden que les lignes de communication ont été établies. Pendant toute cette période, le bombardier Dearden a travaillé jour et nuit pour maintenir une ligne de poste d’observation vitale. À tout moment, il a fait preuve d’un courage joyeux et d’un mépris pour sa sécurité personnelle, ce qui a inspiré son entourage. Grâce à ses efforts, ce lien vital a été établi au cours d’une phase des plus critiques de l’opération, permettant ainsi de placer des tirs d’artillerie en soutien à nos propres troupes.
Artilleur Paul Émile Debien MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Philip Lawrance Debney MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Forbes Elliott Defriez MM
Pour conduite vaillante et dévouement au devoir. Ce sous-officier avec le Sgt Henderson a maintenu la communication entre l’OP et la batterie pendant 12 heures, continuellement sous des tirs d’obus très nourris, traversant à plusieurs reprises un intense barrage d’artillerie pour réparer les câbles. Le travail effectué par ce sous-officier. depuis que l’Unité est présente dans ce domaine, elle a toujours été bonne et vaillante.
Bombardier Gordon Edmund Denison MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Percy Dennett MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Denton MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Leonard DeRoche MM avec barrette
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Cet homme était juge de ligne et patrouillait constamment la ligne d’avant en arrière, malgré des tirs d’obus extrêmement violents. Bien que la ligne ait été interrompue à plusieurs reprises, la communication n’a jamais été interrompue plus de quelques minutes. Cet homme a fait preuve du plus grand courage, sang-froid et ténacité, et leur travail était d’une grande valeur.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent Allan Wallis Derrom MM
Pour sa conduite courageuse sous les tirs d’obus en aidant à sauver quatre A.S.C., sous-officiers et hommes blessés des camions en feu chargés de munitions le 5 novembre 1917. Par son action rapide, il a sans aucun doute sauvé une conflagration générale en aidant à déplacer d’autres camions chargés de munitions debout à proximité, qui, s’ils avaient pris feu, auraient détruit les canons et les munitions de la batterie.
Artilleur Gustav William DesRosiers MM
Pour sa bravoure et son ingéniosité en tant que juge de ligne de batterie du 6 au 13 juin 1916, et pour s’être volontairement rendu au front de l’attaque et en avoir rapporté des informations précieuses.
Sergent Joseph Deveau MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Herbert Alleyne Deveber MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Dans la nuit du 15 au 17 août 1917, alors qu’il fallut effectuer des doubles passages en position de canon avec des munitions, il commanda une colonne et trouva la ROUTE DU MAROC sous le feu des obus. Il a tellement manoeuvré sa colonne en la divisant en petits groupes et en dirigeant chaque parti personnellement qu’il a réussi à atteindre la batterie et à revenir sans perte. Son sang-froid et son leadership ont stabilisé et encouragé les hommes sous ses ordres.
Sergent Cecil J Dewar MM
Pour sa grande bravoure et son dévouement au devoir à FARBUS lors des opérations du 3 mai 1917. Lors du bombardement intensif de la position de canon, ce sous-officier. était responsable de la section n°2. Le poste de tir a été touché à trois reprises et incendié. Chaque fois, il éteignait les flammes et, avec l’aide de sa sous-section, maintenait le pistolet en action. Son travail d’assistance aux blessés sous des tirs d’obus très nourris a toujours été magnifique, et l’exemple qu’il a donné en tant que sous-officier supérieur. aux armes, avait beaucoup à voir avec le maintien des armes en action.
Artilleur James Ward Dexter MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Cet homme était juge de lignes et, même si la ligne était rompue toutes les quelques minutes, il la patrouillait continuellement et réparait les cassures. Cela a été fait malgré les bombardements très intenses de l’ennemi et c’est grâce au grand courage, au sang-froid et à la détermination dont cet homme a fait preuve que la communication a été maintenue tout au long des opérations.
Artilleur Carl Manning Dickey MM
Pour son courage et son dévouement remarquables. Le 28 mars, lors du bombardement qui précède l’attaque ennemie. Toute communication a été coupée. Art Dickey s’est porté volontaire pour réparer la ligne d’environ un mile de longueur. Il a dû porter son masque à gaz pendant environ les trois quarts du trajet. Des enchevêtrements de câbles avaient été placés sur la ligne depuis sa pose. Malgré le gaz et S.E. barrage et les enchevêtrements de câbles, il a réussi à réparer la ligne et à établir la communication.
Sergent Edward Arlett Dickie MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Adjudant 2e classe James William Diggle MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Louis William Dippill MM avec barrette
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir pendant les opérations d’octobre ; Le 8 1916, ce mitrailleur a agi comme juge de ligne de sa batterie au poste d’observation avancé et a maintenu sa ligne dans des conditions extrêmement difficiles, travaillant toute la journée sous des tirs d’obus extrêmement lourds et des tirs de mitrailleuse, maintenant une communication parfaite jusqu’à ce que les opérations soient terminées et restant à devoir avec le F.O.O. jusqu’à l’obscurité.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Artilleur Charles Docherty MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur James Henry Dodd MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables dans la nuit du 24 au 25 juillet. 1917. Cet homme faisait partie d’un détachement livrant des munitions, lorsque l’ennemi a ouvert un feu nourri sur lui, le cheval du Dvr DODD a été tué et il a été arraché. Cet homme a aidé à dégager les animaux morts et à décharger les sept wagons restants. Son sang-froid et son courage sous le feu étaient un splendide exemple pour le reste des hommes du détail.
Caporal Réginald Andrew Doiron MM
Le 5 novembre 1917, il installe une station de signalisation téléphonique et visuelle dans un trou d’obus en vue de l’attaque du 6. Au cours de l’attaque, il a laissé sa station ouverte jusqu’à épuisement de ses réserves de fil de rechange, puis a utilisé sa lampe jusqu’à ce que le bombardement devienne si intense que sa lampe et tout son équipement ont été détruits ou enterrés par des tirs d’obus. Grâce à son dévouement au devoir, de nombreuses informations précieuses ont été renvoyées au QG du groupe. Ce sous-officier s’est distingué à de précédentes occasions par son dévouement exemplaire dans des circonstances difficiles.
Caporal Robert Emmet Dolan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Earl Doll MM avec barrette
Les 16/17 octobre ; 1916. Ce s/off  alors qu’il était en charge d’un détail pour récupérer l’obusier allemand de 5,9 pouces, capturé par le 2e Can ; Div: a fait preuve de la plus grande bravoure et sang-froid dans des conditions extrêmement éprouvantes, car il a fallu, amener ses chevaux et ses chariots à un point proche de la ligne de front dans une position extrêmement exposée, pour extraire ledit canon, ce qui a été accompli avec succès avant le jour.
Barrette à la médaille militaire – Pour bravoure remarquable et dévouement AU DEVOIR. Lorsque le mécanisme de culasse d’un mortier lourd de tranchée a explosé, ce s/off s’est porté volontaire pour réparer l’arme, malgré le fait qu’il devrait subir de lourds bombardements hostiles. Alors qu’il effectuait sa course, il a été blessé à trois endroits, mais a continué son chemin et est finalement revenu avec les outils nécessaires. La splendide démonstration de courage et de dévouement de ce sous-officier a permis de maintenir le mortier en action.
Artilleur William James Donahue MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent George Donaldson MM
Lors de l’attaque de PASSCHENDAELE RIDGE le 6-11-17 ce N.C.O. a monté son mortier à découvert sous des tirs nourris de mitrailleuses et d’artillerie, et a maintenu un barrage sur une casemate ennemie permettant à l’infanterie d’assaut de contourner les flancs et de se précipiter sur la casemate sans faire de victimes. Plusieurs mitrailleuses et artilleurs ont été faits prisonniers hors du casemate. Le travail cool et courageux de ce sous-officier a sans aucun doute sauvé de nombreuses vies.
Sergent James Thompson Donnolly MM
Pour bravoure ostentatoire et dévouement au devoir, près de Vourcelette ; lors de l’attaque de novembre ; le 18, comme téléphoniste auprès de l’officier de liaison au Q.G. of 87th, Can, Battn, qui était situé dans une zone très exposée et fortement bombardée. De 8h30 à 13h30 il était impossible de maintenir la ligne téléphonique et le Sgt Donnolly a agi en tant que coureur, allant et venant à travers un barrage ennemi très lourd et ramenant des informations précieuses à un endroit où elles pourraient être transmises par téléphone au quartier général.
Conducteur William James Donohue MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Cornelius Donovan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Signaleur Fred Doran MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant Francis Morton Dorman MM
Le Bombardier suppléant Dorman, de la Batterie « D », 2e Régiment, The Royal Canadian Horse Artillery, était chauffeur-opérateur pour l’officier commandant la Batterie « D ». A ce titre, ses fonctions l’obligeaient à maintenir le lien de communication entre le commandant de batterie à Quartier général tactique du bataillon et les officiers d’observation avancés de leurs compagnies respectives. Lors de l’attaque de la 25e Brigade d’infanterie canadienne le 3 octobre 1951, le Bombardier suppléant Dorman fut chargé de maintenir les communications en ligne entre l’officier d’observation avancé de la compagnie « B », du Royal Canadian Regiment, et le commandant de batterie au quartier général tactique du bataillon. Pendant que la Compagnie « B » avançait, le Bombardier suppléant Dorman le suivait de près derrière la ligne de pose, afin que les communications en ligne puissent être établies à l’objectif de la Compagnie « B » avant la tombée de la nuit. Lorsque la compagnie « B » a rencontré une forte opposition et que l’officier d’observation avancé a été blessé, le Bombardier suppléant Dorman a avancé et a atteint la localité de la compagnie « B » avant que l’officier d’observation avancé ne soit évacué. Il a immédiatement détruit la situation de l’artillerie et, jusqu’à ce qu’il soit relevé plus tard par un autre officier d’observation avancé, a continué à assurer la liaison entre la compagnie d’infanterie et son commandant de batterie, corrigeant les tirs d’artillerie et neutralisant ainsi l’ennemi. Une fois relevé, il a complété ses communications en ligne malgré les bombardements intenses et la présence de patrouilles ennemies. La détermination du Bombardier suppléant Dorman et son utilisation intelligente des ressources d’artillerie ont permis un soutien d’artillerie adéquat à un moment des plus critiques de la bataille. L’initiative et le courage de ce sous-officier ont toujours été une source d’inspiration pour ceux avec qui il a servi.
Bombardier William Joseph Doucette MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent George Frederick Dowdell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Matthews Dowling MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier William James Drinkwater MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Albert Edward Dryland MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Henry John Dudgeon MM avec barrette
Médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Bombardier James Henry Dudley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Herman Dumas MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Henry Cummings Dunbar MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Près de LA TARGETTE, le 7 avril, deux pirogues de la batterie sont incendiées et détruites par les gaz et les obus ennemis. Art. DUNBAR a été le premier à courir vers une pirogue en feu et était principalement chargé de contrôler l’incendie et de faire sortir tous les occupants, malgré les bombardements continus de gaz et d’incendie. Durant toute la nuit du 17 au 18 avril, il a maintenu ouverte, à lui seul, une ligne téléphonique des plus difficiles, sous le feu des obus. Sa bravoure et son dévouement au devoir ont eu un effet des plus remarquables sur ses camarades.
Signaleur Rogers Arthur Dunbar MM
Le 16 décembre 1918, lors d’une attaque, la communication entre l’artillerie et l’infanterie fut maintenue avec beaucoup de succès.
Sergent Charles William Duncan MM
Circumstances for this award are yet to be discovered.
Artilleur Harold Maxwell Duncan MM avec barrette
Pour bravoure ostentatoire près de Courcelette dans la soirée du 22 octobre 1916 la Batterie subit des tirs d’obus, un obus explose dans Gunpit mettant le feu à de la Cordite en Cartouches brisées par éclats. Le feu s’est déclaré dans le casier contenant S.E. coquilles, Art. DUNCAN était de garde, et le Cpl. RITCHIE était près du No.1.gun. Tous deux se sont précipités vers le Gunpit brûlant, malgré les bombardements de l’ennemi et la grande chaleur de la Cordite brûlante. Leur promptitude leur a permis de jeter les caisses en feu et d’empêcher le feu de se propager. Il ne fait aucun doute que pour leur action rapide et courageuse, le canon et les munitions auraient été complètement détruits, et la batterie aurait subi un feu hostile destructeur à cause de la divulgation de la position, ce qui aurait sans aucun doute fait de nombreuses victimes.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent Charles William Duncan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal James Duncan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Thomas Hugh Dundas MM MSM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Joseph Henry Dunlop MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Wallace Dunsmoor MM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir. Lorsque les communications par câble ont été complètement interrompues, cet homme s’est porté volontaire comme coureur, et a traversé et retraversé le terrain nouvellement gagné, avec des messages de l’avant vers l’arrière, sous le feu nourri de l’artillerie, des fusils et des mitrailleuses. Tout au long de son travail, il a fait preuve du plus grand sang-froid et a donné un excellent exemple aux autres juges de ligne.
Sergent George Malcolm Dunsmore MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Peter Anderson Durbrow MM
Pour bravoure et dévouement remarquables près de LIEVIN le 22 juillet 1917. Lors d’un bombardement intense de l’ennemi sur la position de la batterie, l’une des caves dans lesquelles se trouvaient Art. DURBROW. et deux hommes avec deux autres, a été coincé par un obus à action retardée. Cet homme et les deux hommes ont réussi à s’extirper des décombres et malgré le fait que l’ennemi continuait à bombarder lourdement le bâtiment, ils ont travaillé jusqu’à ce qu’ils aient secouru les deux autres hommes encore enterrés. Le splendide courage et le sang-froid déployés par cet homme ont sans aucun doute sauvé la vie de l’un des deux enterrés, l’autre étant mort une fois relâché.
Artilleur Ernest Bruce Dustan MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 21 août 1917. Cet homme était responsable de la ligne allant de la tête du câble vers l’avant. Bien que cette ligne soit continuellement interrompue, cet homme y patrouillait constamment, malgré les tirs d’obus extrêmement intenses, et son efficacité à réparer les ruptures était telle qu’à aucun moment la communication n’a été perdue pendant plus de quelques minutes. Cet homme a fait preuve du plus grand courage, du plus grand sang-froid et de la plus grande détermination, et la manière compétente avec laquelle cette ligne a été maintenue en état de marche a été de la plus grande valeur pour la batterie.
Sdt Daniel Robert Dwyer MM
Pour conduite courageuse lors du bombardement intensif de la colline 60, dans la soirée du 26 avril 1916, lorsque cet homme et un autre furent les premiers à se porter volontaires pour transporter des munitions S.A. jusqu’à la ligne de front et les transportèrent du dépôt à travers la voie ferrée jusqu’au front. trace des tranchées sous des tirs d’obus très nourris.
Sergent John Richard Dymond MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Bernard Earle MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Kenneth Sutherland Eaton MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables le 4 novembre lors des opérations sur PASSCHENDAELE dans des circonstances extrêmement éprouvantes, il a mis deux canons en action et plus tard, lorsque la batterie a été soumise à un explosif puissant et à un bombardement très puissant, il a réorganisé au grand risque personnel ses détachements d’armes lorsqu’ils furent épuisés par les pertes. Le courage et la détermination affichés par ce sous-officier. a donné un splendide exemple aux hommes sous ses ordres.
Caporal William Henry Eaton MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Mark Edgell MM
Pour la bravoure et le dévouement au devoir. Le 9 novembre vers 10h30. sur la ROUTE PASSCHENDAELE d’Ypres, à environ un mile à l’ouest de PASSCHENDAELE. Le Cpl.Edgell était responsable de l’avant-garde d’un grand entraînement de mulets emballant des munitions jusqu’à la position de batterie de la 9e Bde.C.F.A. Juste à l’est de SPREE FARM, les Allemands ont bombardé très lourdement la route, tuant et blessant une vingtaine d’hommes et un certain nombre d’animaux d’un train de meute qui les précédait, ce qui bloquait entièrement la route. Le Cpl. Edgell avec Drivers Church, Dean et Price ont agi avec beaucoup de sang-froid et de bravoure, sécurisant les civières et transportant les blessés au poste de secours sous le feu nourri des obus. Ils ont ensuite dégagé la route et procédé au transport des munitions jusqu’aux canons. Par leur action courageuse, ils ont donné le bon exemple.
Bombardier Harold Edwards MM
Pour la bravoure et le dévouement au devoir. Dans la soirée du 22 octobre : EDWARDS se trouvait avec un train de munitions de 150 animaux, transportant des obus vers les batteries de campagne. Après la livraison des munitions et alors que la colonne rentrait chez elle, les Allemands lancèrent un lourd barrage qui coupa l’arrière de la colonne. 1 officier et 1 sous-officier blessés, et 1 conducteur et 10 animaux tués. Le Bdr Edwards prit en charge l’arrière de la colonne, se comportant avec beaucoup de bravoure et sortant son commandement de la zone dangereuse avec un sang-froid splendide, et revint avec l’officier et le sous-officier blessés. vers un poste de secours, sous le feu nourri de l’ennemi.
Sergent Albert Alphonse Egan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Benjamin Arthur Elsey MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent George Edmond England MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Stanley England MM avec barrette
Pour un travail ostensiblement vaillant avec l’avant-garde de la batterie du 2 au 13 juin 1916, près d’Ypres. Il a refusé d’être relevé pendant cette période, plaidant que sa connaissance des tranchées de première ligne était utile à ce moment critique. Il a réparé les brèches à travers un barrage lourd juste à temps pour le F.O.O. pour envoyer un « S.O.S. » ; il s’est ensuite allongé dans le barrage et a réparé plus de pauses jusqu’à ce qu’il soit terminé. Lors du bombardement du 13, il a rampé jusqu’à nos lignes de front et a ramené des informations importantes, blessé ce faisant.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Bombardier William Thomas Ennis MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Arthur Trevelan Estey MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Walter Allen Evans MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 29 octobre 1917, lors des opérations devant la crête de Passchendaele. Ce sous-officier était responsable d’un groupe avec des mules de bât transportant des munitions. Lorsqu’ils s’approchèrent de la batterie, l’ennemi plaça un barrage intense sur le rad juste devant. Malgré l’intensité du bombardement, ce sous-officier approcha ses mules de la batterie et déchargea toutes les munitions. La bravoure exceptionnelle, le sang-froid et le dévouement au devoir affichés par ce sous-officier ont donné un splendide exemple aux hommes sous ses ordres.
Sergent Walter Howell Evans MM
En septembre ; le 30/1916, deux officiers de la batterie S.M. et deux téléphonistes ont été enterrés par l’explosion d’un obus de 8 pouces. Le Sgt Evans a organisé et dirigé une équipe qui a réussi à dégager les blessés. En même temps, il prit le contrôle de la batterie et continua à diriger le feu avec beaucoup de sang-froid jusqu’à l’arrivée d’un autre officier. En octobre ; Le 2e, le Sgt Evans a de nouveau pris la tête d’un groupe qui a déterré trois hommes qui ont été enterrés à la suite d’un coup direct sur une fosse à canon. Les vies d’au moins deux membres du détachement ont été sauvées grâce à son énergie et son courage. La batterie était alors lourdement bombardée.
Sergent Elmer Milton Evoy MM avec barrette
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Douglas Ewen MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.

Sergent George Wilfred Fairley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Henry John Falconer MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS le 2 mai. Lors d’un intense bombardement ennemi, le Hqrs. De la 5ème Brigade C.F.A. ont été soufflés. En entendant les appels à l’aide, ce sous-officier. a immédiatement obtenu une pelle et a aidé à libérer trois officiers vivants, ainsi que le lieutenant-colonel BRITTON et le major RIPLEY qui ont été retrouvés morts. Ce travail a duré quinze minutes, pendant lesquelles le bombardement a été intense, mais il a continué à creuser jusqu’à ce que les officiers soient libérés. Par son action courageuse et son splendide exemple, il a contribué matériellement à sauver la vie de trois officiers.
Bombardier William Fallas MM
Ce sous-officier était responsable des monteurs de lignes attachés à l’officier responsable de la liaison entre cette brigade et le 15e Bon d’infanterie canadien lors de l’attaque et de la prise de la CRÊTE DE VIMY le 9 avril. Deux heures et demie après zéro, il a eu une communication téléphonique depuis l’objectif RED et a rapidement établi une communication visuelle depuis l’objectif final. Il suivit de près avec son groupe toutes les étapes de l’avancée de l’infanterie. Dans la nuit du 16 au 17 avril, il a rendu un service distingué en maintenant la communication téléphonique entre l’officier de liaison du bataillon à FARBUS et l’officier de liaison du BGDE THELUS. Cette ligne téléphonique passait par THELUS WOOD. La nuit était extrêmement sombre, avec du vent et de la pluie, et le bois était lourdement bombardé. Malgré cela, il a réparé et entretenu cette ligne toute la nuit. Il a toujours fait preuve de la plus grande bravoure et du plus grand dévouement au devoir.
Conducteur Frank Farley MM
Pour son courage et son dévouement remarquables dans la nuit du 29 au 30 octobre 1917, lors des opérations précédant la prise de PASSCHENDAELE RIDGE, alors qu’il emballait des munitions au 22e Bty CFA., Bien que pris dans un très lourd barrage hostile Dvr. FARLEY a non seulement livré toutes leurs munitions mais a transporté un camarade blessé jusqu’à un poste de secours avancé et de là jusqu’à un deuxième poste de secours où il a pu être soigné en ambulance, il a également sorti un mitrailleur d’un trou et malgré le bombardement intense, il a habillé ses blessures, mais il est mort avant de pouvoir l’enlever. Ce sous-officier a fait preuve du plus grand courage, du plus grand sang-froid et du plus grand dévouement au devoir.
Caporal Thomas James Faught MM
Pour bravoure remarquable au combat près de CITE CALONNE le 9 février 1917. Lors du tir d’un mortier de tranchée de 9,45, la bombe à fusée temporisée n’a pas dégagé la fosse du canon. Le Bdr FAUGHT courut aussitôt dans la fosse et dévissa le fusible. Sans la bravoure et la rapidité du Bdr Faught, la bombe aurait explosé dans la fosse ; l’équipage du canon aurait sans aucun doute été tué, le canon et son emplacement détruits et peut-être le magasin de bombes adjacent explosé.
Artilleur Allison Ernest Fawcett MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier John Fearnley MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur David Fehr MM
Le 30 avril 1945, lors de l’attaque du Irish Regiment of Canada sur Heveskes en Hollande, l’artilleur Fehr était opérateur sans fil dans un char de poste d’observation d’artillerie lorsque la zone était soumise au feu nourri des canons ennemis distants de seulement 800 mètres. Il était impératif de faire taire ces canons car ils menaçaient d’engager la compagnie « C » du Irish Regiment of Canada qui s’était avancée vers la région d’Heveskes et était sur le point d’attaquer la ville.
Des éclats d’obus frappaient continuellement le char et le premier obus éloignait la tige aérienne. Sans tenir compte des tirs d’artillerie lourde et d’armes légères et à la vue de l’ennemi, l’artilleur Fehr grimpa sur le char et replaça l’antenne. Afin d’avoir une meilleure observation, le commandant de troupe fut obligé de quitter son char. Peu après avoir quitté le char, le câble de sa télécommande a été gravement coupé. Malgré le fait que le char avait déjà reçu trois coups directs et que des éclats d’obus continuaient de frapper le char, l’artilleur Fehr se leva sans crainte dans l’écoutille pour recevoir les ordres de tir de son commandant de troupe et continua vaillamment à diriger son poste jusqu’à ce que les canons ennemis ont été neutralisés avec succès. Le dévouement courageux de l’artilleur Fehr au devoir sous un feu nourri a permis de fournir un feu d’appui continu et précis et ses vaillants efforts ont contribué à l’atteinte ultérieure de l’objectif de la compagnie.
Artilleur Arthur Sutton Fell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Salvatore Val Femia MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Robert John Fenske MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent John Irwin Fensom MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier D Fernis MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Sydney Phillip Fielding MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier John Finch MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il était responsable d’un mortier de tranchée en position ouverte et maintenait son canon en action de zéro à zéro plus 100 lors des opérations du 15 août 1917. À deux reprises durant cette période, le mortier fut partiellement enseveli. À une occasion, l’artilleur FINCH a été partiellement enterré et à une autre occasion, la sève menant au canon a été projetée. À chaque fois, il a été fortement secoué, mais il a retiré l’arme et l’a remise en action. Lors de la préparation du 67e round, un coup direct a mis le canon complètement hors de combat. Au cours des opérations précédant l’attaque, l’artilleur FINCH a fait un travail exceptionnellement bon et est resté dans les tranchées pendant vingt et un jours consécutifs précédant les jours Z.
Sergent William Henry Finkle MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur John Bromelow Fitzpatrick MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Arthur B Fitzwarine-Smith MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Alexander Fleming MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à la 17e Batterie, C.F.A. canon, position près de VIMY le 8 décembre 1917. L’ennemi bombardait lourdement cette position et toucha un tas de munitions en boîte y mettant le feu. Ce sous-officier Il s’est immédiatement précipité hors de sa pirogue et, malgré les intenses bombardements hostiles et le danger d’explosion de munitions, il a retiré sans aide les caisses en feu de la pile et a éteint le feu. Ce sous-officier par sa grande démonstration de courage, de sang-froid et d’initiative, il a sans aucun doute économisé de nombreuses munitions précieuses et a donné un splendide exemple aux hommes de sa batterie.
Conducteur Charles Flesch MM
Pour une grande bravoure et un service manifestement méritoire à VIMY. Dans la nuit du 29 avril 1917, lors d’un bombardement au gaz de la ville, cet homme a trouvé sur la route un conducteur qui ne portait pas de casque à gaz et qui était dans un état semi-conscient. Il l’a récupéré et l’a transporté lui-même sur une distance d’environ 800 mètres à travers les gaz et un barrage d’obus jusqu’au poste de secours le plus récent, partageant avec lui son propre casque à gaz. Il a considérablement souffert de l’effet du gaz mais, par son action, a sans aucun doute sauvé la vie du conducteur. A son retour, il trouva un attelage de six chevaux en liberté sur la route et, obtenant de l’aide, réussit à sauver deux de ces chevaux, les autres mourant des effets du gaz.
Conducteur Robert Henry Flint MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Gerald Robert Fogerty MM
Pour bravoure et dévouement au devoir près de Courcelette, le 6 octobre 1916. Cet homme était en avant pour l’instruction lorsque le juge de ligne qui l’accompagnait a été tué. Bien qu’inexpérimenté et sous le feu nourri des obus pour la première fois, il réussit à établir une communication au-dessus d’une zone très lourdement bombardée jusqu’à notre tranchée de première ligne et maintint cette ligne sans aide pendant 24 heures, rendant d’excellents services à sa batterie pendant une période plutôt critique. .
Caporal Nimrod Folbigg MM
Pour la bravoure et le dévouement au devoir. Le 25 octobre 1917. Le Cpl. FOLBIGG était responsable d’un train de munitions contenant des obus How.de 4,5 pouces lorsque le groupe a été essuyé par des tirs d’obus et une attaque d’avions allemands. Un nombre considérable de bombes sont larguées à proximité immédiate. Cpl. FOLBIGG s’est comporté d’une manière très vaillante, stabilisant les hommes par son sang-froid, réussissant à faire passer le groupe et à livrer les munitions à destination. De nouveau le 27 octobre, le groupe de ce sous-officier a subi un barrage ennemi très intense dans la même zone, mais le Cpl. FOLBIGG a réussi à faire livrer les munitions aux positions de la batterie même si un certain nombre de mules et un homme ont été blessés. Son pouvoir de commandement et son sang-froid dans l’action sont des plus louables et il se consacre à tout moment à son devoir.
Sergent Henry Douglas Ford MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Tobias Frederick Forestell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Michael James Forristal MM
Près de GRAVENSTAFEL le 5 novembre. Ce sous-officier était responsable d’un Pack Train de munitions pour sa Batterie. Les abords furent très lourdement bombardés, mais, sachant que sa batterie venait d’avancer et qu’elle aurait besoin de toutes les munitions disponibles pour les opérations des jours suivants, il rallia ses hommes, les encouragea et, par son exemple de sang-froid et de dévouement au devoir, emmena tout le groupe. à travers le barrage.
Artilleur Gibert Harold Forster MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier John Forster MM
Pour son courage et son dévouement remarquables le 8 octobre 1916. Ce sous-officier. chargé des communications de l’officier observateur avancé au poste d’observation de la brigade a rendu un service des plus précieux en maintenant ces communications à cette date. Il s’est porté volontaire à plusieurs reprises pour des travaux dangereux à la chaîne et a fait preuve à chaque occasion d’un sang-froid et d’une ingéniosité exceptionnels.
Caporal Colin Forsyth MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Ce sous-officier faisait partie d’un groupe de dix signaleurs qui avançaient directement derrière l’infanterie et établissaient et maintenaient la communication entre la station d’observation et la tête de câble. Malgré les tirs nourris de l’artillerie et des mitrailleuses, il a réparé une ligne à plusieurs reprises, et lorsque les bombardements sont devenus si intenses qu’ils ont rendu la communication téléphonique impossible. Ce sous-officier a agi comme coureur et a reçu de nombreux messages à travers le barrage, ce qui a permis à l’artillerie de faire face efficacement aux tentatives de contre-attaque. Ce sous-officier fait preuve de beaucoup de sang-froid, de courage et de détermination.
Sergent James Forsyth MM
Le 6 novembre, entre 7 et 8 heures du matin, alors qu’il était responsable d’un convoi de chevaux de bât transportant des munitions vers les canons, il découvrit que la zone à traverser était fortement bombardée. Il a fait passer sa colonne sans encombre à travers le barrage jusqu’à la batterie. Il a remarqué un conducteur blessé dont le cheval était embourbé dans la boue. Il a confié son cheval à un conducteur et est revenu, a retiré l’homme blessé et a sauvé le cheval. Grâce à sa détermination, à sa conduite courageuse et à son mépris du danger personnel, il a gagné la confiance de ses subordonnés et a réussi à faire un deuxième voyage vers les canons dans des conditions tout aussi éprouvantes, car il a dû choisir une nouvelle route pour éviter le barrage de l’ennemi.
Sergent-major de batterie AH Frame DCM MM MSM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier James Arthur Francis MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Soldat Walter James Francis MM
Pour son courage et son dévouement au devoir affichés en tant que coureur le 15 août 1917. Ce coureur a transporté à plusieurs reprises des messages sous un feu extrêmement nourri depuis le quartier général de la batterie jusqu’aux mortiers Stokes de la nouvelle ligne. Son dévouement infatigable au devoir ne cessa que lorsqu’il fut vaincu par l’épuisement physique. Ce coureur était responsable dans une très large mesure du bon fonctionnement des Mortiers dans ce secteur de la nouvelle ligne.
Artilleur Harvey Millroy Fraser MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Kenneth Alexander Fraser MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Fred Charles French MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Walter George French MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Frederick John Friend MM MSM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Livin Frigault MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Myer Frise MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Harold Henry Fritz
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Harold Gallagher MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Reginald Edward Gallagher MM
Pour le courage et la détermination. Au cours des opérations sur PASSCHENDAELE dans la nuit du 6 au 7 novembre 1917. Le conducteur Gallagher a fait preuve du plus grand enthousiasme et du plus grand dévouement au devoir en emballant des munitions pour les canons de la 35e Batterie, la position d’obusiers la plus avancée du 3e C.D.A., les routes et les approches. étant soumis à de violents bombardements d’obus, S.E. et du gaz. Durant toutes les opérations sur PASSCHENDAELE, le comportement volontaire de ce conducteur a été un exemple précieux et une grande aide pour maintenir le moral de la batterie. À plusieurs reprises, il s’est porté volontaire pour le service lorsque c’était son tour de se reposer.
Bombardier John Alexander Gallagher-Tyrwhett MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Austin Gallant MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Arthur Martin Garaughty MM
Durant la période du 17 mai au 10 juillet 1951, l’artilleur Garaughty, batterie « F », 2e Régiment, Royal Canadian Horse Artillery, était chauffeur Batman pour un officier d’observation avancé. À ce titre, ses fonctions l’obligeaient à conduire une jeep, assurant les liaisons de communication vitales avec les canons, afin que le véhicule soit toujours à la disposition de son officier qui avançait à pied avec les compagnies avancées. Il a accompli son devoir de manière exemplaire au mépris total de sa sécurité ou de son confort personnel et a ainsi permis à son officier de diriger les 22 canons pour fournir un soutien essentiel à l’infanterie. Dans la nuit du 26 au 27 mai 1951, près d’Unchon-Ni, en Corée, le deuxième bataillon du Royal 22e Régiment avance et s’empare d’une ligne de collines. L’officier d’observation avancé se trouvait avec l’une des compagnies avancées sur une colline qui était soumise à des tirs de mortier et d’artillerie, et tout indiquait qu’une contre-attaque ennemie était imminente. La communication sans fil entre l’officier d’observation avancé et ses canons était faible et le tireur Garaughty s’est immédiatement rendu compte qu’un câble de transmission devait être posé pour que les ordres vitaux puissent être transmis. Avec un autre soldat, il s’est porté volontaire pour poser ce câble sur une route qui était connue pour être sous le feu des mortiers et de l’artillerie et qui était soupçonnée de contenir des infiltrés ennemis. Il partit dans sa jeep au milieu de la nuit, lisant une carte sur une piste qu’il n’avait jamais empruntée, déroulant le câble derrière lui. Au fur et à mesure qu’il avançait, les tirs de harcèlement ennemis augmentaient, causant des pertes à l’infanterie à proximité. Ignorant calmement les fragments de mortier volants, l’artilleur Garaughty s’accroupit à côté de la piste, assemblant soigneusement les extrémités du câble et attachant le câble aux coins de la piste comme il l’avait si souvent fait à l’entraînement. Presque aussitôt que le câble fut posé, il fut coupé par les tirs de mortiers ennemis et l’artilleur Garaughty se chargea aussitôt de maintenir cette liaison de communication vitale. Pas moins de six fois au cours des 24 heures suivantes et presque continuellement sous le feu, cet intrépide chauffeur Batman a parcouru à pied sa longueur de quatre milles de câble, réparant les dégâts causés par le feu ennemi et gardant ouvertes les communications de son officier. Sa démonstration de courage et son sens des responsabilités, bien au-delà des fonctions que son poste exigeait, étaient une source d’inspiration pour tous et permettaient à son officier de fournir un feu d’artillerie d’appui qui dissuadait l’ennemi de lancer une contre-attaque.
Caporal Patrick Edward Garnish MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Alfred Gaston Gaspard MM
Le 12 octobre 1916, depuis un emplacement, le Cpl Gaspard réussit à tirer 60 obus, malgré les représailles. Le 17 octobre ; de la même position et après que les tranchées voisines eurent été battues au point de devenir méconnaissables, ce sous-officier. réussi à tirer 30 coups. L’entrée de son emplacement a été détruite par le vent, blessant grièvement son unique tireur. Après avoir pansé la blessure, le Cpl Gaspard a tiré seul avec ses munitions restantes avec un excellent effet sur les barbelés ennemis.
Caporal Arthur William Gibson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent quartier-maître de la batterie Robert George Gibson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Andrew Giffen MM
En janvier ; Le 15 janvier 1917, alors qu’il agissait comme numéro 1 sur le canon, une bombe de 60 livres tomba sur le côté à quelques mètres devant le mortier au moment du tir et commença à rouler à l’intérieur du parapet. La bombe était équipée d’une fusée à percussion à action directe et aurait explosé sur la fusée frappant le fond ou le côté de l’emplacement. L’Art Giffen s’empara de la bombe, la plaça dans le canon et la tira dans les barbelés ennemis. Ce tireur, lors du raid d’infanterie qui a suivi le 17, a continué à tirer avec son arme lorsque la maison au-dessus de l’emplacement a été touchée à deux reprises par des obus hostiles.
Conducteur James Gilbert MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Edmund Gilbert MM
Pour le courage et le dévouement au devoir. Le 16 août 1917, au début des fortes contre-attaques qui durèrent toute la nuit, il fut impossible de maintenir la ligne et la F.O.O. qui était en contact étroit avec l’infanterie, souhaitait faire passer des messages. L’ART. GILBERT, bien que légèrement blessé, s’est porté volontaire pour faire office de coureur et a effectué trois voyages jusqu’à la tranchée de barrage avec de précieuses informations. Il courait un grand danger personnel car le terrain capturé était constamment maintenu sous un puissant barrage ennemi. Après avoir délivré avec succès son troisième message, il s’est effondré de fatigue.
Conducteur Ernest Gillard MM
Pour sa bravoure et son dévouement continus au devoir lors des opérations sur Passchendale. Cet homme agissait en tant que coureur du QG du Groupe. aux batteries le 27 octobre 1917. Il dut subir des tirs d’obus extrêmement nourris, tant S.E. et du gaz de jour comme de nuit vers les positions des batteries, qui étaient fréquemment bombardées, l’aller-retour prenant 4 heures. Cela s’est produit quotidiennement jusqu’à la prise de Passchendale le 6 novembre. Le fait qu’aucune dépêche n’ait été perdue ou en retard était entièrement dû à son courage et à son dévouement au devoir.
Conducteur Arthur Gillespie MM
Pour le courage, le sang-froid et le dévouement au devoir. Le 11 novembre 1917. Le conducteur Gillespie était l’un des signaleurs du F.O.O. de la 39e Batterie, C.F.A. Lorsque la lampe ne pouvait pas être alignée avec l’OP arrière, le conducteur Gillespie s’est porté volontaire pour transmettre un message à la batterie. Il a également pu aligner la lampe du PC arrière, établissant ainsi la communication avec le PO avancé. Il est retourné au PO avancé et y est resté toute la nuit en service. Cela s’est fait dans l’obscurité et sous les tirs d’obus les plus intenses.
Bombardier Ross Roy Gillespie MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Harry Wharton Gilliland Jr MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Collin Hugh Gillis MM
Lors des opérations contre la CRÊTE DE VIMY, le 9 avril 1917, il accompagne F.O.O. partie à l’OP avancée où, tout au long de l’année, il a apporté une aide prête et précieuse. À plusieurs reprises, il a réparé le fil téléphonique sous le feu nourri des obus et a également aidé à établir la communication avec CRAMER HAUS au début des opérations.
Sergent Horace May Gillmor MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Harold David Gingell MM
Le 17 septembre 44, lors de l’assaut de BOULOGNE, le Artilleur Harold David Gingell était signaleur du poste d’observation d’artillerie avec un officier d’observation avancé en soutien d’une compagnie de tête du Régiment de la Chaudière. À un moment donné, l’avance était bloquée par des mines et des pièges et les véhicules ne pouvaient pas avancer. L’infanterie subissait des tirs ennemis nourris et précis et l’officier d’observation avancé de l’artillerie décida de faire avancer son groupe pour trouver un point d’observation où l’observation permettrait de neutraliser le feu ennemi. Cette avance nécessitait d’avancer à pied, sous le feu et l’observation de l’ennemi. Il était également évident qu’un tel groupe avec son équipement R/T spécial ferait l’objet d’une attention particulière de l’ennemi. Au cours de cette avance, qui s’est déroulée sous le feu nourri de l’ennemi, l’artilleur Gingell a transporté et opéré l’ensemble R/T. À la fin du mouvement, ce groupe a été coupé pendant trente-six heures de notre propre infanterie sans protection, sommeil, nourriture ou eau. Pendant cette période, l’artilleur Gingell a continué froidement et efficacement sous un feu constant et a maintenu les communications. Son travail dans les conditions les plus dangereuses a permis d’abattre un tir précis sur l’ennemi et de maintenir l’élan de l’attaque de la 8 Cdn Inf Bde, contribuant ainsi matériellement à la réduction réussie de la Garnison BOULOGNE.
Sergent Wallace Henry Gleed MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Russell Albert Glockling MM
Le 5 novembre 1917, il assiste son Officier dans l’exécution d’une difficile reconnaissance pour un O.P., dans la zone avancée. Le 6 novembre au matin : il répare une communication importante de l’O.P. vers le Bgde Hdqrs au milieu de violents tirs d’obus, au cours desquels un de ses compagnons est tué et deux sont blessés. Grâce à son bon travail, l’état-major de la Bgde a obtenu des informations utiles lors de l’opération de ce jour-là. Plus tard, il a aidé l’un de ses compagnons blessés à traverser des tirs d’obus jusqu’à un poste de secours.
Bombardier Frank Gold MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent maréchal-ferrant William Henry Gollop MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Stewart Stanley Goodfellow MM
Il faisait partie du groupe d’observation avancée lors des opérations du 10 novembre à « PASSCHENDAELE ». À partir de 05h00 à 15h00 le 10 novembre, il a renvoyé des messages depuis le haut d’une « boîte à pilules ». Sa position a été soumise à un feu nourri toute la journée. Une batterie de campagne allemande a bombardé le casemate pendant tout ce temps, en plus des tirs lourds de S.E. Le signaleur GOODFELLOW, avec sa lampe, fut renversé une fois par l’explosion d’un obus et, à plusieurs reprises, fut presque enterré sous la terre projetée. Pendant tout ce temps, il a fait fonctionner la lampe, envoyant les informations les plus précieuses, qui ont été utilisées par l’artillerie.
Artilleur Godfrey Edwin Goodman MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Weldon Clifford Goodwin MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 31 octobre 1917, lors d’opérations devant près de PAASCHENDAELE RIDGE. Ce sous-officier était chargé d’emballer les munitions du groupe lorsque le groupe fut pris dans un barrage hostile très intense, plusieurs hommes étant blessés. Ce sous-officier. a fait sortir ses hommes puis est revenu chercher les blessés. Le grand courage et le dévouement au devoir ont donné un splendide exemple aux hommes sous ses ordres et ont permis aux blessés d’être transportés à travers le barrage jusqu’au poste de secours.
Sergent Alexander Gordon MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS le 3 mai SGT. GORDON était le sergent-major par intérim aux canons. Environ cinq minutes après que nous avons ouvert le feu, le canon n°2 a eu un coup direct à l’arrière de la fosse, l’équipage du canon étant tous tués ou blessés. Le sergent. Gordon a rassemblé quelques hommes et a transporté les blessés, a remis les morts et le canon en action, malgré les tirs intenses d’obus ennemis, et a continué ses fonctions jusqu’à la fin des opérations. Par sa grande démonstration de courage et de sang-froid, il donna un splendide exemple au reste des hommes.
Sergent Allistair Cumming Gordon MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Edward Goss MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Alexander Vernon Graham MM avec barre
Pour une fraîcheur et une bravoure remarquables près d’ECURIE le 8 avril, en entretenant en réparation une ligne téléphonique vers un cratère de mine dans le No Man’s Land, qui était lourdement bombardé par des obus de 5,9 pouces. Notre propre infanterie avait alors été retirée des environs. Deux fois au moins en quatre heures, il répare cette ligne coupée par les obus ennemis.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Bombardier Frederick Allison Graham MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Les 17 et 18 août 1917, il transporta deux messages importants sous un intense bombardement de gaz alors que les communications étaient coupées et que le S.O.S. un signal avait été envoyé. Il réussit à placer le fil dans la tranchée après être revenu avec le dernier message et le garda ouvert pendant le reste de la nuit.
Artilleur Hugh Graham MM
Au petit matin du 29 juillet 1917, lors d’un bombardement d’obus à gaz ennemi, près de LOOS, un obus explose à l’entrée d’une pirogue occupée par huit hommes des Mortiers de tranchées d’artillerie divisionnaire de réserve, rattachés à la 1re Division canadienne. L’artilleur Graham, au mépris de sa propre sécurité personnelle, est entré immédiatement dans la pirogue et y est resté pendant deux heures pour prêter assistance aux hommes gazés. Cinq hommes sont morts des effets du gaz, alors que Artilleur Graham se trouvait dans l’ug-out, et lui-même a été légèrement touché et a depuis été admis à l’hôpital.
Conducteur James Grant MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables le 4 novembre près de Zonniebeke. La seule route était sous un feu d’obus extrêmement intense toute la matinée et les hommes envoyés pour transporter des munitions ont tous été blessés ou renvoyés par le contrôleur de la circulation, à l’exception de cet homme qui, sachant que la batterie était à court de munitions, est passé malgré le bombardement intense, il est revenu et, bien que le bombardement soit encore exceptionnellement intense, a fait un deuxième voyage vers la batterie.
Sergent quartier-maître de la batterie Peter Taylor Thompson Grant MM
Le 4 septembre 1917, certaines munitions stockées brûlaient à la suite des bombardements ennemis ; les fusées explosaient et rendaient la route dangereuse pour la circulation. B.Q.M.S. GRANT, après avoir averti tout le monde du danger, s’est procuré de l’eau et, au prix de grands risques personnels, a retiré du feu les boîtes de fusées en feu et les a sauvées. Une fusée a explosé alors qu’il travaillait dessus, mais il a continué jusqu’à ce que le feu soit éteint.
Sergent William George Graveline MM
En tant que sous-officier des transmissions de la Batterie « C », 1er Régiment, Royal Canadian Horse Artillery, il s’est acquitté de ses responsabilités de la manière la plus compétente et la plus rapide possible. À de nombreuses reprises, sa supervision personnelle des détachements de ligne a abouti au rétablissement des communications lors de tirs d’obus intenses de l’ennemi. Par sa bonne humeur, son exemple et sa détermination, il a sans aucun doute assuré l’efficacité de la batterie en action. Au cours des opérations autour de la colline connue sous le nom de « The Hook », il a supervisé la construction et l’entretien des lignes, qui étaient continuellement coupées par des tirs d’obus, dans des zones totalement inconnues de lui-même et de ses équipes de ligne. Auparavant, lors des opérations de défense de la colline connue sous le nom d’« Kelly », le Sergent Graveline supervisait les communications depuis le poste d’observation n°85, le seul poste d’observation d’artillerie de la division du Commonwealth auprès des forces de la République de Corée et son travail a permis à toute l’artillerie divisionnaire d’être apportés au secours de nos alliés.
Artilleur Edmund Brownlow Gris MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Samuel Watson Gray MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Frank John Gray MM
Pour conduite courageuse et distinguée et dévouement au devoir le matin du 22 octobre 1917. Le Cpl THOMPSON a reçu l’ordre de prendre un avant-fusil pour sortir une arme qui avait été endommagée par des tirs d’obus. Câble d’entraînement COLLINGS, centre d’entraînement GRAY et roue motrice TREWIN. À FREZENBURG, l’amortisseur du canon a subi de violents tirs d’obus, le cheval le plus proche du centre étant tué et le cheval excentré étant abattu. Les 3 cochers étaient entassés sous leurs chevaux et TREWIN eut la jambe sérieusement écrasée. Bien que soumis à un feu nourri, ils ont coupé l’équipe centrale et ont rattaché les équipes de tête et de roue. GREY a reçu l’ordre de reprendre le cheval restant décentré. L’amortisseur s’est alors mis au trot en avant. Un autre obus blessa le cheval le plus proche et l’attelage tout entier tomba. Le groupe a finalement atteint la position de la batterie et s’est accroché au canon. Ils ont réussi à le faire ressortir le long de la seule route disponible qui était encore lourdement bombardée.
Caporal Thomas Bernard Greaves MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Thomas Green MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier William Lorne Greenaway MM
Pour bravoure et dévouement au devoir lors des opérations du 10 septembre ; jusqu’à présent, il a personnellement posé et réparé le téléphone entre le Btty et l’O.P. nuit et jour sous des tirs d’obus constants et a donné un splendide exemple aux hommes sous ses ordres. Le 17 septembre ; il a volontairement dirigé une équipe pour tenter de récupérer le corps du lieutenant Kitto, qui se trouvait dans une position exposée sous des tirs continus de fusils et d’obus.
Conducteur John Herbert Greer MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Merwin Greer MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Joseph Wilson Greig MM
Pour une conduite distinguée et un dévouement au devoir. Le matin du 3 novembre 1917, la 45ème Batterie C.F.A> fut lourdement bombardée au canon de 5,9 et 8 » alors qu’elle tirait sur un S.O.S., et l’officier de service fut grièvement blessé. Dix hommes des équipes d’artillerie ont été blessés et le Sgt GREIG, étant le sous-officier supérieur. pour le moment, j’ai réorganisé les équipages. Même s’il était lui-même blessé, il a continué à tirer avec son arme.
Bombardier Richard Allan Grierson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier John Griffith MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Harry Knight Grimmer MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier David Grinton MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Magnus Cromarty Groat MM
Le 6 novembre 1917, après avoir été blessé et avec un côté paralysé, il a continué à envoyer des messages importants depuis la station d’observation jusqu’au quartier général de la brigade. Plus tard, il s’est effondré à son poste et a dû être transporté vers un poste de secours.
Artilleur James Gullion MM
Le 6 novembre 1917, lors des opérations contre PAASCHENDAELE, il répare d’importantes lignes de communication sous de violents tirs d’obus. Il a été blessé alors qu’il était au travail mais n’a pas voulu s’arrêter jusqu’à ce qu’une relève soit apportée une heure plus tard. Son action a permis à la Brigade de rester en contact avec l’infanterie qui avançait.
Sergent Robert Banks Gunn MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Garfield Wellington Gunstone MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Herbert James Guyatt MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Allen Erastus Hager MM
Pour ses bons et loyaux services et son dévouement au devoir lorsqu’il était responsable des câbles de la batterie avant, maintenant de splendides communications entre le poste d’observation et la batterie sous un feu d’obus continu. Bien que les communications aient été rompues à plusieurs reprises, elles ont été réparées et la communication a été rétablie par cet artilleur en très peu de temps, malgré les lourds barrages ennemis. Il a été blessé deux fois au cours de ces opérations mais est resté à son poste.
Conducteur Charles Franklin Hainer MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Harold (Harry) Hale MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Adjudant 2e classe Frederick Cardwell Hall MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Albert Edward Halladay MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Thure Halvarson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Bert Hamilton MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Walter James Hamblin MM avec barre
Dans la nuit du 12 au 13 janvier 1918, le raid réussit. Pendant le découpage du fil, le Sgt Hamblin a travaillé sans relâche à ses mortiers. Il venait de terminer sa tournée dans la ligne et devait se reposer, mais a demandé à être autorisé à rester pour ce travail spécial. Malgré les bombardements répétés de l’ennemi, il s’en tient à sa tâche et donne un magnifique exemple aux hommes de sa section. L’un des mortiers a dû être déplacé à très court préavis dans une position ouverte afin de mieux atteindre le fil et le détachement du Sgt Hamblin a fait preuve de beaucoup d’habileté et d’énergie pour y parvenir. Tout au long de son travail, il a été d’un très haut niveau et il est fortement recommandé pour le M.M.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Artilleur Stuart Perry Hamilton MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur William Scott Hamilton MM
Ce tireur a accompagné le groupe des officiers observateurs avancés lors de la bataille de la CRÊTE DE VIMY le 9 avril et a agi comme juge de ligne. Ils se trouvaient dans une position établie sur la route LILLE-ARRAS, d’où il fit avancer une réserve de fil pour permettre de pousser plus en avant la ligne O.P. Il a réparé la ligne sous le feu nourri des obus et a fait preuve tout au long de la journée d’une ingéniosité et d’un courage des plus louables.
Conducteur Frank Ketchum Hamm MM
Pour grande bravoure dans la nuit du 9 instant près de WILLERVAL, où il était de service pour emballer des munitions à la 22e Batterie C.F.A. Il faisait partie d’un groupe de 8 personnes, dont quatre ont été tués et trois blessés, dont le sous-officier. en charge par la détonation d’un obus de gros calibre contre un mur de briques à proximité. Par sa promptitude à transporter les blessés au poste de secours et à soigner les animaux au point même de ramener ses propres mules blessées à quatre milles au D.A.C. Camp, il a sauvé ce qui restait de son groupe. La situation inhabituelle et éprouvante a été magnifiquement gérée par ce Conducteur et je le pense bien digne d’une décoration.
Sergent maréchal-ferrant John Wesley Hamm MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant Roy William Hammond MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Alfred Hancock MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Adjudant de classe I Herbert Hankins MM
Le 9 avril 1917, près d’ECURIE, l’adjudant HANKINS et deux autres hommes se sont distingués par leur bravoure sous le feu des obus alors qu’ils construisaient une route d’artillerie depuis notre ligne de front vers l’avant. Par leur énergie et leur bonne humeur, ils ont beaucoup inspiré leurs camarades et accéléré l’achèvement du travail.
Sergent Valentine William Henry Hansen MM
Le 19 octobre 1944, le Princess Patricia’s Canadian Light Infantry a établi une tête de pont au-dessus de la rivière PISCIATELLO pour l’avance de la 1re Division canadienne de la rivière RUBICON à la rivière SAVIO. M-3246 Artilleur Vallentine William Henry HANSEN était un opérateur radio pour l’officier d’observation avancée attaché au bataillon du 3e Régiment de campagne canadien et opérant avec la compagnie « B ». Cette compagnie, après avoir traversé le PISCIATELLO, avait atteint la MR 633091 lorsqu’une forte résistance ennemie a été rencontrée depuis la position le long de la route CESENA – CERVIA.
L’avance était maintenant connue de l’ennemi, et toute la zone était soumise à un feu nourri d’obus, de mortier et d’armes légères. Il était donc essentiel d’abattre des tirs de neutralisation sur les positions ennemies pour permettre la poursuite de l’avance. La communication radio avec les positions de tir a échoué. L’artilleur Hansen, bien que conscient du danger de cette tâche, s’est immédiatement porté volontaire pour rapporter l’information au quartier général tactique à la MR 626073. Il a traversé deux miles de terrain soumis aux tirs d’obus et de petits projectiles de l’ennemi, et a donné l’information pour le plan de tir, grâce à quoi le bataillon a pu poursuivre son avance.
Le jour suivant, lorsque la compagnie avancée a atteint la rivière SAVIO, un poste d’observation a été établi à la MR 591109. La zone était sous l’observation directe de l’ennemi et harcelée par des tirs d’armes légères pendant la traversée de la rivière. Plus tard, l’ennemi a engagé le secteur avec des tirs de chars, de nebelwerfer et d’artillerie, le bombardement augmentant en intensité à mesure que l’opération se développait. L’appui le plus rapproché par les tirs d’artillerie a été un facteur essentiel au succès de cette opération. Bien que le véhicule radio ait été frappé à plusieurs reprises par des éclats, l’artilleur Hansen a refusé de quitter son poste et de consentir à installer une station terrestre dans une position plus couverte, car il craignait que le déplacement de son poste ne compromette l’excellente communication déjà établie avec la position de tir. Il est resté à son poste pendant quarante-huit heures, le maintenant en fonctionnement continu et permettant d’effectuer des tirs d’artillerie décisifs, contribuant ainsi à briser au moins deux contre-attaques.
Artilleur John George Hanson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Victor Albert Hare MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Harvey Wallace Harland MM
Près de PASSCHENDAELE cet homme était juge de lignes, lors des opérations du 6 novembre, toutes les lignes téléphoniques en avant de sa section sont tombées en panne et n’ont pu être entretenues. La communication était établie par lampe jusqu’à son point, mais il était impératif que sa ligne vers l’arrière soit maintenue car la lampe ne pouvait pas être utilisée sur cette partie du terrain. Il a réussi à maintenir la connexion, mais seulement au prix de grands risques personnels, réparant à maintes reprises sa ligne dans le barrage le plus lourd, faisant preuve d’un grand courage et d’un grand dévouement au devoir.
Artilleur Frédéric Courtney Harper MM
A fait preuve d’une grande bravoure en réparant et en posant continuellement des fils téléphoniques sous le feu nourri des obus, et en faisant preuve d’une bonne constante depuis juillet.
Artilleur Roy Robert Harper MM
Cet homme fut chargé de poser une partie de la ligne entre les stations intermédiaires lors de l’établissement des communications le 15 août 1917. Il partit à 5h50 du matin avec du fil et atteignit sa zone qui fut signalée par un sous-officier. en charge et a réussi à poser ses câbles, même si l’un des membres du groupe avait été blessé alors qu’il se frayait un chemin à travers le barrage. Lorsqu’il eut terminé ce travail, il remarqua que ceux qui devaient poser la première partie avaient tous été blessés, provoquant une brèche dans la ligne de communication. Il a immédiatement fait demi-tour et a aidé les blessés à se diriger vers une pirogue. Il revint et récupéra le fil qu’il avait disposé. Cela a été fait de sa propre initiative alors que les officiers et le reste du groupe avaient continué leur route. Bien qu’exposé à tout moment aux tirs hostiles, sa conduite réfléchie et courageuse a permis aux premières informations de parvenir dès le début de l’attaque.
Bombardier William Samuel Harper MM
Pour un service courageux et particulièrement méritoire. Le matin du 9 avril 1917, Bdr. Harper a suivi l’avancée de l’infanterie à travers le barrage ennemi et a établi une ligne vers un O.P. avancé sur la CRÊTE DE VIMY, établissant ainsi la communication avec la batterie et permettant d’exercer un tir efficace sur les formations hostiles. Toute la nuit, ce N.C.O. a patrouillé la ligne sous des tirs nourris d’obus et réparé de nombreuses ruptures, donnant à tout moment un splendide exemple de courage et de dévouement au devoir. Ce sous-officier a été précédemment recommandé pour son courage remarquable et son dévouement en tant que juge de lignes à COURCELETTE, mais n’a reçu aucune récompense.
Artilleur Webster Rhodes Harrison MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent John James Harrity MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Herbert Hartley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier George Frederick Hartwell MM
Pour conduite courageuse et méritoire lors des bombardements lors d’opérations mineures du 4. Peut; Division les 16/17 septembre ; 1916. Le mortier dont il avait la charge fut enseveli par l’explosion d’un mineur ennemi. Il a immédiatement déterré son mortier, l’a remis en action et a terminé la tâche qui lui était assignée.
Artilleur DG Harvard MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal James Haslam MM
Pour son courage et son dévouement remarquables dans la nuit du 5 au 6 septembre. Leur batterie a été lourdement bombardée d’obus à gaz et la communication avec l’O.P. a été coupée à plusieurs endroits. Ce sous-officier est sorti vers une position exposée. Malgré le feu extrêmement nourri, nous avons rétabli la communication avec le PO au moyen de signalisation visuelle, y restant jusqu’à ce que la communication soit rétablie par fil. Ce sous-officier a fait preuve du plus grand courage et du plus grand sang-froid et les informations qu’il a renvoyées et acceptées étaient de la plus grande valeur pour la batterie.
Sergent Frank Hatcher MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Charles Ernest Hatt MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Max Emil Hayden MM
Pour le courage et le dévouement au devoir. Il fut juge de lignes les 15 et 16 août 1917. Avec deux autres juges de lignes, pendant 36 heures, il fit des allers-retours sur la ligne téléphonique, très souvent sous le feu nourri des obus. Grâce à ses efforts inlassables, la communication était bien entretenue et de nombreuses informations précieuses étaient renvoyées.
Sergent Henry Stuart Hayes MM
Les 17/18 octobre ; 1916. Un tir direct de cette batterie a été touché, mettant le feu aux munitions. Le Sgt Hayes, en compagnie du Sgt Little, à de grands risques personnels, est entré dans la fosse à canon et a réussi à éteindre les munitions qui étaient en feu. et évacuer le tireur blessé, décédé par la suite.
Artilleur Richard Hayes MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables du 16 octobre au 10 novembre 1917, près de ZONNEBEKE. BELGIQUE. Cet homme était employé comme monteur de batteries. En raison des bombardements intenses auxquels les canons étaient constamment soumis et également de la tension provoquée par des tirs excessifs, la batterie a vu de nombreux canons désactivés ou mis hors de combat. Cet homme, par son énergie infatigable, maintenait un maximum d’armes en état de marche. Il a constamment, souvent sous un feu nourri, effectué les réparations mineures nécessaires à cet effet. En plus de son service régulier, il était toujours prêt à relever les artilleurs fatigués et il ne manquait jamais de répondre à un « S.O.S » en prenant place dans un détachement. LES services de cet homme, à un moment particulièrement critique de l’histoire des combats de batterie, ont été inestimables.
Artilleur Chester Calvin Hays MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS le 2 mai 1917, lors d’un intense bombardement ennemi, le quartier général de la 5e Brigade, C.F.A. ont été soufflés. En entendant les appels à l’aide, L’Art. Hays. avec deux autres artilleurs ont immédiatement obtenu des pelles et ont réussi à libérer trois officiers vivants ainsi que le lieutenant-colonel BRITTON et le major RIPLEY, qui ont été retrouvés morts. Ce travail a duré quinze minutes pendant lesquelles le bombardement a été intense. un homme a été blessé, mais ils ont continué à creuser jusqu’à ce que les officiers soient libérés. Par leur action courageuse, ils ont sans aucun doute sauvé la vie des trois officiers.
Adjudant 2e classe Albert Edward Haywood MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur John Frederick Head MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Cet homme agissait comme juge de lignes au sein du F.O.O. et lorsque le bombardement devint si intense qu’une ligne ne put être maintenue, il fit fonctionner une lampe de signalisation pendant dix heures sous un feu nourri. C’était le seul moyen de renvoyer des informations d’importance vitale. Le grand courage, le sang-froid et le dévouement dont a fait preuve cet homme ont permis à l’artillerie d’apporter un soutien efficace à nos troupes attaquantes.
Artilleur Herbert Heaton MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Harry Maclean Heckbert MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Austen Clarence Hemsley MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Magnus Robert Henderson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Thomas Smith Henderson MM
Pour conduite vaillante et dévouement au devoir. Le 6 novembre, ce N.C.O. avec le Bdr Defreiz, a maintenu la communication entre l’O.P. et la Batterie pendant 12 heures, continuellement sous des tirs d’obus très nourris, traversant à plusieurs reprises un intense barrage ennemi pour réparer les câbles. Le travail effectué par ce sous-officier. depuis que l’unité est présente dans ce domaine, elle a toujours été bonne et vaillante.
Artilleur Wilfred John Henderson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Thomas Aird Hendry MM
Il a accompagné et assisté le lieutenant Mc Murty tout au long de ses opérations. Il a réalisé un bon travail constant dans des tâches d’observations avancées dans des conditions difficiles au cours des quatre derniers mois.
Sergent James Henry MM
Le 28 février 1918, le Sgt Henry garda son arme en action lors d’un tir d’avion sur un mortier ennemi, même si sa position fut lourdement bombardée jusqu’à ce que lui et trois autres membres de son détachement d’artillerie soient blessés. Bien que très grièvement blessé, le Sgt Henry a ordonné aux hommes qui s’occupaient de lui de s’occuper d’abord des autres et, pendant que ses blessures étaient pansées, il a exhorté le reste de ses hommes à le quitter, a mis le pistolet en action et a continué. tir, montrant ainsi un mépris total pour sa sécurité personnelle, un grand dévouement au devoir et un splendide exemple pour ses hommes.
Artilleur Thomas Benjamin Hudson Hepburn MM
Pour un travail courageux. Le 17 août 1917, la ligne de batterie fut coupée par des tirs d’obus et l’homme mentionné ci-dessus et le 91055 L’Art. PRECIOUS s’est immédiatement mis à effectuer des réparations. Ils ont trouvé la ligne pratiquement coupée en morceaux. À ce moment-là, un lourd bombardement de gaz et d’obus H.E. était en cours. Ces deux hommes poursuivirent leurs réparations tout au long de la partie la plus lourde de ce barrage. Peu de temps après, Artilleur Precious fut grièvement blessé et Artilleur Hepburn sachant que notre S.O.S. le signal avait été répondu, et a recommencé avec Precious au poste de secours. Precious avait de grandes difficultés à marcher et Art. HEPBURN devait pratiquement le porter. HEPBURN a appliqué les premiers soins à la blessure et a demandé à un autre homme de l’aider à emmener Precious tout au long du chemin. Dès que Precious eut été emmené au poste de secours, Hepburn fit appel à un autre juge de ligne de la batterie et continua à réparer la ligne, travaillant continuellement jusqu’à 6 heures du matin, date à laquelle ils établirent enfin la communication. Pendant la plupart du temps, il était sous le feu d’obus très nourris, là où la plupart des réparations devaient être effectuées, un énorme bombardement d’obus à gaz était en cours. Sa chair fut brûlée par le gaz en plusieurs endroits.
Conducteur Harold Wier Hibbard MM
Pour son courage et sa détermination, lors des opérations sur PASSCHENDAELE dans la nuit du 6 au 7 novembre 1917. Le Dr HIBBARD a fait preuve du plus grand enthousiasme et du plus grand dévouement en emballant des munitions pour les canons de la 35e Batterie, la position d’obusiers la plus avancée de la 3r. C.A. les routes et les abords étant soumis à de violents bombardements d’obus, S.E. et du gaz. Pendant toute l’opération, la conduite volontaire de ce conducteur fut un exemple précieux et d’une grande aide pour maintenir le moral de la batterie. À plusieurs reprises, il s’est porté volontaire pour prendre ses fonctions lorsque c’était son heure de repos.
Caporal Ansley Samuel Hicks MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur  Sidney John Hicks MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Robert Newmarch Hickson MM
Pour bon service général pendant 12 mois sur le terrain, notamment en rapport avec la fourniture de munitions, au cours desquels il a fait preuve d’une grande intrépidité et de ressources dans des circonstances différentes et dangereuses.
Sergent Wilfred George Higgins MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Philip Noel Higley MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur David Hill MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier George Robert Lyle Hill MM
Pour son courage et son dévouement remarquables à FARBUS le 3 mai. Ce sous-officier a fait preuve d’un grand sang-froid et d’une grande bravoure au cours des opérations du 3 mai, en maintenant continuellement les lignes téléphoniques sous le feu extrêmement intense des obus et des gaz. Il a donné un bel exemple aux hommes dont il avait la charge.
Caporal Joseph Bernard Hill MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS le 3 mai 1917. Ce sous-officier. était responsable des monteurs de lignes et continuait à patrouiller les lignes malgré les tirs intenses d’obus et non seulement supervisait la réparation des lignes, mais transmettait également des messages de la brigade aux autres batteries dont les lignes étaient coupées. Les lignes étaient continuellement interrompues, mais les communications n’étaient jamais interrompues pendant plus de quelques minutes à la fois, a déclaré le cap. HILL, par sa splendide démonstration de courage et de sang-froid sous le feu nourri des obus, a donné un magnifique exemple aux hommes dont il avait la charge.
Artilleur Robert Hilliard MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Ashton Stayby Hines MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Harris Roland Hines MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Robert Gordon Hodge MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS le 2 mai 1917, lors d’un intense bombardement ennemi, le quartier général de la 5e Brigade, C.F.A. ont été soufflés. En entendant les appels à l’aide, L’Art. Hodge. avec deux autres artilleurs ont immédiatement obtenu des pelles et ont réussi à libérer trois officiers vivants ainsi que le lieutenant-colonel BRITTON et le major RIPLEY, qui ont été retrouvés morts. Ce travail a duré quinze minutes pendant lesquelles le bombardement a été intense. un homme a été blessé, mais ils ont continué à creuser jusqu’à ce que les officiers soient libérés. Par leur action courageuse, ils ont sans aucun doute sauvé la vie des trois officiers.
Bombardier Ernest Hodgkinson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Joseph Hogan MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Edwin Holbrooke MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables près de ZONNEBEKE le 2 novembre 1917, lorsqu’il transporta des couvertures de gaz jusqu’à sa batterie à travers une zone très lourdement bombardée, tant par le gaz que par S.E. Le courage et l’ingéniosité manifestés par cet homme ont contribué à sauver un certain nombre d’hommes de sa batterie d’être gazés.
Bombardier Joseph William Holford MM avec barre
Pour son courage remarquable et son dévouement au devoir. Ce sous-officier était en charge d’un groupe de signaleurs qui suivaient immédiatement dans le sillage de l’infanterie d’assaut, pour établir la communication depuis la ligne de front de la position nouvellement conquise. Il était en service pendant 48 heures sans repos. Son travail pour maintenir la communication sous un obus exceptionnellement lourd
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent maréchal-ferrant Henry John Holland MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Arthur Albert Holmes MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Blair Edward Holmes MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Thomas Carlyle Holmes MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Eustace Otto Holt MM
Ce sous-officier est venu du Canada avec son unité et a servi continuellement avec le grade de Sgt jusqu’à son emploi à ce bureau le 30 septembre ; 1915. Il s’embarque pour la France avec la 1ère Division en février 1915 et sert avec sa Batterie à St Julien, la deuxième Bataille d’Ypres, Festubert, Givenchy ? Et Ploegstreet. Son commandant de batterie a très bien rendu compte de lui. Depuis qu’il a assumé les fonctions de commis, il s’est montré infatigable dans son travail qu’il a accompli avec la plus grande efficacité.
Artilleur Jack Holtzman MM
L’artilleur Jack Holtzman était le signaleur de son capitaine lors de la vague d’assaut. Après que son capitaine ait été blessé, il a continué et a appelé les chars du RAMS pour assommer une boîte à pilules ennemie qui s’était ouverte à l’arrière des Regina Rifles. Il dirigea le feu avec succès et neutralisa l’ennemi, permettant ainsi à notre propre infanterie d’engager l’ennemi frontalement avec confiance et énergie. Les actions du Artilleur Holtzman, sous un feu nourri et dans les conditions les plus difficiles, participent efficacement à la réussite des opérations.
Bombardier Gordon Eben Hooper MM
Ce sous-officier était en charge d’un mortier de tranchée de 2 pouces en position ouverte pratiquement sur notre ligne de front. La position était sous observation ennemie et chaque fois que le mortier tirait, l’ennemi ripostait. Bien que la position ait été touchée à trois reprises par des bombardements hostiles, des bombardements. HOOPER a remis le mortier en action et, par sa détermination et son intrépidité sous le feu des obus, a tiré plus de 500 bombes en dix jours et a ainsi démoli les barbelés sur la zone de son mortier.
Sergent suppléant Albert Hope MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent William Ernest Hopper MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Calvin Edwin Horsman MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Le 15 août 1917, ce sous-officier et deux téléphonistes entretenaient leurs propres communications depuis un poste d’observation avancé, et les informations qu’ils envoyaient étaient de la plus grande valeur. Ce sous-officier localisé et signalé les routes utilisées par les troupes ennemies pour les contre-attaques ; à six reprises différentes, a donné l’emplacement des troupes massées que leur groupe a engagées avec d’excellents résultats et a signalé l’emplacement d’un canon de 77 mm tirant à bout portant sur notre infanterie, de sorte qu’une de nos batteries a pu, grâce à son observation, faire face efficacement à il. Il a également rendu compte de tous les tirs de concentration effectués pendant la journée, ce qui a permis à notre artillerie de procéder aux modifications nécessaires en vue des concentrations nocturnes. Le sergent. HORSMAN est resté en service sans interruption pendant quarante-huit heures, période pendant laquelle il a été constamment sous le feu des obus et des mitrailleuses ennemis et a rendu de précieux services, traitant toutes les situations avec le plus grand sang-froid et la plus grande rapidité.
Bombardier Harry William Horwill MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables le 15e instant, lors d’une contre-attaque ennemie alors qu’il était essentiel que le feu soit maintenu, la sous-section dont le Bdr.HORWILL était le CAPITAINE d’artillerie a été soumise à de violents bombardements qui ont causé la mort d’un homme et en a blessé deux autres. Le détachement a continué à faire fonctionner son canon malgré ce bombardement jusqu’à ce qu’il soit mis hors de combat par un obus. Le Bdr.HORWILL a été blessé à la jambe mais n’a rien dit jusqu’à ce que sa tête aide à retirer et à soigner les autres blessés. Le très excellent comportement de ce détachement était en grande partie dû au Bdr. L’exemple de HORWILL en matière de sang-froid et de dévouement au devoir.
Artilleur William Alfred Hoshal MM
Cet homme et d’autres, le matin du 3 novembre 1917, formèrent le personnel de deux équipes de canonniers qui entraient en action. Ces deux équipages maintinrent leurs canons en action, même si pendant toute cette période la zone située dans un rayon de 500 mètres fut soumise à un bombardement continu d’obus qui arrivaient à une cadence moyenne de vingt par minute. Des munitions ont été incendiées dans cette position et l’un des obus était si proche que les artilleurs ont été renversés par la force de l’explosion. Un sous-officier et les artilleurs, avec une bravoure remarquable, restèrent fidèles à leurs canons et maintinrent le feu. Ils étaient absolument sans abri et ont miraculeusement échappé aux blessures. Trois minutes après avoir retiré les hommes de leurs armes, l’une des armes a été touchée et l’ensemble a été brisé.
Artilleur Alexander Francis Lyall Houison MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Albert Paget Hourd MM
Pour bravoure et dévouement au devoir lors des opérations d’octobre ; 21 1916. Il rendit de précieux services en maintenant une ligne aérienne entre le poste d’observation avancé et sa batterie, cette ligne étant la seule communication entre la Bde et les tranchées du front. Son travail s’effectue à ciel ouvert, sous des tirs d’obus extrêmement nourris.
Artilleur Frank Bowell Houston MM
Pour sa bravoure et son dévouement au cours des opérations, le 8 octobre 1916, ce tireur a agi comme juge de ligne depuis sa batterie jusqu’au poste d’observation avancé et a maintenu sa ligne sous des tirs d’obus et de mitrailleuses exceptionnellement intenses, maintenant une communication parfaite jusqu’à la fin des opérations. blessé plus tard dans la journée.
Artilleur Percival John Howard MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Samuel Howard MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Brakeland Howarth MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Herbert Leonard Howe MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il faisait office de passeur entre le Bde Hdqrs. et le Batty en position avancée sur une distance de deux milles, qui était la plupart du temps sous le feu d’obus nourris. Dans la nuit du 26 au 27 octobre : il effectue deux voyages au Btty avec des ordres importants, ce dernier lui prenant 4 heures dans l’obscurité. Il avait déjà effectué deux voyages dans la journée. Il a donc été continuellement en service pendant 24 heures sans dormir et a terminé son service jusqu’à ce qu’il soit relevé, lorsqu’il a dû se présenter malade à cause d’un grave rhume.
Sergent Chester Arthur Hughes MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Walter Hughes MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Edward Hulek MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Gerald Mansfield Humby MM avec barrette
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent maréchal-ferrant John Hunter MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur John Purdon Hunter MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Robert Hurry MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Ralph Burton Hutchinson MM
Dans la nuit du 17 au 18 août 1917, trois S.O.S. des signaux furent envoyés. L’Art. HUTCHINSON resta en service à partir de 17 heures. à 6 heures du matin patrouiller le grillage et le maintenir ouvert sous des tirs nourris d’obus. Ce travail a permis à sa brigade de rester au courant de l’évolution de la situation à un moment très critique et constitue un excellent exemple de bravoure et de dévouement au devoir.
Caporal Thomas Hutchison MM
Ce sous-officier avance le 29 septembre 1918, lors des opérations sur le front de CAMBRAI, à la tête d’un mortier de tranchée « NEWTON » de 6 pouces en appui rapproché de l’infanterie. Une position est prise à SANCOURT d’où sont engagées les mitrailleuses ennemies et la voie ferrée devant BLECOURT. Le mortier était constamment sous le feu des obus ennemis, mais ce sous-officier. a montré la plus grande détermination à le maintenir en action et a tiré un grand nombre de coups. Ce n’est que grâce à son splendide exemple et à son zèle que la tâche a été accomplie.
Artilleur William Raymond Hyde MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Nyall Denis Hyndman MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur George Herbert Imrie MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Charles Partelam Ingraham MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Percy Ingram MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Herold Ernest Isles MM MSM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Andrew Jackson MM
Dévouement marqué au devoir dans l’entretien et la réparation des lignes téléphoniques sous le feu nourri des obus.
Caporal Eustace Cleveland Jacob MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal George Jackson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur G A Jackson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Stewart Jackson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Morris Jacob MM
Pour ses bons et méritoires services continus sur le terrain au cours des douze derniers mois, et pour sa conduite courageuse sous le feu de l’ennemi.
Bombardier suppléant Alfred Jacques MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Frederick Johnson MM
Pour bravoure particulière dans la réparation des lignes téléphoniques sous le feu nourri des obus les 9 et 10 avril 1917, près d’ECURIE pendant et après l’attaque de la CRÊTE DE VIMY
Sergent suppléant Irvin Lee Johnson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Robert Johnson MM
Dans l’après-midi du 9 novembre, il fut envoyé à la station d’observation avancée à proximité pour aider au transport des pigeons destinés à l’attaque du lendemain. Le 10 au matin, un tir direct d’un gros obus tua et blessa tous les coureurs de la station d’observation. L’artilleur JOHNSON a fait preuve d’un grand sang-froid et d’un grand dévouement à plusieurs reprises en se portant volontaire pour transmettre des messages au Centre de rapport, réussissant à chaque fois à se frayer un chemin à travers les tirs nourris d’obus. Il a aidé à transporter les blessés vers un lieu sûr. Par son attitude joyeuse et son mépris total du danger personnel tout au long de la journée, il fut d’une grande aide non seulement à son propre officier mais également aux officiers d’infanterie.
Sergent William Hill Johnson MM
Lors d’un S.O.S. le 3 novembre 1917, à la position de batterie à l’est d’Ypres, bien qu’ayant été lourdement bombardé, il garda son détachement ensemble et continua à servir ses canons après que les batteries à sa droite et à sa gauche immédiates se soient mises à couvert. Il a également éteint un incendie parmi ses munitions.
Caporal Arthur Charles Johnston MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Johnston MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent John MacQueen Johnston MM
Pour son courage et son dévouement remarquables dans la nuit du 29 au 30 octobre 1917, lors des opérations précédant la prise de PASSCHENDAELE RIDGE alors qu’il emballait des munitions au 22e Bty CFA. Bien que pris dans un barrage hostile très intense, le Dvr.JOHNSTON a non seulement livré toutes ses munitions, mais a également transporté un camarade blessé jusqu’à un poste de secours avancé où il a pu être soigné par ambulance, il a également sorti un mitrailleur d’un trou d’obus malgré l’intense bombardement. , pansant ses blessures, mais il mourut avant de pouvoir l’enlever. Ce sous-officier a fait preuve du plus grand courage, du plus grand sang-froid et du plus grand dévouement au devoir.
Artilleur Kenneth B Johnston
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Merritt Elmer Johnston MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Ofi Onus Johnston MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent quartier-maître de compagnie Robert Johnston MM
Pour l’ingéniosité, la bravoure et le sang-froid dont il a fait preuve dans l’exercice de ses fonctions de sous-officier chargé du transport des trains, dans la nuit du 7 au 8 août 1917. Malgré des tirs d’obus nourris qui blessèrent mortellement le conducteur de l’attelage arrière et l’un de ses chevaux et causèrent d’autres pertes moins importantes, et bien que partiellement enseveli par la chute de briques et de débris, le sergent Johnstone sortit le conducteur de dessous le cheval survivant, l’accompagna ainsi qu’un serre-frein blessé jusqu’à un endroit sûr, retira le cheval blessé, puis revint pour sauver le wagon.
Sergent maréchal-ferrant John Clifford Johnstone MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Robert Johnstone MM
Pour bravoure et dévouement remarquables du 16 octobre au 10 novembre 1917 près de ZONNEBEKE, BELGIQUE. Ce sous-officier est employé comme monteur de batteries. Au cours de la période susmentionnée, le gaspillage des armes à feu était anormalement élevé en raison des bombardements hostiles et de l’usure excessive causée par les tirs constants. Ce sous-officier qui est un mécanicien exceptionnellement intelligent, a fait tout ce qui était en son pouvoir pour maintenir les armes en action et pour surmonter les obstacles auxquels il était confronté. En plus de ses fonctions habituelles, il intervenait toujours pour prendre place dans un équipage de canonnier, s’il voyait qu’en raison de pertes, un détachement manquait de personnel. Son sens aigu du devoir le marque comme sous-officier. de très bonne moralité, et ses services sont précieux pour son commandant de batterie dans un endroit restreint.
Sergent Gordon Brown Jonah MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur John Keegan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Francis Joseph Kehoe MM
Lors du bombardement préliminaire se terminant le 8 avril 1917, à VIMY, ce mitrailleur agissait comme coureur et maintenait la communication entre la BATTERIE LOURDE et les positions avancées grâce à des tirs d’obus nourris, faisant preuve d’un grand courage et d’un grand dévouement au devoir, étant fréquemment appelé à traverser les zones barragées de jour. et la nuit.
Artilleur George Alfred Kelly MM
Pour son courage et son dévouement remarquables chez FARBUS lors des opérations du 3/9 mai 1917. Lorsqu’il agissait en tant que juge de ligne avec le Spr. WHEELER W.B. Du centre de rapport avancé aux brigades pendant les opérations du 3/9 mai, ces monteurs de lignes ont continué à réparer les lignes, traversant plusieurs barrages ennemis, et sont restés en service pendant la nuit lorsque l’ennemi a continué à bombarder la zone avec des obus à gaz. Ces deux monteurs de lignes, par leur grand courage, ont largement contribué à maintenir les communications ouvertes entre les brigades et le quartier général de l’artillerie divisionnaire.
Artilleur James McDowall Kelly MM
Pour bravoure et dévouement exemplaire lors des opérations près de Courcelette à partir du 5 septembre ; au 20 novembre;. Il a travaillé sans relâche pour maintenir les lignes téléphoniques de la brigade dans la zone bombardée, souvent sous le feu intense de l’artillerie. Son exemple d’énergie, d’intrépidité et de gaieté en toutes circonstances a été une source d’inspiration très précieuse pour ceux qui travaillent avec lui et a largement contribué au maintien très réussi des communications de la Bde au cours de la période en question.
Bombardier Robert Cecil Kelly MM
Les circonstances de ce prix restent à découvrir
Artilleur John Long Kelso MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Murdock A Kennedy MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Roy Leslie Kennedy MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Patrick Keogh MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Julian Patrick Keoughan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Howard Edward Kerr MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant Robert Donald Kerr MM
Lors de l’opération BLOCKBUSTER, le 26 février 45, le L/Bdr Robert Donald Kerr était l’un des signaleurs d’artillerie chargés de maintenir la communication en ligne avec un officier d’observation avancé du Régiment de la Chaudière. A 15 heures, le 26 février 45, le Régiment de la Chaudière, après sept heures d’âpres combats, est retenu en deçà de son dernier objectif. Toutes les communications avec la compagnie de l’avant gauche étaient interrompues. Il était essentiel que cet objectif soit atteint avant le lancement de la phase II de l’opération BLOCKBUSTER. Pour ce faire, il a fallu ouvrir des communications avec cette compagnie avancée et préparer un nouveau plan de lutte contre les incendies. Le L/Bdr Kerr, à pied, a traversé un champ balayé par les tirs de mitrailleuses et de mortiers ennemis pour établir une ligne vers la compagnie qu’il a établie à peine 24 minutes avant l’heure zéro fixée pour l’attaque. Parfois, au cours de cette action audacieuse, sa veste a été percée à plusieurs endroits par des éclats d’obus. Cependant, sans faire fi de sa propre sécurité, le L/Bdr Kerr a continué à pied et a établi toutes les communications essentielles. Grâce à son action vaillante, le plan d’artillerie comprenant deux régiments de campagne, une batterie moyenne et deux batteries lourdes est coordonné avec l’attaque d’infanterie, l’objectif final étant atteint, permettant de lancer la phase II de l’opération.
Sergent Robert Kewley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Edmund Francis Key MM
Pour sa bravoure et son courage, il fit preuve le 14 novembre 1917. Un obus tomba sur un gros tas de munitions, provoquant une terrible explosion qui tua et blessa un grand nombre d’artilleurs, de chauffeurs et de chevaux, et incendia deux camions à moteur, ainsi qu’un gros dépôt de munitions (en caisses) sur la route. En entendant les cris des blessés venant des flammes des camions en feu, cet homme a immédiatement couru à son secours, tandis que presque tous les autres fuyaient les obus encore brûlants dans les environs. Il entra encore et encore dans la zone en flammes et réussit à trouver et à déloger six R.F.A. Les artilleurs sont tous grièvement blessés et leurs vêtements déjà en feu. Il a roulé les blessés dans la boue pour éteindre les flammes et les a transportés hors de la zone dangereuse. Il est ensuite retourné vers les camions toujours en feu et a cherché parmi les morts d’autres hommes vivants. Il n’est pas parti jusqu’à ce qu’on lui ordonne de le faire. Quelques secondes après qu’ils se soient dégagés, un autre tas a explosé avec une forte explosion, qui aurait sans aucun doute tué les secourus et le sauveteur s’il avait été là quelques minutes plus tard.
Artilleur Joseph Burnett Kiggins MM
Le 13 janvier 1918, la position de la batterie est lourdement bombardée par deux batteries ennemies et les détachements sont ordonnés à l’abri. Alors qu’ils étaient dans l’abri depuis trois heures et que les bombardements étaient encore intenses, le Cpl Murray a entendu un appel à l’aide. Lui et L’Art. Kiggins ont immédiatement couru hors de la pirogue et ont trouvé un homme étendu très grièvement blessé à environ 50 mètres de là. Ils l’ont bandé puis transporté au poste de secours sur une civière. Ils ont été sous le feu d’obus alors qu’ils le transportaient sur 300 mètres. L’homme est ensuite décédé des suites de ses blessures.
Sergent maréchal-ferrant William Kincaid MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant Allan Osborne King MM
Le Bombardier suppléant King, batterie « E », du 2e Régiment, The Royal Canadian Horse Artillery, est le conducteur-opérateur d’un officier d’observation avancé. À ce titre, ses fonctions l’obligent à conduire une jeep transportant des communications vitales avec laquelle son officier est capable de diriger le tir des canons pour soutenir l’infanterie avancée. Il a également la responsabilité d’opérer deux postes sans fil, l’un assurant la liaison avant avec son officier qui avance à pied avec les compagnies de tête et l’autre, la liaison arrière avec le poste de canon. Dans ce rôle des plus importants, le Bombardier suppléant King retransmet tranquillement et froidement les ordres de tir, souvent sous le feu des armes légères et des mortiers et au mépris total de son confort et de sa sécurité personnels. Ainsi, la liaison de communication vitale reste ouverte et le soutien d’artillerie essentiel à l’infanterie est assuré. Le 11 juillet 1951, le Bombardier suppléantKing accompagnait son officier lors d’une patrouille de combat au sein du 2e Bataillon du Princess Patricia’s Canadian Light Infantry. Alors que la patrouille avançait dans une petite vallée, l’ennemi des deux côtés de la vallée a ouvert le feu, causant de graves pertes à notre infanterie. Les survivants, dont l’officier du Bombardier suppléant King, ont été coincés juste devant la jeep par de violents tirs d’armes légères. Le Bombardier suppléant King se rendit immédiatement compte qu’un soutien d’artillerie serait nécessaire rapidement, alors il saisit les casques de ses postes sans fil et, accroupi derrière sa jeep, tout à fait inconscient des tirs d’armes légères autour de lui, il transmet froidement et soigneusement les ordres de tir de son officier à les pistolets. Ce feu d’appui permet aux survivants de se réorganiser et d’envisager un retrait avec les blessés. Toujours sous le feu des deux côtés, le Bombardier suppléant King transmet alors l’ordre de poser un écran de fumée et, sous le couvert de celui-ci, la patrouille est dégagée sans autre perte. Il ne fait aucun doute que le courage et le dévouement du Bombardier suppléant King sous le feu, qui ont permis de transmettre les ordres vitaux, ont été un facteur majeur pour sauver la vie de plusieurs de ses camarades d’infanterie et garantir que la patrouille revienne avec les informations importantes. il avait gagné. Ses actions ont été une source d’inspiration pour ceux qui l’entouraient.
Artilleur Bernard King MM
Le 1er novembre 1917, cet artilleur se trouvait dans un blockhaus lorsqu’il fut signalé qu’un homme grièvement blessé gisait à une certaine distance sur la route. L’ennemi bombardait lourdement la route à ce moment-là, mais l’artilleur KING, faisant preuve d’un courage considérable, se porta volontaire pour faire venir cet homme. Il a fait le voyage et a transporté le blessé en lieu sûr.
Artilleur James Kingsburgh MM
À minuit les 5 et 6 novembre, il transporta une lampe de signalisation des files de wagons jusqu’à la position de la batterie. L’officier observateur avancé avait besoin de la lampe pour l’attaque du matin du 6 novembre. Il fallait absolument avoir la lampe immédiatement, car ceux de la batterie avaient été détruits par des tirs d’obus cette nuit-là. Afin d’atteindre la Batterie à temps, le Mitrailleur KINGSBURGH a dû subir des tirs d’obus très nourris dirigés sur les routes et les positions de la Batterie. Un obus explosif l’a renversé une fois et l’a étourdi. Incapable de marcher pendant quelques instants, il se déplaça à quatre pattes et livra la lampe. En conséquence, l’équipe d’observation est arrivée à destination à temps.
Sergent Alfred Kinnear MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Judson Lewis Kinnie MM
Pour un service courageux et méritoire. En septembre ; Le 3 1916, lors d’une attaque sur Thiepval, un rapport fut reçu au QG de la Bde d’Artillerie selon lequel une partie de notre tranchée dans la vallée était occupée par l’ennemi. Cet homme, qui était de service avec un F.O.O. se sont portés volontaires pour visiter la tranchée et obtenir des informations. Il s’est frayé un chemin à travers un barrage nourri, des tirs de fusils et de mitrailleuses et a rapporté un rapport sur la partie de la tranchée que tenait l’ennemi. Cette information était très importante à cette phase de l’attaque et a été transmise au QG divisionnaire. Cet homme a rendu de bons services continus en maintenant les communications sous des tirs nourris d’obus et s’est souvent porté volontaire pour des travaux dangereux.
Conducteur Wilfred John Kinsella MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Murray Glover Kirkpatrick MM
Pour bravoure et dévouement au devoir devant PASSCHENDAELE. Le 10 novembre 1917, il a transmis avec succès de nombreux messages d’importance tactique de MOSSELMARKT à la station sans fil de PASSCHENDAELE grâce à un barrage intense de tirs d’obus et de mitrailleuses. Lorsque le sans fil a été renversé, il a placé sa lampe dans un trou d’obus jusqu’à ce qu’elle soit complètement détruite par un obus.
Bombardier Neil Kirkpatrick MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables au cours des opérations d’octobre ; 1er. Ce sous-officier était avec l’officier observateur avancé dans la tranchée de Hesse et lorsque la ligne entre les tranchées de Hesse et de Zollern était continuellement coupée par les tirs nourris d’obus, ce sous-officier. traversèrent volontairement le terrain découvert entre les deux tranchées à de nombreuses reprises au cours de la journée, et les informations de la plus grande valeur purent ainsi être renvoyées à la batterie et au QG du groupe. Ce travail a été effectué dans des conditions des plus éprouvantes et sous un barrage hostile extrêmement intense tout au long de la journée.
Sergent Carl Delormier Kiser MM avec barre
Médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Artilleur John Milton Klock MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Edward Winslow Knapp MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent William Ashby Knight MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Dans la nuit du 17 au 18 août, à la position de canon, il est resté en service près des canons pendant trois bombardements de gaz intenses et a éteint trois incendies dans des fosses à munitions, économisant ainsi de nombreuses cartouches et empêchant que la position de la batterie ne soit révélée à l’ennemi.
Sergent Fred Hayes Knowles MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur James Ritchie Knowles MM
Pour le courage et le dévouement au devoir. Lors d’un raid le 15 mars 1918, l’artilleur KNOWLES accède au poste de signaleur du F.O.O. avec le raid. Par son sang-froid et son efficacité sous un feu nourri, il apporta une aide précieuse à la F.O.O. en installant la lampe Lucas lorsque leur position à l’intérieur des lignes ennemies avait été atteinte. Bien que la lampe ait été renversée à plusieurs reprises par des explosions, le travail de l’Art. Knowles a permis de la mettre en place et de l’aligner de manière à ce qu’elle soit en service jusqu’au retrait du groupe. Il semblait toujours penser à la sécurité de son équipement avant la sienne. Sa détermination et son courage tout au long de cette opération dangereuse ont constitué un bel exemple pour tous les grades.
Artilleur William Knox MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.

Sergent Alfred Lagimodière MM
Pour un travail particulièrement satisfaisant à tout moment et un dévouement sans faille au devoir. Son travail fut particulièrement remarquable lors des combats à Ypres en juin 1916. Ce sous-officier. fait partie de cette unité depuis février 1915.
Artilleur Arthur Campbell Laing MM
Pour sa conduite courageuse sous les tirs d’obus en aidant au sauvetage de quatre sous-officiers et hommes blessés de l’A.S.C. après avoir incendié des camions chargés de munitions, le 5 novembre 1917. Par son action prompte, il a sans aucun doute sauvé un incendie général en aidant à déplacer d’autres camions chargés de munitions se trouvant à proximité et qui, s’ils avaient pris feu, auraient détruit des armes et des munitions. de la batterie. Il a sauvé un caporal de l’A.S.C. qui était un grand homme, Art. LAING, qui est de petite taille, l’a soulevé sur le dos et lui a dit : « Tenez bon, mon vieux, je vais vous amener là-bas » et a commencé à le porter jusqu’au poste de secours, à une certaine distance, sur un terrain accidenté.
Artilleur Arthur Percy Lait MM
Pour son courage et son dévouement remarquables. Le 15 août 1917, Art Lait agit comme juge de ligne. Les lignes ont été brisées à maintes reprises, mais malgré l’apparente désespoir de la tâche, il a travaillé à les réparer avec un mépris total du danger et une détermination acharnée, sous des bombardements nourris, des mitrailleuses et des fusils. Son admirable travail a permis d’établir la communication de temps à autre et a fourni un moyen d’envoyer des messages de la plus haute importance au contrôle de l’artillerie, contribuant ainsi au succès de l’opération sur cette partie du front.
Sergent Harold Leslie Lake MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Stewart William Lake MM
Après être entré dans la tranchée ennemie le 1er octobre ; lui, en raison des pertes, s’est retrouvé seul dans ce secteur particulier et a rencontré trois Allemands armés de fusils et de baïonnettes. Lui-même était légèrement blessé et avait laissé tomber son propre fusil. Sans un instant d’hésitation, il leva la main pour lancer sa bombe et ordonna en même temps aux Allemands de jeter leurs fusils, sinon il la lancerait. Ils ont obéi à son ordre et il a gardé ses prisonniers sous contrôle absolu jusqu’à ce que deux autres hommes de sa propre compagnie viennent vous et il a ramené les trois prisonniers au QG de Batt’n. Les prisonniers étaient d’un type raffiné, l’un d’eux était décoré du fer. Croix.
Caporal Clarence Frederick Lambert MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Chris Nelson Langeson MM MSM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Chauffeur John Henry Langmead MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant Douglas Harvey Langtree MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Nicholas Lannigan MM
Le soldat Lannigan a fait preuve d’une grande bravoure en réparant et en posant continuellement des fils téléphoniques sous le feu nourri des obus et en faisant un bon travail constant.
Conducteur John Graham Larmour MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables le 4 novembre près de Zonniebeke. La seule route a été la cible de tirs d’obus extrêmement nourris toute la matinée et les hommes envoyés pour emballer les munitions ont tous été blessés ou refoulés par le contrôleur de la circulation, à l’exception de cet homme qui, sachant à quel point la batterie manquait de munitions, a été poussé à travers, malgré les bombardements intenses. , il revint et, bien que le bombardement fût encore exceptionnellement intense, fit un deuxième voyage à la batterie. Le Dr Larmour s’est arrêté lors de son deuxième voyage auprès d’un camarade grièvement blessé d’un point dangereux au poste de secours.
Artilleur Edward Caron LaRose MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Herbert Cridge Laundy MM
Pour un bon travail continu au cours des dix derniers mois alors qu’il était en charge des communications téléphoniques, faisant souvent preuve d’une grande bravoure dans la réparation des fils sous des tirs nourris d’obus.
Artilleur John Law MM
Pour bravoure et dévouement remarquables lors des opérations de Courcelette le 1er octobre. Cet homme était avec l’officier observateur avancé et lorsque la ligne était continuellement coupée par les tirs nourris d’obus, ce tireur traversait volontairement le terrain découvert à de nombreuses reprises au cours de la journée, et des informations de la plus grande valeur pouvaient ainsi être renvoyées à la batterie. et le siège du groupe. Ce travail a été réalisé dans les conditions les plus éprouvantes et sous un barrage hostile extrêmement intense tout au long de la journée.
Sergent Lorne Welrose Law MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Robert F rederick (Fred) Law MM
Pour son courage et son dévouement remarquables, ce sous-officier. a maintenu un mortier de tranchée lourd en position avancée en action sous des tirs d’obus extrêmement intenses. Les tirs d’obus dans les environs étaient si intenses que les débris tombant sur le support du canon devaient être retirés après chaque tir avant de pouvoir recharger le mortier. Par sa grande démonstration de courage et d’intrépidité, ce sous-officier. a insufflé confiance à l’homme sous ses ordres et a permis au canon de continuer à tirer tout au long des opérations.
Sergent William Richard Laws DCM MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Au cours de l’action du 30 octobre 2017, le Sgt. LAWS était en charge du n°4. pistolet. Dans le bombardement intense de la batterie par l’ennemi, ce sous-officier. a été frappé sur l’armée par un morceau d’obus. Sa blessure est rapidement pansée et on lui demande de se rendre au poste de secours mais il demande à pouvoir rester en service car il y a eu plusieurs blessés et les sous-officiers se font rares, deux ayant été blessés juste auparavant. Il a continué à garder son arme tout au long de l’action, puis s’est rendu au poste de secours, mais a repris son service après avoir été vacciné.
Sergent William Sinclair Lawson MM
Pour conduite vaillante et méritoire le 16 mars 1916, lorsqu’il répara à plusieurs reprises des fils téléphoniques sous de violents tirs d’obus, permettant ainsi à sa batterie de poursuivre un tir contrôlé, et par la même occasion secourir un camarade mortellement blessé, toujours sous le feu.
Artilleur Frederick Lorne Lawton MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS le 3 mai. Avant et pendant les opérations, cet artilleur agissait comme juge de ligne et maintenait les lignes du Hqrs de la 5e Brigade. dans le remblai ferroviaire jusqu’aux batteries dans la plaine en face. Le remblai ferroviaire et les positions de la batterie ont été soumis à un tir continu et intense d’obus ennemis et les différentes lignes de batterie ont été coupées plus de vingt fois, mais Art. LAWTON a trouvé et réparé les ruptures, et à aucun moment la communication n’a été perdue pendant plus de quelques minutes. Art. Lawton a fait preuve d’un grand courage et d’un grand sang-froid et son travail était particulièrement brillant et a été effectué indépendamment des tirs d’obus les plus intenses.
Artilleur Arthur Harold Lea MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Edgar Ainsley Leach MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Claude Auguste Leaper MM
Pour conduite galante et indifférence envers soi-même près de Courcelette Nov ; 9/10 novembre. 1916. Lorsque la position de la batterie et ses environs ont été bombardés par des obus à gaz, il a aidé le lieutenant. Ferrier en emmenant deux hommes vers un poste de secours situé à 1 200 mètres. À son retour, il s’est porté volontaire pour aider à exécuter un autre homme gazé. Il a donc travaillé de 21 heures à 21 heures. à 3h du matin dans une zone fortement chargée en gaz et constamment sous le feu des obus, aidant à évacuer les hommes souffrant des gaz.
Sapeur James Leary MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Cet homme faisait partie d’un groupe de dix personnes qui avançaient directement derrière l’infanterie et établissaient et entretenaient la communication entre la station d’observation et la tête de câble. Malgré les tirs nourris d’artillerie et de mitrailleuses, il a réparé la ligne à plusieurs reprises, et lorsque le bombardement est devenu si intense qu’il a rendu impossible la communication téléphonique, cet homme a agi comme coureur et a reçu de nombreux messages à travers le barrage, ce qui a permis à l’artillerie de traiter. efficacement avec des tentatives de contre-attaques. Cet homme a fait preuve d’un grand sang-froid, de courage et de détermination.
Bombardier Francis LeBreton MM
Pour son travail remarquable et son dévouement au devoir le 6 octobre, cet officier de marine a établi une communication téléphonique entre le QG du groupe et un poste d’observation très exposé à l’avant de notre tranchée de première ligne, dans des conditions extrêmement difficiles, car le travail a été effectué sur un terrain très exposé et à la vue de l’ennemi. Tout au long de la journée, il a maintenu la communication malgré le feu nourri des obus et des mitrailleuses.
Sergent Thomas Alex Ledwell MM
Le 28 octobre 1917, alors qu’il était en service à la position de la batterie où l’ennemi bombardait continuellement la batterie et ses environs pendant toute la durée de son service, LEDWELL a vu les munitions d’une autre batterie incendiées, et, aucun homme n’étant présent, immédiatement avec le plus grand feu. sang-froid et jugement, a traversé les tirs d’obus jusqu’à l’autre batterie et, bien qu’une caisse de munitions ait explosé, a éteint l’incendie, sauvant le reste et est retourné à sa batterie en toute sécurité. De plus, pendant toute la journée, il a fait preuve du plus grand sang-froid et a été un exemple pour les hommes qui les ont maintenus stables en travaillant avec leurs armes pendant cette épreuve éprouvante.
Artilleur Edgar Lee MM
Pour bravoure et dévouement remarquables à l’EMBAKEMENT FERROVIAIRE près de VIMY, le 13 mai 1916. Lorsque sa batterie était lourdement bombardée, les deux entrées de l’abri profond ont été détruites par des obus ennemis, avec des fusées à action retardée. Il y avait alors cinq hommes dans la pirogue, qui n’était pas reliée entre les deux entrées. Les artilleurs Lee et Crocker, voyant la situation et sachant que les hommes ne pourraient pas tenir longtemps dans la petite pirogue, malgré les intenses bombardements hostiles, ont creusé une ouverture dans la pirogue et ont libéré les hommes emprisonnés. Les hommes relevés étaient dans un état très épuisé, et c’est grâce au grand courage et à l’ingéniosité manifestés par ces deux hommes que la vie des cinq hommes dans l’abri a été sauvée.
Artilleur William Batoche Leech MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Peter Lefort MM
Pour son courage et son dévouement remarquables. Le 28 mars 1918, l’ennemi commença un terrible bombardement de la position avec plusieurs batteries de différents calibres. Pendant le bombardement, le Dr Lefort accompagné du Bdr McKenzie se lancent dans la réparation des lignes téléphoniques. Bien que soumis à des tirs d’obus très nourris, ils réparèrent bris après bris et raccordèrent les pièces là où des longueurs avaient été emportées par le vent, atteignant enfin la boîte d’essai et entrant en communication avec la brigade. Ils ont ensuite réparé la ligne O.P. et acheminé un fil vers une batterie dont la communication avait été détruite. Au fur et à mesure que de nouvelles fissures étaient réalisées, ils les réparaient encore et encore, toujours sous le feu nourri de S.E. et des éclats d’obus. À un moment donné, le docteur Lefort fut projeté sur plusieurs mètres par le souffle d’un obus éclatant, mais lui et son compagnon continuèrent et réussirent à maintenir la communication tout au long du bombardement.
Artilleur Walter Alfred Légat MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant Arthur Harold Leigh MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Weston LeLacheur MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Harold James Leslie MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Ewart Levan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent suppléant Joseph Harold Lewis MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Walter Frank Lewis MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 6 novembre 1917, lors de l’attaque de Passchendaele. Un obus hostile explose sur la position de la batterie. L’explosion a endommagé la brèche de l’obusier la plus proche de la décharge, le mettant hors d’usage. Bien que la décharge brûlait encore et que quelques obus aient explosé à ce moment-là et que le feu hostile ait été très intense, Fitter Lewis s’est immédiatement mis au travail et, en dix minutes, l’obusier était en action. Le courage, la détermination et le sang-froid affichés par ce Fitter donnaient l’exemple aux autres hommes de la batterie.
Artilleur Ralph Marshall Lidstone MM avec barre
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir le 30 octobre 1917, près de KEERSELAARHOEK, BELGIQUE, lors de la 7e phase de l’attaque de PASSCHENDAELE. Cet homme était attaché à l’officier d’observation avancé en service avec l’infanterie d’assaut (85th Canadian Battn.) Le barrage hostile était si intense que la communication téléphonique avec l’officier de liaison de Battn était rendue impossible. Cet homme était utilisé comme coursier pour porter les messages du F.O.O. à la Bn.L.O. Malgré le feu nourri, il ne manquait jamais de délivrer ses messages qui étaient de la plus haute importance. À de nombreuses reprises ce jour-là, cet homme a fait preuve d’une bravoure et d’un dévouement exceptionnels au devoir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Bombardier Samuel Morton Lilley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Alexander Errol Lindsay MM
Un obus hostile a fait exploser des munitions dont certaines se trouvaient dans des bâtiments qui se sont effondrés, 18 hommes ont été tués et 10 blessés par l’explosion. Cet homme a fait preuve d’un grand courage en pénétrant dans un bâtiment dans lequel la cordite brûlait violemment et des fusées et des tubes explosaient et a réussi à extraire plusieurs hommes des décombres, leur sauvant ainsi la vie.
Sergent James Arthur Lindsay MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Richard Chisman Lister MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Charles Litherland MM
Pour sa bravoure remarquable lors du sauvetage des blessés sous le feu lors du bombardement intense des positions de la batterie le 31 mai 1916. Plusieurs coups directs ont été obtenus sur les canons, causant des victimes, le Art Litherland assisté du No83858, Bdr Yardley, a placé le Art Macdonald, l’un des blessés sur un tapis de tranchée. et alors qu’il le transportait en lieu sûr, un obus tomba entre eux, tuant le Art Macdonald et blessant mortellement le Bdr Yardley. L’Art Litherland a été blessé au visage et étourdi, se remettant, il a aidé le Bdr Yardley à se mettre en sécurité et est revenu accompagné du No 83892 Art Bing et a transporté encore un autre homme blessé, CondTierman, en sécurité.
Artilleur Leonard James Little MM
Pour une bravoure et un dévouement continus au devoir. Le 15 août 1917, Gunner Little agit comme juge de ligne. Il travaillait toute la journée à réparer des lignes. Son travail s’est déroulé sous le feu. Des bris après les bris se sont produits dans la ligne, mais Gunner Little a répondu à chaque appel et a réparé le bris. Son intrépidité et sa détermination ont contribué à assurer la communication par laquelle de précieux messages de contrôle de tir d’artillerie ont été envoyés, contribuant ainsi au succès de l’opération sur cette partie du front.
Sergent William Carruthers Little MM
Près de Courcelette dans la nuit du 17 au 18 octobre ; En 1916, un tir direct de cette batterie a subi un coup direct, mettant le feu aux munitions, blessant et emprisonnant un tireur. Le Sgt Little, en compagnie du Sgt Hayes, au prix de grands risques, est entré dans la fosse à canon et a réussi à éteindre les munitions qui étaient en feu, puis à évacuer le tireur blessé qui est décédé par la suite.
Sergent William James Little MM
Pour sa conduite courageuse sous les tirs d’obus en aidant au sauvetage de quatre blessés A.S.C. , des sous-officiers et des hommes après avoir incendié des camions chargés de munitions le 5 novembre 1917. Par son action rapide, il a sans aucun doute sauvé une conflagration générale en aidant à déplacer d’autres camions chargés de munitions se trouvant à proximité, qui, s’ils avaient pris feu, auraient détruit les canons et les munitions de la batterie.
Artilleur Reginald Armitage Lockwood MM
Le matin du 17 avril 1918, le signaleur McCormack et le signaleur Lockwood retournaient à Battery. La zone qu’ils traversaient a été soudainement bombardée, un obus tombant très près d’eux, blessant très grièvement le Sglr McCormack. Le Slgr Lockwood a fait preuve d’un grand courage et d’une grande présence d’esprit en transportant le blessé à environ trois cents mètres jusqu’à une ligne de tramway, s’est procuré un camion et a réussi à amener son camarade blessé à un poste de secours à plus d’un mile de distance, l’ensemble de la représentation étant soumis à de sévères conditions. tirs d’obus. Ce Sglr, par sa prévoyance, son courage et sa vaillante endurance, contribua matériellement à sauver la vie de son camarade.
Bombardier Francis Henry Lomax MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur John Joseph Longeway MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Herbert Stanley Longhurst MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Richard Lowe MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal James Edward Lynch MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Thomas William Lynch MM
Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Artilleur Ian Alexander Macauly MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Brodie Cruickshank MacDonald MM
Dans la nuit du 12 août 1917, la 10e Batterie C.F.A., en position près de VIMY, est lourdement bombardée pendant deux heures. Les communications de la Bde Hdqrs, y compris celles avec l’infanterie, passaient par le bureau de signalisation de la batterie et étaient reliées à un système enterré dans une boîte d’essai située à 50 mètres devant les canons. Lors du bombardement du Bty, les lignes menant à cette zone de test ont été coupées sept fois. A chaque fois, ce N.C.O. ont subi le bombardement, pour les réparer et, par conséquent, les communications de la Bde ont été maintenues. Son dévouement au devoir et aux ressources a été remarquable.
Sergent Milton Ferguson MacDonald MM
Ce sous-officier était en service sans interruption de zéro heure le 15 août 1917 à 19 heures. 17 août 1917. Durant cette période, il effectua de nombreux voyages depuis le F.O.O. au point de saut, de jour comme de nuit. Lors de trois voyages, il transporta de précieuses informations du F.O.O. qu’il renvoya de la première station qu’il trouva en communication avec la Brigade. Au cours de son service, il a posé six nouvelles lignes vers F.O.O., en raison des bombardements intenses de l’ennemi, les lignes ont parfois été complètement détruites. Il continuait son travail chaque fois que la ligne tombait et s’exposait constamment à de grands dangers car il devait se frayer un chemin à travers un barrage hostile.
Sergent-major de batterie Roderick MacDonald MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Charles Thomas MacDonald MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Foch Edgar MacDonald MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Tennyson Alex MacDonald MM
A fait preuve d’une grande bravoure en posant des fils téléphoniques et en maintenant les communications de la batterie sous le feu des obus, depuis le 1er juillet.
Caporal Harry Alfred MacDougall MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Harry Sinclair MacKay MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Donald Alvin Mackenzie MM
Pour sa conduite courageuse et son dévouement au devoir près de Courcelette, le 26 septembre 1916. Alors qu’il se trouvait au Battn Hdqrs avec l’officier de liaison de l’artillerie, à plusieurs reprises, lorsque les lignes téléphoniques étaient rompues, il est sorti sous un feu très nourri et les a réparées. À au moins deux occasions, alors que les communications téléphoniques étaient coupées, il s’est tenu sur le parapet et a transmis des messages par drapeau, sous un feu nourri. Sans le sang-froid de ce sous-officier, plusieurs messages importants auraient été retardés jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
Bombardier James Robertson MacKenzie MM
Pour service courageux et méritoire à VIMY. Dans la nuit du 27 avril 1917, puis dans l’après-midi du 28 avril 1917, la ligne téléphonique de cette batterie tomba sous une partie d’un lourd H.E. de 5,9 pouces hostile. barrage et a été coupé. A chaque fois, ce N.C.O. avec un mépris total du danger et avec un grand dévouement au devoir, il est allé dans le barrage et a réparé la ligne, maintenant ainsi la communication entre la batterie et l’O.P. À plusieurs reprises, il a accompli un travail vaillant en tant que juge de ligne de batterie.
Sergent Kenneth MacKenzie MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Thomas William MacKenzie MM avec barre
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Le 11 instant, une section avant de la batterie a été lourdement bombardée pendant quelques heures, provoquant plusieurs incendies dans des décharges de munitions. Beaucoup de munitions auraient été perdues sans le courage et la présence d’esprit de ce sous-officier qui, quel que soit le danger, a éteint les incendies au fur et à mesure qu’ils se produisaient. Ce n’est pas non plus la première fois, dans des circonstances éprouvantes, que sa conduite est des plus louables.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Bombardier Ronald Joseph MacLean MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Kenneth Leroy MacNab MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Alexander MacNaughton MM
Le 9 novembre, il accompagnait un convoi chargé du sergent-major Thompkinson.
Apportez des munitions à la position du canon à l’est de ST. JULIEN. À proximité de ST. JULIEN le train a été pris dans le lourd barrage, Sergent-Major. Thompkinson et cinq conducteurs ont été blessés et tout le train a été plongé dans la confusion. Sergent. McNaughton a immédiatement pris les commandes, a transporté les blessés au poste de secours et a reformé son train de meute. Après avoir envoyé quelques chevaux blessés à l’arrière, il se dirigea vers la batterie et réussit à livrer les munitions, même si le bombardement se poursuivit tout au long du parcours. Sergent. Le sang-froid et le leadership splendide de MacNaughton ont grandement stabilisé et encouragé ses subordonnés et, grâce à sa prévenance, il a emmené l’homme dans un lieu sûr, a sauvé plusieurs chevaux précieux et a livré les munitions.
Sergent James French MacNaughton MM
Le 1er juin, pour leur bravoure et leur dévouement, la batterie a été très lourdement bombardée, le troisième obus a touché directement le poêle de la cuisine situé à l’entrée de deux abris, dans l’un desquels quatre hommes ont été temporairement enterrés. Le N.C.O. mentionné ci-dessus avec deux hommes, se précipita vers l’entrée et commença à creuser. Après un travail acharné et considérable, ils avaient réussi à faire un trou suffisamment grand pour que le médecin puisse entrer dans l’abri. Cette action prompte et courageuse, sous ce feu nourri d’obus, fut sans aucun doute le moyen de sauver la vie des hommes enterrés dans l’abri.
Artilleur Stuart Simmons MacNaughton MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Duncan MacNeil MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 17 août 1917. À trois reprises, cet homme est sorti sous un feu nourri, des tirs de mitrailleuses et de fusils, et s’est efforcé d’établir la communication avec la batterie. À une de ces occasions, il a passé trois heures à travailler dans l’obscurité à travers le barrage ennemi dans le but de maintenir la communication et n’a renoncé que lorsqu’on lui a ordonné de le faire. Le courage, le sang-froid et le dévouement de cet homme constituaient un excellent exemple pour le reste des hommes de la batterie.
Artilleur William Howe Kirk Macneill MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Donald Stuart MacPherson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Horatio Herbert Kitchener MacPherson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Roy Arthur Maess MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur James Mahoney MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Lewis Clayton Main MM MSM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent quartier-maître de la batterie Samuel Majury DCM MM
Le 3 mai 1917, près de FARBUS, alors que la position de la batterie était lourdement bombardée, l’un des emplacements de canons fut touché directement par un obus de 5,9 pouces et les cinq occupants furent blessés. SQMB.Majury, qui se trouvait à 25 mètres, a immédiatement couru au secours de ses camarades et a contribué à éloigner les cas les plus graves de la position de la batterie. Son action était un magnifique exemple de sang-froid et de galanterie
Bombardier Thomas Makin MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Charles Maloney MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur William Maloney MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Walter Lowrie Maltby MM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir lors des opérations à PASSCHENDAELE le 4 novembre 1917. Ce sous-officier. était chargé d’un groupe de travail construisant une route à quelque distance de sa batterie. Lorsqu’il a vu que la section droite de sa batterie était lourdement bombardée, il s’est précipité avec six hommes et, constatant que l’équipage était blessé, il a immédiatement mis le canon en action et a travaillé sur l’autre pour finalement le mettre en action, également juste avant qu’un appel ne soit reçu pour un S.O.S. La bravoure, la détermination et l’initiative affichées par ce sous-officier. a permis à la batterie de disposer de six canons en action contre une puissante contre-attaque ennemie.
Artilleur Percy Lorne Manchester MM
Pour grande bravoure et dévouement au devoir près de Courcelette les 17/18 novembre 1916, lors de la prise de la Tranchée du Désir. Il est resté en service sans interruption pendant 36 heures, restant sous un lourd barrage ennemi et réparant bris après bris dans les lignes téléphoniques. Au cours de cette période, le quartier général du bataillon a été changé deux fois et les lignes ont été coupées 28 fois.
Artilleur Malcolm James Manderville MM
2 septembre 1944, le 8e peloton est coincé par les mitrailleurs ennemis  » Le soldat Manderville, dont le numéro deux sur le Bren avait été blessé, commença à traquer seul le poste de mitrailleuse. Pendant près d’une demi-heure, il rampa vers lui, se livrant à un duel et détournant le feu de son peloton. Finalement, il se rua sur la position et anéantit le poste ennemi à lui tout seul.
Caporal Randolph Amos Mann MM
Pour sa bravoure exceptionnelle et son dévouement au devoir le 22 octobre 1916, lorsqu’une explosion s’est produite dans le puits à canon, alors que la batterie était en train de tirer, mettant le feu aux munitions et au puits à canon. Ce sous-officier est entré dans le puits à canon malgré la chaleur intense et a retiré le viseur à cadran et son support du chariot du canon. Ce faisant, il a été très gravement brûlé, ce qui a nécessité son évacuation.
Artilleur Frederick William Mansell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Alex John Marchuk MM
Tout au long de la bataille de la vallée de Liri en mai 1944 et à nouveau lors des actions de la Ligne Gothique en août 1944, l’artilleur Marchuk a fait preuve d’un courage et d’un dévouement de haut niveau. Le 24 mai 1944, ce militaire conduisait un véhicule qui s’avançait pour reconnaître une nouvelle position de canon. Le groupe dont il faisait partie a été soumis à des tirs nourris de mortiers, d’obus et d’armes légères, mais malgré le fait que son véhicule ait été touché par des fragments d’obus, l’artilleur Marchuk a exercé ses fonctions sans hésitation. L’exemple qu’il a donné a été un grand encouragement pour tous les grades présents et aucun retard n’a été enregistré dans la préparation de la nouvelle position d’artillerie pour l’occupation. Dans la nuit du 24 au 25 août 1944, la position de canon du régiment près de Montemaggiore fut lourdement bombardée, tuant le commandant et blessant grièvement deux signaleurs. Malgré les bombardements continus et rapprochés, l’artilleur Marchuk a immédiatement prodigué les premiers secours. Après avoir constaté que le commandant était mort et que l’un des blessés ne pouvait plus être aidé, il appliqua habilement des pansements au deuxième signaleur blessé. Ensuite, la route menant au poste de secours s’est avérée bloquée par des véhicules endommagés par les bombardements. L’artilleur Marchuk a organisé une équipe de transport et l’a conduite avec le blessé au poste de secours. Son action courageuse a sans aucun doute non seulement sauvé la vie de cet homme, mais a également donné un grand encouragement et une grande inspiration à ses camarades. Le travail de ce Artilleur Conducteur a toujours été remarquable et son initiative et son courage sous le feu ennemi méritent les plus grands éloges.
Artilleur Robert Douglas Margach MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Arthur Marks MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Charles Albert Marley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Rodrique Gilbert Marquis MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur William James Marsden MM
Cet homme est le cuisinier de batterie et tenait un cheval le matin du 2-4-17 sous un feu nourri d’obus lorsque le cheval a été grièvement blessé et s’en est occupé jusqu’à ce que, sous les ordres, il l’ait quitté à contrecœur ; par la suite, un estafette a été touché par un obus, lui arrachant le pied droit et lui cassant la jambe, le mitrailleur Marsden s’est précipité à son aide et, sous un feu nourri, a rapidement utilisé un puttee comme garrot pour arrêter le flux de sang et a fait signe de l’aide et l’a emmené vers un lieu de sécurité. L’artilleur Marsden a agi avec beaucoup de sang-froid et de promptitude et a pris de grands risques pour lui-même. Cela s’est produit à la position de la batterie près de la ferme de Berthonval.
Bombardier James Marshall MM
Pour un service courageux et particulièrement méritoire à VIMY. Le 9 avril 1917, il traversa trois fois le barrage allemand pour poser et réparer un fil téléphonique vers un O.P. sur la RIDGE. Son travail courageux et consciencieux a permis de renvoyer de nombreuses informations précieuses. Il a rendu des services très efficaces sur le terrain au cours des neuf derniers mois et n’a reçu aucune récompense antérieure.
Sergent Eugène Marshman MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Albert Martin MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Charles Martin MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal George Stanley Martin MM
Avec leur batterie, le Cpl Martin et le Cpl Bennett ont posé une ligne téléphonique depuis le CRATERE LICHFIELD en passant par le TUNNEL VOLKER jusqu’au MOULIN THELOS lors des opérations contre la CRÊTE DE VIMY, le 9 avril 1917. Devançant le bataillon de « nettoyage », ils ont été retenus. par une barricade et une mitrailleuse dans le tunnel. Ils surmontèrent cette opposition et après avoir remis 12 prisonniers à l’infanterie, ils créèrent un F.O.O. à temps pour la prochaine attaque. Lorsque leurs lignes ont été coupées, ils continuent à renvoyer des informations opportunes par coureur, faisant preuve d’initiative, de persévérance et d’une grande bravoure.
Bombardier John Patrick Martin MM
Pour sa grande bravoure et son abnégation à VIMY le 14 mai 1917. Au cours d’un bombardement très intense de la position de la batterie, l’abri de la sous-section, dans lequel les hommes s’étaient réfugiés, a subi un coup direct et s’est effondré, enterrant toute l’équipe. En s’extirpant, ce sous-officier, qui était secoué et renversé, organisa et supervisa le travail de sauvetage. Le bombardement était encore intense et le canon qui se trouvait juste devant l’abri a subi un coup direct, mais le travail de sauvetage s’est poursuivi jusqu’à ce que tous les membres de l’équipage aient été transportés en lieu sûr. Ce sous-officier s’est toujours acquitté de son devoir avec beaucoup de bonne humeur, de compétence, de bonne volonté et de mépris du danger. Il n’a reçu aucune récompense antérieure.
Bombardier Archibald Henry F Martyn MM
Dans la nuit du 4 au 5 novembre, il a dirigé à plusieurs reprises un train de munitions malgré des bombardements ennemis très intenses. Par son courage et son leadership, il a rendu un service inestimable à sa batterie en acheminant toutes les munitions jusqu’à la position de la batterie.
Artilleur James Marway MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Frederick Charles Marwood MM avec barre
Pour conduite galante près de Theipval le 3 septembre ; 1916. Lorsqu’un mortier a été mis hors de combat lors d’un incendie extrêmement violent, il l’a réparé et a tiré pour le reste du bombardement qui a duré deux heures. Il s’est distingué à de nombreuses reprises par son bon travail et son dévouement au devoir, quel que soit le danger personnel.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Artilleur Alfred Dudley Mason MM
Il accompagna le F.O.O. avec l’infanterie jusqu’au poste d’observation avancé pendant les opérations contre la crête de Vimy le 9 avril 1917, et aida à maintenir la ligne de CRAMER HAUS au poste d’observation sous un feu d’obus intense. Le bon travail effectué pour maintenir la communication téléphonique a permis aux batteries qui avaient avancé de s’enregistrer l’après-midi même.
Artilleur Félix Mathew MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Sidney George Matthews MM avec barre
Médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Caporal James Henry Mault MM
Un obus hostile a fait exploser des munitions dont certaines se trouvaient dans des bâtiments qui se sont effondrés, 18 hommes ont été tués et 10 blessés par l’explosion. Cet homme a fait preuve d’un grand courage en pénétrant dans un bâtiment où la cordite brûlait violemment et où les fusées et les tubes explosaient et a réussi à extraire plusieurs hommes des décombres, leur sauvant ainsi la vie.
Artilleur William Maxwell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William John Maynes MM
A 15h00 le 5 mars 45 dans la forêt de BALBERGEWALD, une concentration de mortier ennemie fait sauter un char Kangourou et un canon antichar de 6 livres. Deux transporteurs et deux jeeps étaient adjacents à ces deux véhicules. Bien que les tirs de mortier soient continus, qu’un char brûle, que les munitions explosent dans tous les sens, l’artilleur William John Maynes parvient à conduire à une distance de sécurité les deux porte-avions et une jeep. La deuxième jeep brûlait quand il a essayé de la chasser. Il n’a pas pu le démarrer et n’a pu s’échapper qu’avant qu’il n’explose. Des pertes de véhicules lourds sur des porte-avions avaient récemment été subies lors des combats de forêt. Le sauvetage de ces deux porte-avions a été d’une aide immédiate à l’opération, l’un d’eux contenant les communications de l’officier d’observation avancé pour le soutien de l’artillerie. Par son mépris pour sa propre sécurité et par une conduite habile, l’artilleur Maynes a sauvé des véhicules qui ont contribué avec succès à l’opération au sud de la forêt de BALBERGEWALD.
Conducteur Edward Aubrey Mayo MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Andrew McAdam MM
Le matin du 6 novembre 1917, lors des opérations contre PASSCHENDAELE, il se rendit avec un groupe d’observation avancé. Son officier a été grièvement blessé, un autre membre du groupe tué et le matériel de signalisation détruit lors du barrage ennemi. Guner MCADAM a remonté le barrage et a rapporté ce qui s’était passé. Cette information est parvenue au quartier général de la brigade à temps pour envoyer un autre officier. L’artilleur MCADAM s’est de nouveau avancé sous des tirs d’obus nourris vers son officier blessé. Il a rassemblé des informations précieuses et, avec l’aide d’un autre homme, a transporté l’officier jusqu’à un poste de secours, puis ils sont tous deux retournés à leur poste.
Caporal Archibald McBride MM
Pour son sang-froid et son courage sous les tirs nourris d’obus lorsqu’il était membre d’un détachement de canons lors de la 2e bataille d’Ypres et de Givenchy (juin 1915) et pour son bon travail continu avant et depuis.
Artilleur Donald McCallum MM
Cet homme et d’autres artilleurs formèrent, le matin du 3 novembre 1917, le personnel de deux équipes de canonniers qui entraient en action. Ces deux équipes ont maintenu leurs canons en action, même si pendant toute cette période la zone située dans un rayon de 500 mètres a été soumise à un bombardement continu avec des obus qui arrivaient à une cadence moyenne de vingt par minute. Des munitions ont été incendiées dans cette position et l’un des obus était si proche que les artilleurs ont été renversés par la force de l’explosion. Cet homme et les autres artilleurs, dotés d’un courage remarquable, sont restés fidèles à leurs armes et ont maintenu le feu. Ils étaient absolument sans abri et ont miraculeusement échappé aux blessures. Trois minutes après avoir retiré les hommes de leurs armes, l’une des armes a été touchée et l’ensemble a été brisé.
Sergent Edwin Jackson McCallum MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Frederick Andrew Mccallum MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Charles Edward McCauley MM
Pour sang-froid et dévouement à Courcelette, novembre ; Le 13 janvier 1916, lors de la montée des rations. Le groupe a été lourdement bombardé par des 5.9. Le conducteur a été blessé et l’un des chevaux tué sous lui. Le Dr McCauley a pris en charge, a envoyé le blessé sous escorte au poste de secours, et seul, sous des tirs nourris d’obus continus, a changé la tête des chevaux de roue et a terminé son voyage. Pendant tout le temps où la Bde était dans cette zone, cet homme a travaillé jour et nuit, apportant des fournitures sur des routes lourdement bombardées avec un grand dévouement au devoir.
Artilleur Frederick Sylvester McClafferty MM
L’homme accompagnait le lieutenant FORSYTHE qui était la batterie F.O.O. lors de l’attaque de la CRÊTE DE VIMY par la 7e Brigade d’infanterie canadienne le 9 avril 1917. Il pose un fil vers l’ECOLE COMMUNE, ce qui nécessite de passer à travers le barrage ennemi pas moins de temps. Il a fait preuve d’un grand courage et d’un grand dévouement tout au long des opérations.
Soldat Samuel Charles McConaghy MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Coleman Conroy McConnell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Allan McCrae MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Walter Watson McCrae MM
A 12h15, le 15 avril 1944, le poste de repérage flash de sa batterie subit de violents bombardements ennemis. Le Bombarier McRae était en service au poste d’observation qui se trouvait au deuxième étage d’une maison abandonnée. Deux de ses hommes étaient à un sous-poste. Un coup direct du côté ouest du poste d’observation a blessé trois hommes. Le bombardier McRae a signalé au centre de traçage qu’il sortait de la ligne et en a expliqué la raison. Il descendit par la fenêtre du deuxième étage. Un autre obus a blessé les deux hommes restants. Il aidait deux hommes à atteindre une tranchée lorsque la zone a été de nouveau touchée, infligeant de nouvelles blessures à un homme déjà blessé. Le bombardement était maintenant si intense qu’il décida qu’il devait essayer de faire sortir ses hommes et son camion de la zone. Il a fait monter les hommes dans le camion, devant transporter un seul homme, et a démarré lorsqu’un obus est tombé juste derrière le camion, coupant sa conduite de frein et perçant la cabine et les panneaux arrière. Il réussit à amener les hommes vers un poste de secours régimentaire situé à quatre cents mètres de là. Il est ensuite reparti à pied chercher les deux hommes au sous-poste. Il a trouvé les hommes et les a guidés hors de la zone. Lorsque les bombardements se sont calmés, il est retourné à son poste d’observation pour continuer son travail.
Artilleur Leo Vernon McCreith MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables au cours de nos opérations en octobre ; Le 8, lorsque les lignes entre sa batterie et l’OP étaient continuellement brisées par des tirs d’obus hostiles, cet homme maintenait la communication, traversant à plusieurs reprises le barrage lourd de l’ennemi, son travail étant effectué dans des conditions des plus éprouvantes.
Artilleur Charles Norman McCuaig MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur George McCullock MM
Pour une conduite distinguée et un dévouement au devoir. Lors d’un intense bombardement le 28 mars 1918, une pirogue dans laquelle se trouvaient l’artilleur McCULLOCK et un autre homme fut touchée et s’effondra. Ces deux hommes, bien qu’étourdis et gazés, réussirent à se dégager, immédiatement après quoi ils commencèrent à creuser. une deuxième pirogue qui avait également été aménagée, enterrant l’Art HEWSON. Ils travaillèrent pendant plus de trente minutes sous le feu des obus les plus intenses, avant de réussir à secourir HEWSON qui, sans aucun doute, aurait été étouffé s’il était resté ainsi quelques minutes de plus.
Sergent John Clyde McCunn MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sapeur Johnstone McDiarmid MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 4 novembre près de Zonniebeke alors qu’il était responsable d’un avant-train se dirigeant vers la position du canon pour retirer un canon. Il a conduit son équipe sur des objets presque infranchissables sur plus d’un mile sous un feu nourri d’obus et a retiré le canon. Sa détermination et son courage en retirant le canon de la position lourdement bombardée l’ont sans aucun doute sauvé de la destruction et lui ont permis d’être mis en action ailleurs.
Caporal Gerald Kenneth Darcy McDonald DCM MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur James Archibald McDonald MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Dougal McDonald MM
Le 3 avril 1918, la batterie fut soumise à de violents tirs hostiles. Pendant ce temps, les fils téléphoniques étaient continuellement coupés. Chaque fois, le général McDONALD sortait et les réparait, parfois sous un feu très nourri. Durant la nuit, la position a été la cible de rafales de tirs. L’Art McDONALD, au cours de plusieurs de ces opérations, est sorti et a réparé le fil. C’est grâce à ses efforts que la communication a été maintenue.
Sergent John James Alban McDonald MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Roderick Cameron McDonald MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Joseph Roderick McDougall MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Wesley McDowell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Everett McEachern MM
En tant que joueur de ligne O.P., il a fait preuve d’un courage et d’un dévouement remarquables et exceptionnels les 9, 10 et 11 avril en établissant et en maintenant les lignes jusqu’à la colline 145, au point qu’il a suivi de près l’assaut de l’infanterie.
Conducteur William Carson McGowan MM
Le matin du 15 novembre, le Sgt. Thompson était responsable d’une section d’un train mulet emballant des munitions vers les positions de canon avancées de la 10e Bde. C.F.A. Avec lui se trouvaient les chauffeurs Urwin et McGowan. Le groupe a essuyé de violents tirs d’obus allemands et un R.F.A. pack train directement devant. Avoir deux animaux par homme et subir de lourdes pertes en hommes et en animaux est devenu désorganisé. Les animaux galopaient dans les deux sens, mais le Sgt. Thompson, habilement aidé par les chauffeurs Urwin et McGowan et par leur brillant exemple, a pris le contrôle de la situation et a mis un terme à ce qui ressemblait à un moment donné à une bousculade précipitée. Leur exemple a mis de l’ordre au sein de la R.F.A. Les chauffeurs et les deux parties ont réussi à livrer leurs munitions et à se mettre en sécurité. Le N.C.O. et les hommes ont ensuite aidé les brancardiers à transporter les mourants et les blessés et ont également aidé à dégager les animaux embourbés au bord de la route. Sans aucun doute le Sgt. Thompson et les chauffeurs Urwin et McGowan, par leur travail courageux, ont permis de sauver de nombreuses vies et d’inverser le cours d’une situation qui aurait facilement pu devenir bien plus grave.
Bombardier George McGregor MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Régis McGuirk MM
Pour sa bravoure et son courage, il fit preuve le 14 novembre 1917. Un obus tomba sur un gros tas de munitions, provoquant une terrible explosion qui tua et blessa un grand nombre d’Art, de rivières et de chevaux, et incendia deux camions et une grande décharge. de munitions (en caisses) sur la route. En entendant les cris des blessés venant des flammes des camions en feu, cet homme a immédiatement couru à son secours, tandis que presque tous les autres personnes dans les environs fuyaient les obus encore brûlants. Il entra de nouveau dans la zone en flammes et réussit à trouver et à en extraire six R.F.A. Les artilleurs sont tous grièvement blessés et leurs vêtements déjà en feu. Il a roulé les blessés dans la boue pour éteindre les flammes et les a transportés hors de la zone dangereuse. Il est ensuite retourné vers les camions toujours en feu et a cherché d’autres hommes vivants parmi les morts. Il n’est pas parti jusqu’à ce qu’on lui ordonne de le faire. Quelques secondes après qu’ils se soient dégagés, un autre tas a explosé avec une forte explosion, qui aurait sans aucun doute tué les secourus et le sauveteur s’il avait été là quelques minutes plus tard.
Bombardier William McHaffie MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Howar Samuel Mcilwraith MM
Cet homme et d’autres, le matin du 3 novembre 1917, formèrent le personnel de deux équipes de canonniers qui entraient en action. Ces deux équipages maintinrent leurs canons en action, même si pendant toute cette période la zone située dans un rayon de 500 mètres fut soumise à un bombardement continu d’obus qui arrivaient à une cadence moyenne de vingt par minute. Des munitions ont été incendiées dans cette position et l’un des obus était si proche que les artilleurs ont été renversés par la force de l’explosion. Un sous-officier et les artilleurs, avec une bravoure remarquable, restèrent fidèles à leurs canons et maintinrent le feu. Ils étaient absolument sans abri et ont miraculeusement échappé aux blessures. Trois minutes après avoir retiré les hommes de leurs armes, l’une des armes a été touchée et l’ensemble a été brisé.
Artilleur Vinal Mcinnes MM
Il était juge de lignes dans l’artillerie les 15 et 16 août 1917. Pendant les quarante-huit heures où il était en service, il était continuellement sur le fil téléphonique pour le réparer. Le grillage était très exposé et continuellement sous le feu d’obus nourris. À un moment donné, il est sorti et a réparé dix cassures dans les câbles sous un lourd barrage d’obus de 5,9 et 8 pouces, permettant ainsi de faire passer des informations très importantes. Son courage et son dévouement au devoir étaient des plus marqués.
Sergent Charles Mcinnis MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 6 novembre 1917. Dans l’après-midi de cette journée, un grand dépôt de munitions à la position de la batterie a été incendié par des bombardements hostiles. Malgré le grand danger d’explosion de munitions, ce sous-officier s’empare de la situation et réussit seul à éteindre l’incendie. Son travail en tant que n°1 est au-delà des éloges. Il a toujours donné un excellent exemple de sang-froid sous le feu.
Artilleur Allan Grant McIntosh MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Robert McIntyre MM
Pour sa conduite courageuse et son dévouement au devoir lors du bombardement du « Cutting » sur la colline 60 le 26 avril 1916. Tout au long de la journée, pendant une période de tension considérable, ces hommes ont fait preuve d’un dévouement sans faille au devoir, tirant par intermittence avec leur mortier avec un grand effet. Dans la soirée, sous un bombardement intense, et immédiatement après l’explosion de la mine allemande et dans des conditions des plus éprouvantes, il a ouvert et continué le feu avec un effet révélateur jusqu’à ce que toutes les munitions, à l’exception de la réserve minimale pour la contre-attaque, aient été épuisées.
Artilleur Alexander Roy McKay MM
A fait preuve d’une grande bravoure en réparant et en posant continuellement des fils téléphoniques sous le feu nourri des obus, et en faisant un bon travail constant depuis le 1er juillet.
Caporal Walter James McKeen MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur James Ferdinand McKenna MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal James Henry McKenna MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Alexander McKenzie MM
Près de St.JULIEN le matin du 5 novembre. ce chauffeur était employé à emballer des munitions. Il a livré son propre lot à la position de canon grâce à des tirs d’obus nourris et, à son retour, il a trouvé un certain nombre de ses camarades retenus à cause du barrage. Sachant que les munitions étaient indispensables à l’avant, il envoya son propre cheval à l’arrière avec un homme moins expérimenté, prit en charge les chevaux de cet homme et le reste du groupe et, avec un bel exemple de courage, de sang-froid et de persévérance, pilota tout au long du voyage. les pistolets.
Bombardier Ralph Johnson McKenzie MM
Pour son courage et son dévouement remarquables. Lors d’un bombardement intense le 28 mars par un certain nombre de batteries ennemies de différents calibres, les communications téléphoniques furent coupées. Comme la batterie était « en position » plus tôt dans la matinée et qu’une attaque hostile était attendue, il était absolument nécessaire que la communication soit établie immédiatement. Le Bdr.McKENZIE et un autre ont été choisis pour réparer les câbles. Bien que soumis à des tirs d’obus très nourris, ils réparèrent rupture après rupture et raccordèrent les pièces là où des longueurs avaient été emportées par le vent, atteignant enfin la boîte d’essai et entrant en communication avec la Bde. Ils ont ensuite réparé le fil et fait passer une ligne jusqu’à une batterie dont la communication avait été détruite. Au fur et à mesure que de nouvelles ruptures étaient faites, ils les réparaient encore et encore, toujours sous le feu nourri de S.E. et des éclats d’obus. À un moment donné, le Bdr. McKENZIE a été gravement contusionné et secoué, il a continué et avec son compagnon a réussi à maintenir la communication tout au long du bombardement.
Conducteur Lloyd McKillen MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Harry Wilbur McLannan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Donald Bain McLaren MM
Lors des opérations de prise de la CRÊTE DE PASSCHENDAELE en octobre 1917, cet homme était signaleur dans la 19e Batterie C.F.A. Le 25 octobre, lorsque la deuxième phase de la bataille a eu lieu, cet homme a fait preuve d’une bravoure et d’un dévouement remarquables lorsque, depuis une position non protégée à Forward Batt. QG il a actionné une lampe de signalisation pendant vingt-quatre heures. Bien que parfois sous les tirs d’obus les plus intenses, il a continué et a été envoyé à un O.P. de la 4e Bde. C.F.A. d’où il y avait une ligne vers la 4e Bde. C.F.A. siège, les informations les plus précieuses. Son courage et son courage à rester à son poste étaient exceptionnels et, grâce à son travail, l’artillerie couvrant le front du bataillon était bien informée de l’endroit où se trouvaient nos hommes.
Sergent-major de batterie Austin William McLaskey MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Frederick McLean MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Harold E McLean
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John McLean MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Kenneth Winfred McLean MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Michael McLean MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Spurgeon Bruce McLean MM
Le 15 novembre 1917, il faisait partie d’un groupe qui installait une ligne téléphonique sur la CRÊTE DE PASSCHENDAELE. Par son adhésion enthousiaste à son devoir et ses efforts inlassables, il montra l’exemple à ses camarades et ainsi, sous le feu nourri des obus, il contribua grandement à accélérer la pose d’une ligne indispensable.
Artilleur William McLean MM
Pour son courage et son sang-froid remarquables à VIMY dans la réparation des câbles entre le QG du Groupe et et le QG du bataillon. avant et le 25 mai 1917, date à laquelle se trouve le Q.G. du bataillon. a été modifié en raison des bombardements intenses et continus des environs, ainsi que de la bravoure et du courage, le 25 mai, pour secourir les blessés lorsqu’un bombardement concentré a fait douze victimes dans une ancienne fosse à canon allemande par un coup direct. Bien que blessé à la tête et à la poitrine, Art. McLEAN s’est attaché vaillamment au travail et, avec beaucoup de courage, a peut-être sauvé la vie d’un homme qui était coincé par un pied mutilé grâce à une amputation opportune de la jambe brisée sur les conseils d’un médecin des environs, à qui les circonstances avaient été signalées. , et qui soignait d’autres blessés. Art. La conduite de McLEAN tout au long de son mandat constitue un splendide exemple de bravoure, de détermination et de dévouement au devoir.
Sergent Harry Hector McLellan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier John McLennan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Harold McLeod MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier John McLintock MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent John Kenneth Mclntosh MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent d’état-major Archibald McMillan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Charles Duncan McMillan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier John Alex McMillan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Joseph Thomas McMullan MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Joseph McMullin MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Howard McMunn MM
Pour le courage, la détermination et le dévouement au devoir. Lors de l’attaque au nord de PASSCHENDAELE le 10 novembre 1917. Le signaleur MCMUNN accompagnait le F.O.O. avant. Lorsque la communication par lampe était impossible, le signaleur MCMUNN a effectué deux voyages, un de jour et un de nuit, pour revenir à la station de signalisation à environ un mille et demi en arrière sous de lourds barrages et à travers un terrain marécageux et déchiré par des obus presque infranchissable, avec des messages importants.
Artilleur John Thomas McNeice MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Hugh Cornelius McPhalen MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Alexander John McPherson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Kenneth Norman McRae MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Wendell H McRae MM
Pour son courage et son dévouement remarquables. Le 15 août 1917, Art. McRAE a agi comme juge de lignes. Il travaillait toute la journée à réparer les lignes. Son travail s’est déroulé sous des bombardements particulièrement intenses, des tirs de fusils et de mitrailleuses. Des bris après les bris se sont produits dans la ligne, mais Gunner McRAE a répondu à chaque appel et a réparé le bris. Son intrépidité et sa détermination ont contribué à assurer la communication par laquelle de précieux messages de contrôle de tir d’artillerie ont été envoyés, contribuant ainsi au succès de l’opération sur cette partie du front.
Bombardier William Elmer McRae MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Edgar Harris McRostie MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Wilbert McVeigh MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Signaleur Harry Stephenson McWhinney MM
Il faisait partie du groupe d’observation qui s’est rendu au poste d’observation de la brigade dans un casemate dans la nuit du 9 novembre, pour les opérations du 10 novembre à 2h30 du matin, il a été envoyé à « BELLVUE » pour établir une station intermédiaire avec un feu de signalisation. Il a réussi à établir la communication à 4 heures du matin. dans les conditions les plus éprouvantes et, parfois, sous des tirs d’obus intenses de l’ennemi. Il a relayé les messages au quartier général de la brigade jusqu’à 16 heures. ce jour-là sans soulagement. En plus de prendre les messages de ses propres officiers, il interceptait les messages des lampes d’infanterie et les transmettait. Son courage, son JUGEMENT GOOS et ses ressources ont permis à notre artillerie d’obtenir des informations précieuses dans les plus brefs délais.
Artilleur Fred Meehan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Edward William Meers MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS le 3 mai. Pendant les opérations Art. MEERS E.W. et Cond. MOORE,A.E. a continuellement subi un barrage très lourd afin de découvrir et de réparer les ruptures dans les lignes. Leur excellent travail a permis à la batterie d’engager de nombreuses cibles d’opportunité et d’aider à briser les contre-attaques, ce qui n’aurait pas été possible sans le grand courage et le sang-froid affichés par ces deux hommes.
Bombardier Alphonse Félix Menu MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Roland Lee Merritt MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Byron McLeod Mersereau MM avec barre
Médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Artilleur Harry Stuart Merson MM
Pour conduite distinguée dans le cadre de l’opération menée tôt le matin du 23 juillet 1917, près d’AVION. Il a aidé à établir la communication avec l’OP pendant le bombardement de gaz ennemi et a aidé à maintenir cette ligne jusqu’à ce que le barrage ennemi sur notre ligne d’avant-poste rende cela impossible. Par la suite, l’O.P. a été avancé et, lorsque le signal de retrait a été donné, il a rassemblé plusieurs petits groupes d’infanterie détachés qui étaient complètement perdus à cause de l’épaisse fumée et des gaz et les a guidés à travers la partie la plus légère du barrage ennemi jusqu’à notre position. lignes.
Bombardier Adam Messer MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Louis Joseph Meurant MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur George Miles MM
Pour un bon service continu sur le terrain depuis février 1915 jusqu’à ce jour, et pour sa bravoure au combat à Ypres, avril 1915, Festubert mai 1915 Givenchy juin 1915 Bois Grenier septembre 1915.
Sergent Reginald Charles Miles MM
Le 3 avril 1918, la batterie est soumise à de violents tirs hostiles. Les équipages ont reçu l’ordre de rejoindre leurs abris. N ° 3. la fosse a pris feu. Le Sgt MILES s’est immédiatement porté au secours du Bdr WELLS, qui tentait de l’éteindre. La majeure partie de l’eau a dû être transportée sous des bombardements intenses sur environ 200 mètres. Les cartouches dans la fosse étaient en feu, plusieurs cartons de S.A.A. explosaient, des éclats d’obus ont explosé et ont touché la fosse. Le Sgt MILES a continué à travailler jusqu’à 15 heures. lorsqu’il a perdu connaissance et a été rendu inapte à poursuivre son travail.
Bombardier James Millar MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant John Russell Millar MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur David Miller MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant Donald Albert Miller MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Donald George Miller MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Hugh Miller MM avec barre
Le 6 novembre. 1917. À Mosselmarkt, d.6.a. cet homme a installé sa lampe sur le toit d’une casemate et a renvoyé des messages importants traitant de la situation tactique, sous un feu d’obus nourri, jusqu’à ce qu’un éclat d’obus lourd, éclatant de très près, vienne frapper son casque d’acier, l’étourdissant. En revenant à lui, il continua jusqu’à ce que la visibilité cesse d’envoyer d’autres messages. Alors qu’il était là, il a remarqué plusieurs de nos blessés étendus à l’air libre et incapables de continuer avec sa lampe, il a traversé un barrage ennemi intense et des tirs de mitrailleuses, les a bandés et les a aidés à se mettre en sécurité.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Bombardier Jack Keith Miller MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Lloyd George Miller MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Miller MM
A VIMY le 8 avril 1917, ce mitrailleur agit comme téléphoniste à l’O.P. et établit la communication avec sa Batterie sous un feu d’obus très nourri. Lorsque le fil était endommagé de manière irréparable, il agissait comme coureur, transportant des informations précieuses grâce auxquelles les canons étaient maintenus en action et les opérations menées à bien.
Sergent quartier-maître de la batterie Joseph Gerald Mills MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sapeur John Williams Milne DCM MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Stanley Robert Milne MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Petty Milne Milner MM
Pour sa bravoure dans l’établissement et le maintien des communications de la batterie sous un feu nourri tout au long des opérations.
Bombardier Arthur John Mitcham MM
Ce sous-officier avec d’autres artilleurs, le matin du 3 novembre 1917, ils formèrent le personnel de deux équipes de canonniers qui entraient en action. Ces deux équipages maintinrent leurs canons en action, même si pendant toute cette période la zone située dans un rayon de 500 mètres fut soumise à un bombardement continu d’obus qui arrivaient à une cadence moyenne de vingt par minute. Des munitions ont été incendiées dans cette position et l’un des obus était si proche que les artilleurs ont été renversés par la force de l’explosion. Ce sous-officier et les artilleurs, avec une bravoure remarquable, restèrent fidèles à leurs canons et maintinrent le feu. Ils étaient absolument sans abri et ont miraculeusement échappé aux blessures. Trois minutes après avoir retiré les hommes de leurs armes, l’une des armes a été touchée et l’ensemble a été brisé.
Bombardier David Mitchell MM
Pour bravoure et dévouement remarquables près de LIEVIN le 22 juillet 1917. Lors d’un bombardement intense de l’ennemi sur la batterie, positionnez l’une des caves dans laquelle se trouvait ce sous-officier. et deux hommes, avec deux autres, ont été coincés par un obus à action retardée. Ce sous-officier et les deux hommes ont réussi à s’extirper des décombres et, malgré le fait que l’ennemi continuait à bombarder lourdement le bâtiment, ils ont travaillé jusqu’à ce qu’ils aient secouru les deux hommes, encore enterrés. Le courage et le sang-froid splendides affichés par ce sous-officier. a sans doute sauvé la vie de l’un des deux enterrés, l’autre étant mort une fois libéré.
Bombardier James Malcolm Mitchell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Thomas Arthur Mitchell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant Asa Allison Mitton MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier David Baillie Moffat
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent John Reginald Charles Moffat MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Lindsay Clifford Moffatt MM
Ce sous-officier dans la nuit du 31 octobre 1917, dans une Maison Noire sur la ROUTE DE ZONNEBEKE, il s’est porté volontaire pour aider à évacuer quelques civières qu’il était urgent de faire évacuer. Il fit preuve d’une grande bravoure en aidant à charger deux caisses dans une ambulance à cheval alors que l’ennemi bombardait lourdement la route menant aux environs de la Maison Noire.
Conducteur George Mohun MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Robert Lowell Mollison MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Richard Monahan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Donald James Moncrieff MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Robert Smith Monro MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Arthur Reginald Montgomery MM
Le 5 novembre, ce sous-officier. était en charge d’un grand train de meute. Il a réussi à atteindre les canons avec un échelon complet après avoir traversé un barrage hostile très lourd, revenant et répétant la performance sans faire de victime, uniquement grâce à son leadership habile et à son dévouement au devoir. Sa conduite pendant cette période était un bel exemple pour ses subordonnés.
Sergent John Herbert Montgomery MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Albert Edward Moore MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS le 3 mai. Pendant les opérations Cond. MOORE, A.E. et le Art. MEERS, E.W. subissaient continuellement un barrage ennemi très intense afin de découvrir et de réparer les ruptures dans les lignes. Leur excellent travail a permis à la batterie d’engager de nombreuses cibles d’opportunité et d’aider à briser les contre-attaques, ce qui n’aurait pas été possible sans le grand courage et le sang-froid affichés par ces deux hommes.
Artilleur Ernest Godfrey Moore MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal John Moore MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Philip John Moore MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Samuel Moore MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Charles Albert Morgan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Alfred Morgan MM
Pour conduite vaillante et méritoire. Le 9 avril 1917, à VIMY, cet homme a posé plus de 2 000 mètres de fil de fer sur un terrain récemment occupé et lourdement bombardé jusqu’à un point d’observation sur la pente avant de la CRÊTE DE VIMY. Tout au long de la journée, il patrouillait constamment sur la ligne sous un feu nourri, réparant les ruptures, maintenant la communication avec la batterie et permettant de tirer sur les formations ennemies. Lorsque son compagnon fut blessé, il pansa sa blessure et continua seul avec un grand dévouement à son devoir jusqu’à ce qu’il soit relevé.
Caporal Charles Keith Morison MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Thomas Dalby Morkill MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur George Leslie Morland MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Russell Vokes Morris MM avec barre
Médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent Cyril Walter Bruce Morse MM
Dans la nuit du 18 juillet, ce sous-officier. guidait dix wagons G.S. contenant des bombes au mortier de tranchée vers les décharges. L’ennemi a commencé à bombarder la route, et le Sgt MORSE et le conducteur du premier wagon ont été blessés. Bien que le Sgt MORSE ait été touché à trois endroits différents, il a ordonné au chariot de se rendre dans un endroit plus sûr. Même si la route était toujours sous les bombardements, il a porté le conducteur blessé à l’abri, a pansé ses blessures avant les siennes et a attendu l’aide qu’il avait envoyée chercher.
Bombardier Herbert Archibald Morton MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Clifford Mosher MM
Dans la nuit du 18 au 19 novembre, le Cpl. Mosher était sous-officier. en charge. Le Cpl Mosher, de sa propre initiative, avec beaucoup de courage et au péril de sa vie en raison de l’explosion d’obus, a tenté à trois reprises de disperser les munitions touchées afin de localiser les dégâts et si possible de conserver les munitions. Ce n’est que lorsqu’une grande explosion se produisit qu’il stoppa ces tentatives et se retira après avoir d’abord fait preuve d’un grand courage et d’une grande présence d’esprit en veillant à ce que tout le monde soit réveillé et renvoyé de la décharge. Sans doute le travail courageux de ce sous-officier. C’était le moyen de sauver de nombreuses vies, car les hommes étaient à peine sortis de la décharge lorsqu’une énorme explosion s’est produite, détruisant tout ce qui se trouvait à proximité de la décharge.
Sergent George Ernald Montague Mosley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Gavin Colvin Mouat MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Cecil Saul Moules MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Chester William Muirhead MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier suppléant Ashton William Mullan MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Isaac Oliver Mundee MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables dans la nuit du 15 au 16 novembre lors des opérations autour de PASSCHENDAELE, ce sous-officier. était chargé de détailler l’emballage des munitions au 16e Bty. C.F.A. L’ennemi bombardait lourdement la position de la batterie et la route en planches, la route étant gravement détruite en de nombreux endroits. La patrouille a dit à ce sous-officier. qu’il ne pourrait pas passer, mais il a insisté pour aller de l’avant, sachant que les munitions étaient nécessaires de toute urgence. Il transportait des planches à placer dans les mauvais endroits et livrait les munitions. Le courage, le sang-froid et la détermination affichés par ce sous-officier. a donné un splendide exemple aux hommes sous ses ordres.
Sergent Hamish Coull Munro MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Norman Munroe MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Andrew Murphy MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Henry John Murphy MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Lieutenant J Murphy MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Joseph William Murphy MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur John Archibald Murray MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent John Menzie Murray MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Murray MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William James Ross Murray MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Cet homme était un juge de ligne et patrouillait constamment la ligne d’avant en arrière, malgré des tirs d’obus extrêmement intenses. Même si la ligne a été coupée à plusieurs reprises, la communication n’a jamais été interrompue plus de quelques minutes. Cet homme a fait preuve du plus grand courage, du plus grand sang-froid et de la plus grande ténacité, et son travail a été d’une grande valeur.
Artilleur Joseph Arthur Muse MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Whitney Pearson Musgrave MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Perry R Musson MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables en tant que téléphoniste auprès de l’officier observateur avancé dans la tranchée de Hesse, le 1er octobre 1916. Il a volontairement traversé le terrain découvert entre les deux tranchées à plusieurs reprises, transportant des messages de la plus haute importance, sous de très violents bombardements. Il a rendu à plusieurs reprises des services remarquables lors des opérations de la Somme.
Bombardier Leo Myers MM
A fait preuve d’une grande bravoure en posant des fils téléphoniques et en maintenant les communications de la batterie sous le feu des obus depuis le 1er juillet.
Sergent William Mylchreest MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Frederick Myring MM
Alors que, le matin du 17 août 1917, la batterie était lourdement bombardée par les obusiers ennemis de gros calibre avec observation de ballons, il revint volontairement aux canons à cinq reprises et avec des dixies de thé éteignit les incendies qui avaient commencé en camouflage et en munitions. décharges, empêchant ainsi l’ennemi de constater l’efficacité de son tir et économisant également une quantité considérable de munitions. La perte de munitions à ce moment-là aurait mis la batterie hors de combat avant l’arrivée du ravitaillement.
Sergent Abram Leland Stanley Nash MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Ernest Morehouse Neal MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal George Gustav Neher MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Donald Gillespie Neil MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Claude Nelson MM
Pour sa conduite courageuse et son dévouement au devoir lors du bombardement du « Cutting » sur la colline 60 le 26 avril 1916. Tout au long de la journée, pendant une période de tension considérable, cet homme a fait preuve d’un dévouement sans faille au devoir, tirant son mortier par intermittence avec un grand effet. Dans la soirée, sous un bombardement intense et immédiatement après l’explosion de la mine allemande et dans des conditions des plus éprouvantes, il a ouvert et continué le feu avec un effet révélateur jusqu’à ce que toutes les munitions, à l’exception de la réserve minimale pour les contre-attaques, aient été épuisées.
Caporal Stanley Nelson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Harold Thomas Newlove MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur William Dagleish Nichol MM
Dans la nuit d’octobre ; Les 4 et 5 1916, une section de la 12e Batterie fut avancée vers une position avancée. Le Dr Nichol a fait un bon travail remarquable en conduisant et en manipulant parfois des armes à feu et des chariots sur un terrain presque impraticable. Il a travaillé pendant onze heures, et c’est en grande partie grâce à son courage et à son énergie que le déménagement a été mené à bien.
Conducteur Frank Leslie Nichols MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Sébastien John Nichols MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Frank Hugh Nicholson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Frank James Nickle MM
Pour sa bravoure et son courage, il fit preuve le 14 novembre 1917. Un obus tomba sur un gros tas de munitions, provoquant une terrible explosion qui tua et blessa un grand nombre d’artilleurs, de chauffeurs et de chevaux, et incendia deux camions à moteur, ainsi qu’un gros dépôt de munitions (en cartons) sur la route. En entendant les cris des blessés venant des flammes des camions en feu, cet homme a immédiatement couru à son secours, tandis que presque tous les autres fuyaient les obus encore brûlants dans les environs. Il pénétra encore et encore dans la zone en flammes et réussit à trouver et à en extraire six R.F.A. Les artilleurs sont tous grièvement blessés et leurs vêtements déjà en feu. Il a roulé les blessés dans la boue pour éteindre les flammes et les a transportés hors de la zone dangereuse. Il est ensuite retourné vers les camions toujours en feu et a cherché parmi les morts d’autres hommes vivants. Il n’est pas parti jusqu’à ce qu’on lui ordonne de le faire. Quelques secondes après qu’ils se soient dégagés, un autre tas a explosé avec une forte explosion, qui aurait sans aucun doute tué les secourus et le sauveteur s’il avait été là quelques minutes plus tard.
Sergent Frank Nicks MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier James Ninness MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Harvey Noble DCM MM
Alors que la Section à laquelle appartenait ce sous-officier se dirigeait vers la ligne de front pour participer à l’attaque de la CRÊTE DE PASSCHENDAELE le 6-11-17, l’ennemi dressa un barrage dans lequel la section fut prise. L’officier responsable de la section, le Sgt, et deux autres militaires du rang ont été grièvement blessés. Le Cpl NOBLE a immédiatement pris les commandes, a emmené l’officier blessé et les autres soldats vers un poste de secours, est revenu et a récupéré les hommes restants et s’est dirigé vers la ligne de front, là il a placé deux mortiers en action et a aidé l’infanterie à avancer. L’action de ce sous-officier a sans aucun doute évité de nouvelles victimes et sauvé la vie de son officier et de ses camarades blessés.
Bombardier Alfred Nokes MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Philip Noonan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Charles Henry Norman MM
Pour conduite courageuse lors du bombardement intensif de la colline 60 dans la soirée du 26 avril 1916, lorsque le Art Norman et le Sdt Dwyer furent les premiers à se porter volontaires pour transporter des munitions S.A. jusqu’à la voie ferrée jusqu’aux tranchées de la ligne de front sous un feu d’obus très nourri.
Artilleur Herbert John Nunn MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier John Thomas Nunn MM
Pour son courage et son dévouement remarquables. Lors d’un intense bombardement le 28 mars 1918, une pirogue dans laquelle se trouvaient le Bdr NUNN et un autre homme fut touchée et effondrée. Ces deux hommes, bien que assommés et gazés, réussirent à se dégager immédiatement après quoi ils commencèrent à creuser une deuxième pirogue. ce qui avait également été fait en enterrant le général HEWSON. Ils travaillèrent pendant plus de trente minutes, sous le feu des obus les plus intenses, avant de réussir à secourir HEWSON, qui aurait sans aucun doute été étouffé s’il était resté ainsi quelques minutes de plus.
Sergent Richard Francis O’Boyle MM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir dans la collecte des munitions. Ce sous-officier a fait preuve d’un splendide dévouement au devoir et de bravoure en apportant des munitions aux canons dans des conditions très difficiles lors des opérations de capture de PASSCHENDAELE RIGE en octobre et novembre 1917. Les canons du 21e How. Les Bty étaient considérablement en avance sur ceux des autres batteries de leur groupe, et la route sur laquelle les munitions devaient être emballées était sous le feu d’obus intenses presque continus, il y a peu d’occasions où des pertes parmi les hommes et les chevaux transportant des munitions n’ont pas eu lieu. Bien que de nombreux renforts récents aient été employés à ces travaux, ce sous-officier. par son sang-froid et son exemple, il réussit à apporter des munitions à tout moment lorsque d’autres convois échouaient.
Artilleur Michael O’Brien MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Joseph Edward O’Callahan MM
Pour une bravoure et un dévouement remarquables au devoir les 6 et 7 avril. Les munitions devaient être transportées vers la section avancée de la batterie Dvr. O’CALLAHAN dirigeait un train de meute, qui a essuyé des tirs nourris. Les chevaux s’excitèrent mais, par son sang-froid, il les calma et conduisit le train à travers la zone bombardée. Le train a fait trois voyages et à chaque fois il a fallu franchir ce barrage. Par son courage, il donna l’exemple au reste des hommes et les munitions dont on avait un besoin urgent furent livrées à temps.
Bombardier intérimaire Thomas James O’Connell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Patrick Lawrence O’Connor
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Thomas Henry O’Connor MM
Pour conduite vaillante et méritoire. En tant que téléphoniste au F.O.O. de son bataillon, le 9 avril 1917, cet homme s’établit à 150 mètres en avant de notre ligne d’infanterie, sur le versant avant de la CRÊTE DE VIMY. Il était sous le feu constant des tireurs d’élite, des mitrailleuses et de l’artillerie pendant l’après-midi et le soir, mais effectuait son travail avec une grande efficacité et, grâce à son sang-froid et à sa transmission claire des ordres, il permettait de tirer rapidement et efficacement sur les troupes ennemies qui avançaient.
Artilleur Raymond Charles O’Donoghue MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal John O’Donoughue MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Cornelius Francis O’Gorman MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Henry George Oldfield MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal John O’Leary MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier James Agustine O’Leary MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Cornelius Alfred O’Neil MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Michael Cornelius O’Neill MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Daniel O’Rourke MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Edwin Alexander Orr MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Osinchuk MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Richard Ossy MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Harold Ostrom MM MSM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Joseph Henry Ouellet MM
Pour son courage remarquable et sa bonne conduite en manipulant son wagon de munitions sous de violents tirs d’obus le 2 juin 1916 près d’Ypres. Cet homme a conduit son wagon de munitions jusqu’à la position de la batterie sous un feu nourri d’obus malgré le fait qu’un obus ait éclaté à quelques mètres de son équipe, et a gardé le contrôle des chevaux jusqu’à ce que le wagon de munitions soit déchargé. C’était à une époque où les munitions manquaient et où chaque cartouche était nécessaire.
Caporal George R Overs MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.

Bombardier Alfred John Paget MM
Pour sa bravoure et son ingéniosité remarquables lorsqu’il était à la tête d’un petit détachement en position avancée d’où les canons avaient été retirés en tirant des fusées éclairantes et en attirant le feu de l’ennemi pendant que d’autres bataillons s’enregistraient, rendant ainsi un grand service à l’ensemble de la brigade pendant le bombardement continu et vigilance de l’ennemi suite aux opérations de St Eloi.
Caporal Herbert James Palmer MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables lors des opérations sur PASSCHENDAELE le 6 novembre 1917. Ce sous-officier. mettait en action une arme à feu lorsqu’elle fut touchée par un obus. Renvoyant ses équipes pendant un certain temps, il réquisitionna une douzaine d’hommes le long de la route et fit retirer une roue et des pièces de rechange d’un canon embourbé. Avec ses trois chevaux restants, il a mis le canon en position une demi-heure avant le début de l’opération. Ce sous-officier fait preuve du plus grand courage, de la plus grande détermination et de l’initiative
Sergent Harold Edward Panabaker MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Herbert Parker MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier George Parson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent John Paterson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Donald McInnes Patrick MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Dick Patrick MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Benjamin Bell Patten MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Benjamin Bell Patten MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 17 août 1917. À trois reprises, cet homme est sorti sous des tirs nourris d’obus, de mitrailleuses et de fusils, et s’est efforcé d’établir des communications avec la batterie. À une de ces occasions, il a passé trois heures à travailler dans l’obscurité à travers le barrage ennemi dans le but de maintenir la communication et n’a renoncé que lorsqu’on lui a ordonné de le faire. Le courage, le sang-froid et le dévouement de cet homme constituaient un excellent exemple pour le reste des hommes de la batterie.
Artilleur Leslie Roderick Patterson MM
Bravoure dans l’établissement et le maintien des communications de la batterie sous un feu nourri tout au long des opérations depuis le 1er juillet.
Sergent John Paul DCM MM
Le 6 mai, à la position de la Batterie près de LA FERME LA FOLIE, alors que la Batterie était lourdement bombardée, ce sous-officier. a fait preuve d’un sang-froid et d’un courage remarquables en se portant au secours des conducteurs de deux wagons de munitions en difficulté. Il a déjà été recommandé pour sa conduite courageuse.
Bombardier William Hoskin Pawley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Edward Pawson MM
Dans la nuit du 22 au 23 avril 1917, près de Thélus, lors d’un bombardement hostile intense et délibéré de la 11e Batterie C.F.A. le canon de ce sous-officier a été touché et le camouflage recouvrant le canon et les munitions a été incendié. Avec une grande rapidité, il éteignit les flammes, bien que sous le feu nourri des obus, et empêcha les flammes d’atteindre les munitions. Le sergent. Pawson a toujours montré un exemple frappant de bravoure, de sang-froid et de dévouement au devoir lorsqu’il était sous le feu.
Sergent James Payne MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Alexander Pearson MM
Pour son courage et son sang-froid remarquables le 4 novembre, près de ZONNEBEKE où il a conduit son équipe avec une telle habileté et un tel sang-froid sur une route gravement déchirée par les obus, parsemée d’obstacles sur un mile, sous un feu nourri d’obus, qu’un canon en position de batterie bombardée a été pouvant être retiré et mis en œuvre ailleurs.
Bombardier Nils Eric Albin Pearson MM
Le Bdr Pearson est observateur au sein de la troupe « Y » du 2e Régiment Svy du Canada depuis le débarquement du régiment en Normandie le 2 juillet 44. En raison de sa stabilité et de son esprit d’initiative, il a généralement été employé dans les postes les plus difficiles et les plus dangereux. Son sang-froid et sa persévérance étaient particulièrement remarquables dans la nuit du 26 au 27 avril 34, lorsque sa troupe travaillait avec les canons du 4 AGRA britannique soutenant le 2 Cdn Inf iv lors de la traversée de la rivière EMS au sud-ouest de LEER, en ALLEMAGNE. Le temps était limité. Afin que les canons soient sur la grille du théâtre et prêts à tirer dans les délais, il était nécessaire d’effectuer une observation stellaire de nuit. Les tirs d’obus ennemis étaient toujours intenses, les rafales aériennes étant largement utilisées. Conscient de la nécessité d’une action rapide, le Bdr Pearson, alors qu’une reconnaissance plus détaillée ou une approche plus lente par les routes normales n’auraient suscité aucune critique, a évité la route principale qui était obstruée par les canons et les transports, la rendant impraticable sans délai considérable, et a voyagé entièrement à côté. routes non contrôlées pour les mines. Il s’est avéré par la suite que certaines de ces routes étaient en fait minées. Il est impossible de faire une observation stellaire sans montrer un peu de lumière et comme la zone était sous observation directe des OPS ennemis, la zone a été immédiatement soumise à des bombardements accrus. Le Bdr Pearson a accompli sa tâche et a permis aux régiments d’artillerie d’apporter leur soutien dans les délais. À de nombreuses autres occasions similaires, ce sous-officier a fait preuve d’un mépris total pour la sécurité personnelle et a fait bien plus que ce qui était exigé dans l’exercice normal de ses fonctions.
Caporal John Flavelle Penelton MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Le 24 octobre 1917. Le Cpl. PENELTON était responsable d’un train de munitions composé d’animaux de somme transportant des obus vers des positions de canon avancées. Les Allemands placent alors un barrage très lourd sur cette zone qui coupe la colonne en plusieurs tronçons. La route était bondée et il y a eu de nombreuses victimes, deux hommes blessés et cinq animaux tués chez le Cpl. La fête de PENELTON. Cpl. PENELTON s’est comporté avec beaucoup de bravoure et de sang-froid, revenant encore et encore et faisant avancer tous ses hommes, et réussit à livrer les munitions aux canons, tout le temps sous le feu nourri de l’ennemi.
Bombardier Verris Perreault MM
Le 4 novembre 1917, il se trouvait avec un convoi de chevaux de trait lorsqu’il traversait une zone basse et humide et fut pris dans un lourd barrage ennemi. En arrivant sur la route difficile, on constata que plusieurs chevaux de trait s’étaient embourbés dans l’agitation et qu’un conducteur blessé gisait dans la boue. Le conducteur PERREAULT s’est porté volontaire et est retourné au barrage et, par son mépris du danger personnel et son attitude joyeuse dans les circonstances les plus difficiles, il a aidé les conducteurs à libérer leurs animaux et a placé le blessé sur son cheval et l’a emmené à un poste de secours, puis a rejoint son convoi. Par son sang-froid et sa vaillance, il sauva trois chevaux précieux et plaça le blessé là où il put être soigné.
Sergent Walter Alvin Perrin MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur William John Perryman MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Herbert Wilt Petrie MM
A servi sur le terrain au sein de la 9e Batterie depuis février 1915. A plusieurs reprises, il a fait preuve d’un courage et d’une habileté exceptionnels, notamment en novembre 1916 dans la Somme, lorsque le n° 1 de son canon fut tué et tout l’équipage enterré d’un coup direct. Le Sgt Petrie a fait preuve d’une grande bravoure et d’une grande réserve en les sauvant sous le feu des tirs.
Artilleur Robert Tait Petrie MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Oliver George Petty MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Herbert George Phillips MM MSM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur James Henry Phillips MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Ross Efford Phillips MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Reginald Herbert Piercy MM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir lors des opérations sur Passchendale. Cet homme agissait en tant que coureur du QG du Groupe. aux batteries le 27 octobre 1917. Il dut subir des tirs d’obus extrêmement nourris, tant S.E. et du gaz de jour comme de nuit vers les positions des batteries, qui étaient fréquemment bombardées, l’aller-retour prenant 4 heures. Cela s’est produit quotidiennement jusqu’à la prise de Passchendale le 6 novembre. Le fait qu’aucune dépêche n’ait été perdue ou en retard était entièrement dû à son dévouement au devoir et à son courage.
Sergent Frederick John Pike MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Harry Wesley Pike MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Archibald McAllister Pilkey MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Edward Frederick F Pilot MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables dans la nuit du 24 au 25 juillet 1917. Ce sous-officier. était responsable d’un détachement de dix wagons G.S. à six chevaux livrant des munitions à la 23e Batterie C.F.A. Après le déchargement de trois chariots, l’ennemi a ouvert un feu très nourri sur cette position, tuant son cheval et ses trois mulets, blessant un conducteur et en secouant gravement deux autres. Le reste des munitions a été déchargé avec succès malgré les bombardements hostiles désormais intenses et les mules et chariots restants ont été ramenés sains et saufs. La démonstration de courage et de détermination du Sgt.PILOT donne un splendide exemple aux hommes sous ses ordres.
Artilleur George Ping MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Joseph Samuel Pitman MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Edward Varney Pledge MM
Pour un service courageux et particulièrement méritoire. Le matin du 9 avril 1917, le Cr Pledge a suivi l’avancée de l’infanterie à travers le barrage ennemi et a établi une ligne vers un O.P. avancé sur la CRÊTE DE VIMY, établissant la communication avec la batterie et permettant d’exercer un tir efficace sur les formations hostiles. Tout au long de la nuit, cet homme a patrouillé les lignes sous des tirs nourris d’obus et a réparé de nombreuses ruptures, donnant à tout moment un splendide exemple de courage et de dévouement au devoir.
Sergent William Cannell Plews MM
Le 8 août 1918, lors de l’attaque de VILLERS-BRETONNEUX, sa batterie reçut l’ordre d’avancer en appui rapproché de l’infanterie, par son courage et son mépris du danger pour se frayer un chemin à travers les barbelés et les tranchées ennemies. Son énergie, son jugement et son sang-froid ont été d’une grande valeur lors de l’attaque. (Citation de la Croix de Guerre française)
Artilleur Raymond Poirier MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Adjudant 2e classe Gordon Frederick Potter MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Alexander Edward Powell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Adjudant 2e classe Frederick George Powell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent James Warren Preston MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Harry Preston MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Franklin Tisdale Price MM
Pour la bravoure et le dévouement au devoir. Le 9 novembre vers 10h30. sur la ROUTE YPRES PASSCHENDAELE à environ un mile à l’ouest de PASSCHENDAELE Dvr. Price faisait partie de l’avant-garde d’un grand entraînement de mules emballant des munitions vers la position de batterie de la 9e Bde.C.F.A. Juste à l’est de SPREE FARM, les Allemands ont bombardé très lourdement la route, tuant et blessant une vingtaine d’hommes et un certain nombre d’animaux d’un train de meute qui les précédait, ce qui bloquait entièrement la route. Dvr.Price avec le Cpl.Edgell et les chauffeurs Dean et Church ont agi avec beaucoup de sang-froid et de bravoure, sécurisant les civières et transportant les blessés au poste de secours sous le feu nourri des obus. Ils ont ensuite dégagé la route et procédé au transport des munitions jusqu’aux canons. Par leur action courageuse, ils ont donné le bon exemple.
Sergent par intérim Michael Prociuk MM
En tant que sous-officier des transmissions du 1er Régiment, Royal Canadian Horse Artillery, le Sergent Prociuk a fait preuve d’une capacité et d’un dévouement exceptionnels tout au long de son service au sein du régiment en Corée. À plusieurs reprises, son sang-froid dans la supervision des détachements de ligne sous le feu, ainsi que son esprit joyeux et son exemple, ont assuré l’efficacité des communications avancées. L’incident suivant illustre le courage de ce sous-officier. Le soir du 13 février 1953, le sergent Prociuk occupait le poste d’observation avancé de l’unité « Hook » en soutien à la compagnie « E », 3e bataillon, 38e régiment d’infanterie, 2e division des États-Unis. Ses tâches immédiates consistaient à maintenir le contact avec une patrouille de vingt hommes sur la ligne « Varsovie » et à observer la chute des tirs d’appui. Vers 22 heures, la compagnie a subi un bombardement très intense, deux mille obus sont tombés sur la position au cours des vingt minutes suivantes, la plus grande partie étant concentrée dans la zone du poste du sergent Prociuk. Coïncidant avec ce barrage, une force ennemie de plus de cinquante hommes lança un assaut contre la patrouille « Varsovie ». Toutes les communications en ligne dans la zone immédiate ont été interrompues, et la seule communication efficace restant en fonctionnement entre les troupes avancées, la patrouille et le poste de commandement de la compagnie était le filet fixe 88 du sergent Prociuk. Malgré l’intensité et la précision des bombardements et la confusion créée, il est resté à son poste, observant l’action et rapportant avec précision les informations à son commandant de troupe. Le calme et la fidélité au devoir de ce sous-officier ont contribué à faire tomber les tirs d’artillerie qui ont permis à une de nos patrouilles de revenir en bon ordre, ramenant avec elle ses morts et ses blessés. Sa détermination, son courage et son sens du devoir constituent un exemple pour tous les grades du régiment.
Sergent Charles Henry Purdon MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS les 3 et 5 mai. Quand l’un des canons reçut un coup direct et que deux membres de l’équipage furent enterrés, ce sous-officier. dont le canon n’était pas en action, prit les commandes et commença lui-même à déterrer les hommes enterrés malgré les tirs d’obus extrêmement intenses. Ce faisant, un deuxième obus l’enfonça à moitié dans la tranchée et un obus à gaz frappa près de lui. Il s’est dégagé et a continué jusqu’à ce qu’il ait attrapé l’homme, qui n’a pas été tué. Le grand courage affiché par ce sous-officier. C’était sans aucun doute le moyen de sauver la vie de cet homme et il a donné un excellent exemple aux autres hommes.
Conducteur Albert Quirt MM
Le matin du 9 novembre, les conducteurs Quirt et Stephenson se trouvaient avec un train muletier emballant des munitions vers le 33e Bty. C.F.A. situé sur la ROUTE PASSCHENDAELE. Immédiatement à l’arrière des positions de la batterie, l’ennemi a ouvert un barrage lourd sur cette zone, effectuant plusieurs coups directs sur la route et sur des piles de munitions. Les chauffeurs Quirt et Stephenson ont agi avec beaucoup de sang-froid et de courage, livrant d’abord leurs munitions, puis éteignant de la cordite brûlante parmi les piles de munitions. Ils ont été la cible de tirs d’obus continus et ont été brûlés au cours de l’opération. Par leur action courageuse, ils ont donné l’exemple et ont sans aucun doute sauvé de la destruction une quantité de munitions.
Sergent Ernest Thomas Raike MM
Pour le courage, le sang-froid et le dévouement au devoir. Dans la nuit du 28 octobre 1917, à la position de batterie dans la zone PASSCHENDAELE, un obus ennemi a touché un canon et a mis le feu à un dépôt de munitions adjacent qui contenait environ 400 cartouches. Le Sgt Raike, tout en sachant que les munitions étaient à la fois des éclats d’obus et des explosifs puissants, avec une présence d’esprit admirable et un mépris du danger, a récupéré de l’eau d’un trou d’obus voisin et a réussi à éteindre l’incendie. Sans son intervention rapide, l’arme et toutes les munitions auraient sans aucun doute été perdues. Cela s’est produit deux jours avant une action de la plus haute importance, au cours de laquelle chaque canon et chaque cartouche à la position du canon avaient une valeur exceptionnelle en raison de la difficulté de remplacer le matériel dans la zone avancée.
Bombardier Walter Edward Rainboth MM
Pour bravoure et dévouement remarquables près de Lievin, le 17 janvier 1917, lors d’un raid de la 4e Brigade d’infanterie canadienne. Il accompagnait l’artillerie F.O.O. sur la ligne de front allemande, avec la première vague d’infanterie attaquante, et établit une communication avec le groupe hdeqrs aidant à la maintenir sous un feu très nourri. Ce sous-officier a rendu à plusieurs reprises des services similaires et précieux pour entretenir sa batterie.
Bombardier Duncan Rait MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Thomas Ralph MM
Le 15 novembre 1917, il était responsable de l’installation des lignes téléphoniques sur la CRÊTE DE PASSCHENDAELE. Grâce à une organisation efficace de son groupe et au mépris du danger personnel, il a réussi, sous le feu nourri des obus, à achever une ligne très importante et indispensable en un temps record.
Sergent Kenneth Crossley Rankin MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal David Rarity MM avec barre
Pour son courage remarquable et son dévouement au devoir. Tout en tirant depuis l’emplacement du mortier de tranchée dans la tranchée, l’artillerie ennemie a effectué 12 coups directs sur le dépôt de bombes et l’abri, les détruisant ainsi qu’une section de la tranchée. Comme il n’y avait pas de temps pour construire un autre emplacement, le Cpl Rarity a réparé le canon et l’a tiré à découvert seul ce jour-là et les quatre jours suivants, sous des représailles considérables. Le 17 janvier, alors que le raid de la 4e brigade d’infanterie canadienne était en cours, le lit de canon se brisa et le canon fut abandonné. Le Cpl Rarity l’a réparé jusqu’à ce que l’opération soit terminée.
Barrette à la médaille militaire – Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir, alors qu’il se préparait à un raid, l’ennemi a riposté avec des tirs d’obus très intenses et lourds. La fosse à mortier a été pratiquement démolie et le mortier a été renversé et enterré dans les débris. Ce sous-officier remettez immédiatement le mortier en action et continuez jusqu’à ce que la tâche soit accomplie. Cette position avait été pendant les deux matinées précédentes soumise à un feu très intense pendant que le mortier était en action. Peu de temps après que le poste a été libéré, il a été complètement détruit. Dans les circonstances les plus difficiles, ce sous-officier. montré au plus haut degré son dévouement au devoir.
Sergent Walter Rawling MM
Pour une bravoure remarquable, un bon exemple et un dévouement au devoir. Lors du barrage de novembre 1917, le Sgt. RAWLING a continué avec le plus grand sang-froid et la plus grande bravoure à tirer avec son arme sous de violents bombardements hostiles, jusqu’à ce qu’elle soit finalement mise hors de combat, par un coup direct sur la roue du canon, qui a également blessé le Sgt. RAWLING. Son bon exemple était du plus grand avantage pour son détachement.
Bombardier Samuel Vanderbilt Ray MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS lors des opérations du 7/8 mai 1917. Dans la nuit du 7/8 mai, ce sous-officier. était responsable de trois G.S.Wagons contenant du matériel et des rations à emporter dans sa batterie. Il trouva la route vers la batterie couverte par un barrage de gaz. Il avança avec un chariot et réussit à passer. Il a ensuite effectué deux autres voyages avec les deux autres wagons et les a tous réussis, même si le gaz était très mauvais et les autres bombardements très intenses. Son itinéraire lors de ses trois déplacements partait de la ROUTE DE LENS ARRAS dont la totalité était recouverte de gaz. Lors de son dernier voyage avec des wagons vides, il fut grièvement blessé.
Artilleur Clarence George Reeves MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Robert Reid MM
Pour son courage et sa détermination lors des opérations sur PASSCHENDAELE dans la nuit du 6 au 7 novembre 1917, Dvr. REID a fait preuve du plus grand enthousiasme et du plus grand dévouement au devoir en emballant des munitions pour les canons de la 35e Batterie, la position d’obusiers la plus avancée du 3e C.D.A. les routes et les abords étant soumis à de violents bombardements d’obus, S.E. et du gaz. Pendant toute l’opération, la conduite volontaire de ce conducteur fut un exemple précieux et d’une grande aide pour maintenir le moral de la batterie. À plusieurs reprises, il s’est porté volontaire pour le service lorsque c’était son tour de se reposer.
Conducteur John Wiley Reid MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Oswald Reid MM avec 2 barrettes
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Le 31 octobre 2017, alors que la batterie était lourdement bombardée, les communications téléphoniques ont été interrompues. Au grand risque personnel, Bdr. REID a réparé à plusieurs reprises les lignes dans les conditions les plus difficiles et ce n’est que grâce à son grand dévouement au devoir que la batterie a réussi à continuer jusqu’à ce que l’ordre « CESSEZ LE FEU » soit donné.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Deuxième barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent William George Reid MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur James Frank Revell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal George Henry Rex MM
Le 8 février : ce sous-officier. était à la tête d’un groupe de six hommes en service le long d’une route lorsque l’ennemi commença soudainement à bombarder la route. Un obus est tombé sur un groupe composé d’un officier, d’un sous-officier. et deux hommes, avançant dans la même direction que l’équipe du Cpl REX, à une cinquantaine de mètres en avant, et, malgré la poursuite du bombardement de ce sous-officier. en compagnie du général SULLIVAN, il se précipita immédiatement pour porter secours. Trouvant l’officier grièvement blessé, le sous-officier. gravement secoué et les deux hommes morts, REX avec l’artilleur SULLIVAN a transporté l’officier à travers la zone bombardée pour le mettre en sécurité dans une tranchée, puis s’est précipité vers une civière qu’il s’est procuré et a aidé à transporter le blessé jusqu’à un poste de secours à 800 mètres. loin. Par son sang-froid et sa rapidité, il a contribué à sauver la vie de l’officier alors que les bombardements se poursuivaient pendant un certain temps, et sa bravoure et son mépris absolu pour sa propre vie ont été une source d’inspiration pour SULLIVAN et un exemple pour les autres hommes.
Bombardier suppléant James Laundy Reynolds MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Walter Alexander Rice MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Walter Frederick Richardson MM
Bon travail continu comme signaleur et téléphoniste au cours des 12 derniers mois, réparant une fois le fil sous le feu, (Givenchy) juin 1915 bien que déjà blessé au poignet.
Sergent Percy Richard Clarke Richmond MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Roy George Richmond MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Arthur Riley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur John Riley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Signaleur Max Ledicot Riley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Thomas Ritchie MM
Pour bravoure remarquable près de Courcelette. Dans la soirée du 22-10-16, la batterie était sous le feu d’obus. Un obus a explosé dans le canonnier n°3, mettant le feu à des cartouches de Cordite brisées par des éclats. L’incendie s’est déclaré dans le râtelier contenant S.E. obus, le Cpl Richie était près du canon n°1 et l’artilleur Duncan était en service de sentinelle, tous deux se sont précipités vers la fosse en feu malgré les bombardements ennemis et la grande chaleur de la cordite en feu, leur rapidité leur a permis de jeter les caisses en feu et d’empêcher le feu de se propager. Il ne fait aucun doute que grâce à leur action rapide et courageuse, le canon et les munitions auraient été complètement détruits, et la batterie aurait été la cible d’un feu hostile destructeur et la position révélée, ce qui aurait sans aucun doute entraîné de graves pertes.
Caporal Thomas Eric Ritchie MM
Il fit preuve d’un grand sang-froid sous les tirs nourris d’obus à Rudkin House en juin 1916, et resta coincé par son arme après que le dernier membre de l’équipage fut anéanti.
Sergent suppléant Reginald Lawrence Robbins MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Harry Edward Ralph Roberts MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Andrew Allcorn Robertson MM
Pour le courage et le dévouement au devoir. Il était n°2. sur un mortier de tranchée et a aidé son n°1. pour maintenir le mortier en action dans les opérations du 15 août 1917, de zéro à zéro plus 100, tirant 66 bombes en tout. Le mortier se trouvait dans un emplacement ouvert près de la ligne de front et a été temporairement mis hors service à deux reprises. Même si la position était sous un feu très nourri, le mortier était à chaque fois déterré et remis en action. Lors de la préparation du 67e round, un coup direct a démoli le canon. L’artilleur ROBERTSON est resté dans les tranchées pendant vingt et un jours consécutifs avant l’assaut et a toujours fait du bon travail.
Artilleur Charles Robertson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Charles Roland Robertson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Harry Alexander (Alex) Robertson MM
CRÊTE DE VIMY A fait preuve d’un grand courage en maintenant la communication entre l’O.P. des tranchées BEER et BESSIE et le TUNNEL DE TOTTENHAM le 11 avril, de 10 h à 16 h. travaillant en permanence sur la ligne entre ces points sous le feu nourri des obus.
Sergent James Aitkens Robertson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Robert Percy Robertson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Charles Herbert Robinson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Francis Murray Robinson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent John Robertson Robinson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal William Wallace Robinson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Ernest Marshall Rochester MM
Ce sous-officier lors d’un violent bombardement ennemi, il a fait preuve d’un grand courage et d’un grand dévouement au devoir. Lorsque son propre canon fut mis hors service et que son équipage fit des victimes, il prit en charge un autre canon, le N.C.O. dont avait été tué une minute auparavant. Le Sgt ROCHESTER a combattu avec ce canon jusqu’à ce que le bombardement cesse une heure plus tard. Il a ensuite aidé à évacuer les blessés et les tués depuis une position de batterie adjacente.
Artilleur David Carl Roland MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal William James Roney MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Capitaine artilleur Graham Roome MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Henry David Roper MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Clarence Francis Rose MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Charles Stewart Ross MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Donald Grant Ross MM
Cet homme et d’autres, le matin du 3 novembre 1917, formèrent le personnel de deux équipes de canonniers qui entraient en action. Ces deux équipages maintinrent leurs canons en action, même si pendant toute cette période la zone située dans un rayon de 500 mètres fut soumise à un bombardement continu d’obus qui arrivaient à une cadence moyenne de vingt par minute. Des munitions ont été incendiées dans cette position et l’un des obus était si proche que les artilleurs ont été renversés par la force de l’explosion. Un sous-officier et les artilleurs, avec une bravoure remarquable, restèrent fidèles à leurs canons et maintinrent le feu. Ils étaient absolument sans abri et ont miraculeusement échappé aux blessures. Trois minutes après avoir retiré les hommes de leurs armes, l’une des armes a été touchée et l’ensemble a été brisé.
Artilleur James Howard Ross MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Leonard George Ross MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent William Ross MM
Pour un bon travail continu et un dévouement au devoir alors qu’il était responsable des transmissions de batterie et dans toutes les actions dans lesquelles la brigade a été engagée depuis Ypres 1915 jusqu’à nos jours.
Bombardier William Bissett Routh MM
Pour sa bravoure et son dévouement au devoir les plus remarquables le 21 août 1917. Afin de maintenir les communications, il était nécessaire que le Bdr. ROUTH et le juge de lignes avec lui pour patrouiller continuellement leur ligne. Ils l’ont fait dans les conditions les plus difficiles et, même s’il a fallu à plusieurs reprises tracer une nouvelle ligne complète sur une distance de plus de 100 mètres, le bataillon n’a jamais été hors de contact pendant plus de quelques minutes à la fois. Après plusieurs heures, le juge de ligne du Bdr ROUTH a été tué. Le Bdr ROUTH répare seul la cassure sur laquelle ils travaillaient, ramasse les restes de son camarade et les transporte dans un endroit quelque peu abrité. Il est ensuite retourné à la batterie, où il a trouvé un autre juge de ligne, Gnr Ball, et ensemble, ils sont revenus et ont continué leur travail. Pendant le reste de leur période de service de 24 heures, le Gnr BALL s’est porté volontaire, à chaque occasion possible, pour le travail le plus éprouvant et le plus dangereux, afin de permettre au Bdr ROUTH un court repos. Cela était dû en grande partie au splendide exemple donné par ce sous-officier. et le travail très courageux et consciencieux effectué par Gnr BALL pour que la communication soit maintenue avec succès.
Artilleur Donald Wilson Rowan MM
Pour son courage et son dévouement remarquables. Tout en agissant comme juge de lignes avec le F.O.O. qui a accompagné l’infanterie lors de l’attaque de AVION TRENCH à 2h30 du matin le 28 juin 1917, il a aidé à poser la ligne vers le nouvel objectif, permettant d’envoyer un message depuis la tranchée capturée à zéro plus 25, et pendant 5 ½ Quelques heures plus tard, au mépris total du danger, ils travaillèrent à entretenir la ligne qui fut brisée à plusieurs reprises par des tirs d’obus. Grâce à ce fil, des informations précieuses et la rediffusion des bombardements hostiles interférant avec la consolidation ont été transmises à l’artillerie.
Caporal William Eward Rowat MM
Dans la nuit du 4 novembre, alors que la batterie était en action et était lourdement bombardée de gaz, un S.O.S. L’appel de l’infanterie fut reçu. Peu de temps après, en raison du bombardement intense, la ligne vers la brigade était coupée. Cpl. ROWAT, qui venait de terminer une période de service de six heures au téléphone, bien que n’étant pas responsable de l’entretien de cette ligne, s’est porté volontaire pour la réparer. Il effectue rapidement des réparations qui mettent le QG de la Batterie en communication avec la Brigade. Pour le reste de la nuit, il resta volontairement en service, patrouillant cette ligne au-dessus d’un marais presque infranchissable et sous un feu très nourri, et réparant de nombreuses ruptures, gardant ainsi la batterie en contact permanent avec la situation. Son acte était un acte de courage superbe et sa vigilance constante et son action instantanée étaient un exemple inspirant pour les autres juges de lignes.
Bombardier suppléant Charles Alcon Rowe MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Henry John Rowe MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Edward Rowland MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William John Rowland MM
Pour son courage d’initiative et son dévouement remarquables lors des opérations du 21 octobre 1916 près de Courcelette, alors qu’en tant que signaleur avec l’officier observateur avancé, un obus a explosé sur le parapet devant eux, blessant l’officier et enterrant le signaleur. Ce signaleur s’est extrait, a réparé la ligne et a continué à transmettre des informations précieuses à son unité et a continué jusqu’à ce qu’il puisse, quelque temps plus tard, se présenter à un autre officier observateur. Il resta à son poste jusqu’à la nuit et maintint sa ligne malgré le barrage continu placé sur ce poste d’observation.
Artilleur William Roy MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Charles Herbert Rudderham MM
Le 4 mars 1918, au cours d’un tir concentré, les communications étant coupées, il fit preuve d’une grande bravoure et d’un grand dévouement au devoir en transportant des messages importants, bien que le terrain à traverser fût sous le feu nourri d’obus. Mitchell s’est porté volontaire sans hésitation pour effectuer ce travail.
Sergent William Rudge MM MSM
Pour bravoure et initiative remarquables dans la nuit du 26 octobre 1916, près de Courcelette, lorsqu’une fosse à canon fut touchée et détruite, mettant le feu à 5o cartouches qui étaient stockées dans une boîte plus grande. Le Sgt Rudge, exposé à un grand risque personnel en raison de l’explosion des munitions, a accroché une corde en chiffon sur la boîte en feu, la traînant hors de la fosse, évitant ainsi des pertes de vie probables et de graves dommages aux équipements qui semblaient imminents. Il a été grièvement brûlé et en partie asphyxié par la charge brûlante.
Artilleur Alick McKenzie Russell MM
Pour sa grande bravoure et son dévouement au devoir à VIMY. Dans la nuit du 8 juin 1917, alors qu’une opération était en cours, cet homme réparait des fils téléphoniques sous un feu nourri d’obus. Pendant plus de trois heures, il a traversé à plusieurs reprises la ligne menant au QG de la Brigade, ainsi que trois lignes passant par le BOIS DE LA CHAUIERE. La zone était constamment sous le feu d’obus intenses et les lignes étaient brisées en de nombreux endroits, mais grâce à un travail constant de la plus haute valeur, Gnr. RUSSELL a pu maintenir la seule communication de l’artillerie ou de l’infanterie et a ainsi permis aux deux branches du Service de transmettre des informations de grande valeur.
Conducteur Guy Fife Russell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Ray Douglas Russell MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent John Bulmer Rutherford MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal John James Ryan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier James Rycroft DCM MM
Pour sang-froid et bravoure près d’ECURIE le 9 avril 1917, alors qu’il était à la tête du groupe de la 11e Batterie faisant une route depuis notre ligne de front vers l’avant pendant notre attaque. Six des douze membres de son groupe ont été victimes presque immédiatement lorsque l’ennemi a ouvert son barrage, mais le Bdr. RYCROFT accomplit sa tâche avec sang-froid et énergie, et organisa également l’évacuation des blessés. Sa maîtrise de la situation était admirable.
Signaleur Edwin Albert Salisbury MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Samson MM
Pour la bravoure, l’endurance et le dévouement au devoir. Le 8 novembre 1917 en action sur le front PASSCHENDAELE, le Mitrailleur Samson, avec une grande endurance, exerce ses fonctions de mitrailleur souple sous le feu nourri des obus. Son travail dévoué au tir était un splendide exemple pour tous les grades. Il reste fidèle à son poste jusqu’à ce qu’il soit grièvement blessé par un obus ennemi. Durant toutes les opérations sur PASSCHENDAELE, l’artilleur Samson a exercé ses fonctions aux canons avec la même efficacité et le même mépris du danger personnel.
Artilleur John Inglis Sanderson MM
Pour conduite distinguée et vaillante le 15 inst. Il a aidé à faire avancer la ligne depuis notre ancienne ligne de front et à la maintenir le plus longtemps possible. Lorsque la ligne a été détruite de manière irréparable, il a agi comme coureur pour transmettre les messages de HUGO Trench à l’ancienne ligne de front. Il installa ensuite une lampe de signalisation et la fit fonctionner jusque tard dans la soirée. Tout le travail effectué a été effectué sous des tirs d’obus pratiquement continus ainsi que sous des tirs de mitrailleuses et de fusils.
Artilleur Harold Ross Sangster MM
Il était l’un des signaleurs en service sur BELLEVUE SPUR le 6 novembre 1917 lors de l’attaque de PASSCHENDAELE, et c’est en grande partie grâce à ses efforts que les communications ont été maintenues tout au long de la journée malgré des tirs d’obus exceptionnellement intenses. À un moment donné, cinq hommes ont été tués et deux autres dangereusement blessé à moins de 15 pieds de l’endroit où il se trouvait, mais apparemment sans aucune pensée pour son propre danger, il a tranquillement continué à travailler. Son comportement tout au long des opérations, dans des circonstances très éprouvantes, exerça une bonne influence sur les autres hommes.
Sergent James Carmen Sansom MM
Le sergent Sansom a servi au sein du 7e « Canadian Anti-Tank Regiment » depuis sa création en janvier 1942. Sa conduite a été exemplaire et il a accompli à de nombreuses reprises des actes bien au-delà de l’appel de son devoir. Le 15 septembre 1944, la 104e « Canadian Anti-Tank Battery » fut placée à l’appui des chars et de l’infanterie qui attaquaient le dispositif Bagli à quelques kilomètres à l’ouest de Ravenne. Le sergent Sansom était sergent de troupe de la troupe « D » de cette batterie. Sous le couvert de l’obscurité, la troupe « D » a avancé et a pris position pour protéger la LIGNE DE DÉPART. À l’aube, l’attaque s’est avancée et a traversé un petit ruisseau à la base du FEATURE, laissant les canons déployés sous l’observation directe de l’ennemi. Des tirs nourris de mortiers et de mitrailleuses ont été abattus par l’ennemi et le principal canon automoteur a été touché, tuant deux membres de l’équipage et en blessant deux autres. Le sergent. Samsom a couru en avant de son transporteur à travers le sol balayé par le feu et a traîné les blessés à l’abri d’un bâtiment voisin. Après avoir prodigué les premiers soins, il a ensuite transféré le blessé vers son transporteur et l’a fait évacuer. De retour au poste, le Sgt. Samsom a constaté que les trois autres canons avaient avancé avec l’attaque, laissant derrière eux le canon automoteur détruit. Le conducteur était toujours avec l’arme, alors le Sgt. Sansom en prit le commandement et, assisté uniquement du chauffeur, avança vers l’attaque et rejoignit les autres canons. Par ses actions rapides et courageuses, le Sgt. Sansom a non seulement sauvé la vie de ses camarades blessés, mais a également été une source d’inspiration pour ceux qui se sont lancés dans la bataille. Ce sous-officier, au cours de son service ultérieur sur le théâtre d’opérations de l’Europe du Nord-Ouest, a continué à faire preuve d’un courage et d’un leadership de haut niveau et, par ses efforts, a contribué dans une large mesure aux nombreux succès de sa troupe contre les blindés ennemis.
Artilleur Francis Nelson Sarles MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur B Satten MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
BombardierEdward Savage MM
Pour sa bravoure remarquable et son grand courage au service de VIMY dans la nuit du 19 avril 1917, alors qu’il était en charge des chevaux de bât chargés de munitions. Le groupe subit un feu d’obus nourri et fut averti que la route était bloquée par des chevaux et des chariots. Grâce à l’exemple de courage et de leadership de ce sous-officier et à la confiance qu’il inspirait, le groupe continua à avancer jusqu’à ce qu’il atteigne le barrage routier et subisse un nouveau tir d’obus intense et constant. Le Bdr SAVAGE s’est immédiatement mis en route seul, a trouvé un chemin à travers le barrage et a guidé le convoi en toute sécurité. En revenant des canons, il a trouvé les rations de la batterie au bord de la route, abandonnées. Sous le feu constant des obus, il les chargea sur les chevaux de bât et, en deux voyages, livra le tout à la batterie. Quelques jours plus tard, il se trouvait dans un abri lorsque neuf hommes furent tués et blessés. Bien que particulièrement choqué, il prodigua les premiers soins, signala les victimes à son officier et se mit au travail avec son arme. Son numéro 1 et plusieurs artilleurs ont été blessés, mais il a pris les choses en main et a gardé le canon en action pendant toute la durée de l’opération. Pendant toute la période du 9 avril, que ce soit aux canons ou aux chevaux de bât, il a, à plusieurs reprises, par son jugement, son exemple, son courage et son dévouement, sauvé la vie de nombreux hommes et chevaux.
Bombardier John Raymond Savage MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Ernest Fred Saxton MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 6 novembre 1917, près de FREZENBERG, BELGIQUE Cet homme faisait partie d’un convoi de munitions remontant la route d’Ypres jusqu’à la position de batterie de ZONNEBEKE. Le convoi a essuyé des tirs d’obus très nourris. Plusieurs conducteurs ont été blessés et ont dû laisser s’échapper leurs mules. Saxton rassembla résolument les animaux qui couraient à l’état sauvage et en ramena quatre aux Wagon Lines. Cet homme semble n’avoir aucune connaissance de la peur. C’est en grande partie grâce à l’exemple de ces hommes qu’une norme de conduite uniforme et élevée a prévalu parmi les chauffeurs de cette unité.
Artilleur Joseph Clément Scanlon MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 21 août 1917. Cet homme était responsable de la ligne allant de la tête câblée vers l’avant. Bien que cette ligne soit continuellement interrompue, cet homme y patrouillait constamment, malgré les tirs d’obus extrêmement intenses, et son efficacité à réparer les ruptures était telle qu’à aucun moment la communication n’a été perdue plus de quelques minutes. Cet homme a fait preuve d’un grand courage, d’un sang-froid et d’une détermination considérables, et la manière compétente avec laquelle cette ligne a été maintenue en état de marche a été d’une grande valeur pour la batterie.
Artilleur Charles Frederick Schelletter MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Stanley Schofield MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent George Thomas Scott MM avec barre
Médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Bombardier Ivan Esmond Scott MM
En tant que sous-officier responsable des téléphonistes qui avançaient avec le F.O.O., il établit des stations le long de la route d’avancée et maintenait la communication avec le O.P. sur la CRÊTE DE VIMY. Grâce à ce moyen, la brigade a pu tirer sur tous les canons et cibles mobiles par observation directe et avec un bon effet.
Caporal suppléant John Gordon Scott MM
Pour sa bravoure et sa bravoure remarquables au combat, le 15 août 1917. Ce sous-officier. Ayant enterré un canon Stokes lors d’une lourde contre-attaque ennemie, avant que l’ennemi ne soit repoussé, il a déterré son mortier et ses munitions et l’a remis en action, infligeant des pertes à l’ennemi. Il avait une observation directe des troupes ennemies attaquantes depuis sa position de canon et lors des contre-attaques qui ont suivi, il a permis à l’ennemi de pénétrer dans sa zone de barrage, puis a ouvert un feu annihilant sur ce secteur, démoralisant grandement les vagues à venir.
Bombardier John Russell Scott MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Thomas Aylmer Scott MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Augustus Scott MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Ernest William Scrivener MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Henry William Selman MM
Pour une conduite vaillante et distinguée. Le 3 novembre 1917, lors d’un bombardement intense, deux équipes de canons furent victimes. Ce sous-officier, avec un homme restant, a gardé son arme en action jusqu’à ce que l’ordre de « cessez-le-feu » soit donné. Il a fait preuve du plus grand sang-froid et du plus grand courage.
Bombardier Samuel Sergent MM
Lors des opérations VIMY se terminant le 8 avril 1917. Ce sous-officier. a agi comme juge de lignes et a supervisé son entretien dans la zone avant. À maintes reprises, il a réparé des fils brisés sous des tirs d’obus très nourris, faisant preuve d’un grand courage et d’un grand dévouement au devoir.
Sergent George William Setterington MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Cecil Haggart Rasoir MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Hugh Frederick Shaw MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant Oliver Shaw MM
Le 29 octobre, la tâche du « C » Company North Shore Regiment était de sécuriser l’approche d’OOSTBURG. La compagnie a été bloquée par de lourds tirs de mortiers et de mitrailleuses ennemis. Il était nécessaire que les tirs d’artillerie soient immédiatement abattus pour éliminer les positions de mitrailleuses. L’officier d’observation avancé de l’artillerie s’était avancé à pied en maintenant les communications avec un poste n ° 18. À ce moment critique, le poste 18 n’a pas fonctionné et la communication entre l’officier d’observation avancé et son transporteur était inexistante. Le L/Bdr Oliver Shaw s’est rendu compte de la situation, a pris le porte-avions avec des batteries et des pièces de rechange et a avancé en passant sur une route non déminée jusqu’à ce qu’il soit bloqué par les épaves d’un autre porte-avions et par un M10. De là, il a continué à pied sur des routes balayées par de lourds tirs d’obus, de mortiers et d’armes légères ennemis, a atteint l’officier d’observation avancé et a rétabli les communications. Les tirs d’artillerie ont été immédiatement abattus, éliminant les positions des mitrailleuses, et le régiment de la côte nord de la compagnie « C » a pu avancer avec succès. Le L/Bdr Shaw, par son action rapide, sa détermination et son mépris total pour sa sécurité personnelle, était seul responsable de fournir des communications qui ont permis à l’artillerie d’abattre le poste de mitrailleuse ennemi permettant au Régiment de la Côte-Nord de la Compagnie « C » d’atteindre son objectif.
Artilleur William James Gordon Shaw MM
Pour la bravoure et le grand dévouement au devoir. Dans la nuit du 18 avril 1917, l’artilleur Shaw fut envoyé avec d’autres hommes pour guider des trains de munitions vers les canons. Un obus en a tué un et blessé le reste du groupe. Bien que gravement secoué, l’Artilleur Shaw a subi un feu nourri pour obtenir de l’aide. À son retour, il a pris des dispositions compétentes pour guider le Pack Train, a aidé à transporter les blessés jusqu’à un camion et l’a poussé jusqu’à un poste de secours. Il est ensuite revenu seul sous le feu des obus à la position du canon et s’est présenté.
Caporal John Shennan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Lionel John Shepard MM
Pour bravoure et dévouement remarquables, près de Lievin le 17 janvier 1917, lors d’un raid de la 4e Brigade d’infanterie canadienne. Avec l’artillerie F.O.O. il passa avec la première vague d’assaut jusqu’à la ligne de front allemande, d’où la communication fut établie avec le groupe Hdeqrs. Gunnr Shepard a patrouillé la ligne téléphonique dans le « No Man’s Land » sous un feu très nourri et a contribué à son entretien pendant le reste de l’opération.
Artilleur Alfred F Shinnan MM
Ce tireur était le n°2. sur un mortier de tranchée de 2 pouces en position ouverte pratiquement sur notre ligne de front. La position était sous observation ennemie et chaque fois qu’elle tirait, l’ennemi ripostait. La position a été touchée à trois reprises et hors de combat. Gnr. SHINNAN, avec le sous-officier. responsable de l’arme, la déterrait à chaque fois et la remettait en action. En dix jours, ce mortier a tiré plus de 500 bombes et, grâce à la détermination et au courage de l’équipage, les barbelés sur sa zone ont été détruits.
Artilleur Samuel Orson Shorey MM
Près de Courcelette, lors de notre bombardement des 5 et 6 octobre 1916, ce signaleur fit preuve du plus grand sang-froid en établissant la communication entre la tranchée de Hesse et la tranchée de Zollern sous des tirs d’obus et de mitrailleuses extrêmement nourris, et apporta une aide précieuse à sa brigade.
Artilleur James Edward Shottin MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Gordon Merritt Shrum MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Edward John Shuttleworth MM
Pour son courage, son endurance et son dévouement au devoir, l’artilleur Shuttleworth, au cours des opérations sur PASSCHENDAELE culminant le 10 novembre 1917, a fourni un splendide exemple à tous les grades par la manière héroïque dont il a servi le canon au cours de ses périodes de service. Sous le feu nourri des obus, il a continué son travail de manière constante et efficace, et en grande partie grâce à son sang-froid et à ses soins, le canon est resté en action jusqu’à ce qu’on lui ordonne de cesser le feu. Son sang-froid a certainement contribué à maintenir le moral des équipages de canonniers dans des circonstances particulièrement éprouvantes.
Artilleur Edwin Phineas Sidall MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier suppléant Ronald Macvicar Sieger MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Alfred William Sillett MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent John Simmons MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables près de Martinpuich, le 4 novembre, lorsque le canon dont il avait la charge a brûlé, tuant deux membres du détachement et provoquant l’effondrement du toit de la fosse. Les munitions commencèrent à exploser presque instantanément et la fosse devint une masse de flammes. Malgré cela et au péril de sa vie, le sergent Simmons réussit à sortir le général McKenna par un trou dans le toit causé par l’explosion. Ce sous-officier est ensuite resté sur place et le sergent John Simmons, MM a tenté de maîtriser les flammes jusqu’à ce que le lieutenant Howard lui en donne l’ordre. Il ne fait aucun doute que cet acte de bravoure du Sgt Simmons a permis de sauver la vie du Gnr McKENNA.
Artilleur Freeman Curtis Simms MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Duncan Perley Simpson MM
Dans la nuit du 2 au 3 septembre, alors qu’il transportait une arme à feu et des munitions dans l’extrémité nord du bois de Trones sous un feu nourri d’obus sur un terrain difficile, ce sous-officier. a fait preuve d’un sang-froid et d’un esprit d’initiative remarquables et a ainsi grandement contribué au succès de la tâche.
Artilleur Harold Henry Simpson MM
Le 16 Août 1917 lors d’une attaque au Nord de Lens, ce Gnr tient un poste d’écoute en avant de ligne de front et en avant d’ÉCHANGE. Il a fait preuve d’une grande bravoure et d’un grand dévouement au devoir et c’est en grande partie grâce à ses efforts que la communication a été maintenue pendant la journée. Le terrain sur lequel il devait travailler était très exposé et constamment balayé par des obus très lourds. Tirs de mitrailleuses et de tireurs d’élite. Il est gazé dans la nuit du 14 lors de la préparation de l’attaque, mais continue malgré un grand épuisement.
Artilleur Harold Leslie Simpson MM avec barre
Il est allé avec l’infanterie le 15 août 1917 et a maintenu les communications lorsque d’autres membres du détachement ont été blessés. Il a fait preuve d’un grand courage en réparant les lignes sous des tirs d’obus nourris.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Caporal James Wallace Simpson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Thompson Simpson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Archibald Sinclair MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent George Wood Sinnis MM DCM
Ce sous-officier est en charge de la soirée Battery H/Q. Dans la nuit du 28 avril 1917, près de FARBUS, l’ennemi bombarde lourdement la batterie avec des obus à gaz. Pratiquement le premier d’entre eux pénétra dans la pirogue téléphonique. Le sergent. SINNES a non seulement attendu et dégagé le personnel, mais a également sauvé l’équipement téléphonique, réparé les câbles et établi la communication avec l’extérieur. À cause de cela, il a été gravement gazé et a depuis été envoyé à l’hôpital. Depuis ce N.C.O. Arrivé en France en juin 1915, son bilan est celui d’un dévouement continu au devoir et d’un exemple personnel envers ses subordonnés.
Sergent Eric Royal Skaife MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Frederick Thomas Alexander Skelcher MM
Près de VIMY dans la nuit du 8 au 9 mai 1917, cet homme fut envoyé seul (puisqu’il ne restait plus d’autres aides-soignants) à 00h30. avec des ordres d’opération importants et urgents pour les quatre batteries. À l’époque, l’ennemi bombardait très lourdement avec des obus à gaz et également avec des tirs de S.E. et des éclats d’obus. Il a livré les ordres en toute sécurité à trois batteries et était en route vers la quatrième lorsqu’il a été blessé à la tête et assommé par un morceau d’obus. Lorsqu’il revint à lui, il parvint à se frayer un chemin jusqu’à la quatrième batterie et à livrer ses commandes sept minutes avant l’heure zéro. Il a ensuite été évacué. La seule idée de cet homme, malgré sa grave blessure, était d’exécuter ses ordres, et il a fait preuve pour ce faire d’un grand courage et d’une grande détermination.
Sergent Bartholomew James Skelhorn MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Charles Clayton Slack MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 18 novembre 1916, près de Courcelette lors d’une attaque sur la tranchée de soutien du Désir. Toutes les communications entre le quartier général du bataillon attaquant et les brigades d’artillerie Hdeqrs furent coupées. De sa propre initiative et malgré le barrage d’artillerie ennemi et les tirs de mitrailleuses, l’artilleur Slack a pris un autre monteur de lignes et est sorti et a réparé les lignes et est ensuite resté sur les lignes et les a entretenues en constante réparation. Il ne fait aucun doute que son action rapide a permis de maintenir les communications lorsque les besoins étaient les plus urgents. Le nom de cet homme a également été souligné pour le splendide exemple qu’il a donné aux autres juges de ligne le 21 octobre lors de l’attaque de la tranchée Regina et de nouveau le 24 octobre lorsque la position de la batterie a été durement bombardée.
Caporal William Slater MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur David Munro Slipp MM
Pour conduite courageuse et sacrifiée le 22 novembre près de Courcelette. Le puits de tir et l’abri attenant ont été entièrement démolis par un obus de 8 pouces et lui et quatre autres ont été enterrés dans les débris. Dès qu’il eut dégagé la tête et les épaules, l’artilleur Slipp fit preuve d’une grande détermination et d’une grande ingéniosité en donnant des conseils et en aidant les autres hommes à sortir, même s’il était lui-même coincé par deux rails en travers de ses jambes et souffrait énormément. L’O.C. La 9e batterie a pensé pendant tout ce temps que l’artilleur Slipp était indemne et debout et ce n’est que lorsque ceux qui étaient plus gravement blessés que lui avaient été libérés que l’artilleur Slipp a révélé son propre état.
Caporal Bruce Wellington Sloan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Edward Queen Smart MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergeant James Cooper Smeaton MM
Circumstances for this award are yet to be discovered.
Bombardier Robert George Smiley MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Signaleur Arthur William Smith MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent d’état-major Charles Kennelly Smith MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables dans la nuit du 19 au 20 avril 1916, lorsqu’il a effectué des réparations sur les quatre canons, une batterie dans une position lourdement bombardée, puis a traversé la zone bombardée pour réparer un canon d’une autre batterie, permettant ainsi les Batteries de poursuivre leur feu, elles étant alors occupées à résister à l’attaque de la position de Saint-Éloi.
Caporal David William Smith MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Edward Hayes Smith MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent George John Edward Smith MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Grenville Earl Smith MM
Le Bombardier Smith s’est joint au 17e Régiment de campagne du Canada, Artillerie royale canadienne, le 27 juillet 1940 et a servi tout au long des campagnes d’Italie et de Hollande avec un dévouement infatigable au devoir. Durant son service dans les rangs, Bombardier Smith était une personne populaire et joyeuse qui possédait un talent exceptionnel pour diriger les hommes dans les diverses entreprises au cours des longs mois d’entraînement en Angleterre. Lorsqu’il est devenu sous-officier, son détachement d’artillerie a suivi son leadership avec un grand dévouement et, à son tour, il s’est toujours assuré que les hommes sous son commandement étaient les artilleurs les mieux équipés et les mieux entraînés du régiment. A Arnhem, le 16 avril 1945, alors que le régiment reçoit l’ordre de se déployer dans une certaine zone, l’ennemi commence à bombarder la batterie du Bombardier Smith au moment où celui-ci entre en action. Faisant preuve d’un mépris total pour les obus ennemis, le bombardier Smith a exhorté son détachement à agir si rapidement que son canon était en position et tirait bien avant les autres canons de sa troupe. Grâce à cette action, il a été possible d’enregistrer rapidement une cible très importante d’une vingtaine de véhicules ennemis qui ont été engagés et dont beaucoup ont été détruits. Lors d’une attaque ennemie sur Otterloo vers 4 h 30, le 17 avril 1945, le bombardier Smith commandait son détachement de canons qui était déployé dans un champ ouvert à 150 mètres d’un bois. Ce bois offrait une bonne couverture à l’ennemi qui engagea bientôt la zone avec des rafales persistantes de mitrailleuses. Le bombardier Smith, se rendant compte qu’une attaque déterminée serait bientôt lancée par l’ennemi, a rampé jusqu’au poste de commandement des troupes, à une distance de 100 mètres, et a demandé la permission d’engager l’ennemi dans les bois à vue dégagée. L’autorisation a été accordée et lui et son détachement, assistés par la lumière des bâtiments en feu, ont tiré sur l’ennemi à l’aide d’un obus explosif et d’une fusée temporisée d’un réglage de dix secondes, qui est le réglage minimum de sécurité. Les premiers obus éclatèrent derrière l’ennemi et le Bombardier Smith, sans penser aux conséquences graves possibles, ordonna immédiatement de régler les fusées à un temps de vol de deux secondes et continua de tirer jusqu’à ce que l’ennemi soit contraint de se retirer. Tout au long de cette période, le détachement a été soumis à des tirs continus de mitrailleuses et de fusils. Grâce à l’action vaillante du Bombardier Smith et à son contrôle absolu sur l’équipage du canon, une attaque ennemie coordonnée a été empêchée, permettant ainsi aux canons de sa batterie de continuer à tirer.
Artilleur Harold Hillyard Smith MM
Pour service vaillant et particulièrement méritoire au cours des opérations du Corps canadien culminant le 9 avril 1917, à VIMY. Pendant un mois avant l’attaque, il est resté en service continu dans les tranchées et, grâce à des efforts inlassables, a maintenu son mortier de tranchée constamment en action, coupant assidûment et avec succès des fils. Dès que l’avancée fut réalisée, il se porta volontaire pour le service de brancardier et travailla jour et nuit pendant deux jours à la recherche et à l’évacuation des blessés.
Bombardier Harry Ryerson Smith MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal James Joseph Smith MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Smith MM avec barre
Dans la nuit du 8 au 9 avril 1917, Gnr. Smith a fait preuve d’une grande bravoure en restant sous des tirs d’obus nourris en réparant le chemin de câble enterré près du tunnel BENTATA. Le succès des communications de la Division lors de la prise de la CRÊTE DE VIMY est le résultat direct de la capacité et de la bravoure du Gnr. Smith et quelques autres monteurs de ligne dont le travail consciencieux dépend de la réputation de la Compagnie.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Bombardier John Smith MM
A Hambourg O.P. lors des opérations du 26 courant, avant Passchendaele. Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir en réparant le fil de l’échange Boethoek à O.P. Cinq fois, il a procédé sous des tirs d’obus nourris pour réparer le fil qui était le seul moyen de communication entre le Groupe et le F.O.O. la dernière fois, il a été grièvement blessé à la tête et à la cuisse.
Caporal John Chisholm Smith MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Lionel Kenneth Smith MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Matthew Smith MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent maréchal-ferrant Martin Percival Smith MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent William Andrew Smith MM
Le 4. Septembre. 1917, ce sous-officier. était responsable d’un canon détaché. Lors d’un bombardement intensif à base de gaz, la fosse a été touchée et les munitions ont pris feu. Au péril de sa vie, il a éteint l’incendie, empêchant ainsi les munitions d’exploser et sauvant l’arme de la destruction. Son courage et son sang-froid ont été un bel exemple pour le détachement dont il avait la charge.
Sergent William Russell Smith MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent W G Smith MM avec barre
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir à FARBUS le 3 mai. Cette batterie était sous le feu concentré des 5.9 et 4.1. Malgré ce tir d’obus très intense, ce sous-officier. s’est exposé à plusieurs reprises afin de maintenir les communications entre les batteries du centre et de gauche. Le travail courageux et cool de ce N.C.O. était d’une grande valeur pour sa batterie.
Barrette à la médaille militaire – Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir le 29 octobre 1917, lors d’opérations sur YPRES, près de PASSCHENDAELE. Ce sous-officier était en charge de 40 bêtes de somme transportant des munitions. Il y avait un barrage exceptionnellement lourd, des éclats d’obus et du gaz sur la route, mais bien que d’autres trains de meute aient été retenus, ce N.C.O. a mené son groupe jusqu’au bout et a livré avec succès ses munitions à la batterie. Le grand courage, le sang-froid et la détermination dont a fait preuve ce sous-officier. était un magnifique exemple pour les hommes sous lui.
Sergent William Thomas Smith MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Charles Elliott Snell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur George Hillman Snell MM
Cet homme fut chargé de poser une partie de la ligne entre les stations intermédiaires lors de l’établissement des communications le 15 août 1917. Il partit à 5h50 du matin avec du fil et atteignit sa zone, qui fut signalée par le sous-officier. en charge et réussit à poser le barbelé, même si l’un des membres du groupe avait été blessé en se frayant un chemin à travers le barrage. Lorsqu’il eut terminé ce travail, il remarqua que ceux qui devaient poser la première partie avaient tous été blessés, provoquant une brèche dans la ligne de communication. Il a immédiatement fait demi-tour et a aidé les blessés jusqu’à une pirogue, est revenu et a récupéré le fil qu’il avait disposé. Cela a été fait de sa propre initiative alors que l’officier et le reste du groupe avaient continué leur route. Bien qu’exposé à tout moment aux tirs hostiles, son acte réfléchi et courageux a permis aux premières informations de parvenir dès le début de l’attaque.
Artilleur Hubert Joseph Snow MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent James Somers MM
Le matin du 6 novembre, ce sous-officier. était responsable d’un groupe d’emballage de munitions vers la position de la batterie. En raison du terrible état de la piste, ses hommes étaient pratiquement épuisés et l’ennemi a ouvert le feu. Sachant que des munitions étaient nécessaires pour l’avant, il revenait à plusieurs reprises et aidait ceux qui étaient fatigués ou en difficulté – ceci au prix de grands risques personnels car il était constamment sous un feu nourri. On ne saurait trop vanter sa conduite à cette occasion et à d’autres occasions.
Artilleur Edward Soulsby MM
Pour son grand courage et son dévouement au devoir, chez FARBUS lors des opérations du 3 mai. Cet homme était cuisinier de batterie et a fait preuve d’une grande bravoure et d’un grand dévouement au devoir dans l’exécution de son propre travail. Il a fourni aux hommes des repas chauds dans les conditions les plus éprouvantes jusqu’à ce qu’il soit lui-même grièvement blessé. Pendant de nombreux moments, il soignait les hommes blessés et gazés et, sous le feu nourri des obus, il transportait le major Dixon, blessé, pour se mettre à l’abri. C’est en faisant cela que Gnr. Soulsby lui-même a été blessé.
Artilleur Charles Southward MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 5 novembre 1917, lors des opérations à PASSCHENDAELE. Cet homme a été chargé de prendre des fournitures et des pièces de rechange pour maintenir les armes en action et c’est grâce à son courage et à sa détermination que les six armes ont été maintenues en action. Un jour, alors qu’il se dirigeait vers les canons avec des pièces de rechange, le conducteur a été blessé et l’un des chevaux a été tué. Il a emmené le conducteur blessé au poste de secours et après avoir attelé un cheval égaré qu’il avait attrapé sur la route, il a continué et a livré son chargement au poste de secours. Batterie. Tout cela s’est fait sous le feu nourri des obus. Le grand courage et la débrouillardise dont cet homme a fait preuve ont donné un splendide exemple à ses camarades.
Bombardier David Richard Speck MM
Pendant trois mois de service sur la Somme, à savoir octobre, novembre et décembre 1916. Pour son courage et son dévouement sans faille. Il a posé et entretenu des lignes téléphoniques dans des conditions très difficiles et sous des tirs d’obus intenses à plusieurs reprises, et a été tout au long un exemple pour les autres par son industrie et sa gaieté.
Conducteur Victor Douglas Speer MM
En septembre. 10ème. un groupe d’un sous-officier et de quatre hommes a été envoyé par cette batterie pour aller avec un G.S.Wagon récupérer du matériel destiné à la construction d’une nouvelle position de batterie. Alors que ce groupe chargeait du matériel, une salve de trois cartouches d’explosifs puissants de gros calibre est tombée parmi eux, BDR FAWCETT, DONALDSON et FINLAYSON ont été dangereusement blessés. À ce moment-là, SPEER était démonté, tenant l’équipe de tête et PEARSON tenait l’équipe au volant depuis le siège du wagon. Les chevaux se sont enfuis mais les Dvr les ont arrêtés à cinquante mètres. Un autre obus est tombé, blessant PEARSON mais il a pu continuer à retenir son équipe. SPEER descendit de cheval et attacha l’équipe à un arbre. Il a couru jusqu’à l’endroit où les trois hommes avaient été blessés. En raison de l’obscurité, il ne put en trouver aucun au début. Il localise enfin le Bdr FAWCETT, grièvement blessé. SPEER l’a transporté et l’a mis dans le G.S. Wagon, puis a conduit les deux blessés jusqu’à un poste de secours situé environ 100 mètres plus loin sur la route. SPEER est ensuite retourné à la recherche de FINLAYSON et DONALDSON. Les bombardements intenses se sont poursuivis. Au bout de vingt minutes, il n’en avait trouvé aucune trace. (Il s’est avéré par la suite qu’un groupe d’infanterie avait retrouvé ces hommes pendant que SPEER conduisait le Bdr FAWCETT et PEARSON au poste de secours.) Comme il avait quatre chevaux à s’occuper, il décida qu’il valait mieux les retirer du bombardement. Il a attaché l’équipe de tête derrière le chariot et est reparti. Il a rapidement découvert que le tout-terrain avait été gravement touché, il a donc changé ce cheval pour l’un des chevaux de tête de l’équipe et a pansé ses blessures avec ses puttees. Il a atteint la Battery Wagon Line avec tous les chevaux et s’est immédiatement porté volontaire pour revenir chercher FINLAYSON et DONALDSON.
Artilleur Fred Spellay MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Karl Fisher Spracklin MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Edgar Lawrence Sprunt MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Stafford MM
Pour le courage, la détermination et le dévouement au devoir. Lors de l’attaque de PASSCHENDAELE le 6 novembre 1917, le Gnr STAFFORD était l’un des deux signaleurs du F.O.O. 10e brigade d’artillerie. Après avoir passé la nuit en plein air, il a travaillé sans relâche toute la journée en envoyant des messages à la lampe sous un bombardement exceptionnellement intense. Par son sang-froid et son efficacité il contribua sans aucun doute au succès de l’attaque et de la protection de l’infanterie.
Caporal Ludlow Escaliers MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Raymond Ralph Stanbridge MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Donald McNevin Stanley MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur William Stewart Stanley MM
Pour leur bravoure et leur dévouement remarquables, ce chauffeur et ses hommes sont allés de l’avant avec le F.O.O. et établi une ligne. Bien que celle-ci ait été coupée à plusieurs reprises, ce Dvr et ses hommes, malgré le barrage intense, patrouillaient et réparaient constamment la ligne. Par la suite, lorsqu’il devint impossible de maintenir la ligne, ce Dvr et ses hommes franchirent volontairement les barrages en ramenant des informations de grande valeur. Ce DVR. Et les hommes faisaient preuve d’un grand courage, de sang-froid et de détermination et leur travail était d’une grande valeur.
Caporal Arthur Leroy Steeves MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Edward Stein MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Joseph Stenson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Joseph Stepaniuk MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent George Stephen MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Ivan Jeffrey Stephen MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur James Stephenson MM
Le matin du 9 novembre, DRIVERS QUIRT et STEPHENSON étaient avec un train muletier emballant des munitions vers le 33e Bty. C.F.A. situé sur la ROUTE PASSCHENDAELE. Immédiatement à l’arrière des positions de la batterie, l’ennemi a ouvert un barrage lourd sur cette zone, effectuant plusieurs coups directs sur la route et sur des piles de munitions. Les chauffeurs STEPHENSON et QUIRT ont agi avec beaucoup de sang-froid et de courage, livrant d’abord leurs munitions puis éteignant de la cordite en feu parmi les piles de munitions. Ils ont été la cible de tirs d’obus continus et ont été brûlés au cours de l’opération. Par leur action courageuse, ils ont donné l’exemple et ont sans aucun doute sauvé de la destruction une quantité de munitions.
Artilleur Gerald Boyd Hill Stevens MM avec barre
Médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Bombardier Milton Charles Stewart MM
Le 16 novembre 1917, sous le feu nourri des obus, le Sgt. Gallaghan dans la position d’une autre batterie alors que celle-ci et la sienne étaient sous le feu nourri des obus, et a aidé à sauver l’un des artilleurs qui avait la jambe brisée et à le transporter au poste de secours tout en continuant à tirer des obus.
Caporal Russell Stewart MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Stanley Stickland DCM MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent John Edward Stooke MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier John Riley Stromquist MM
Dans l’après-midi du 24 février 45 à KEPPELN, un obus ennemi a touché un camion de munitions qui était en train d’être déchargé sur une position de canon en préparation de l’opération BLOCKBUSTER. Le camion a été incendié, un homme a été tué et deux blessés. Le Bdr John Riley Stromquist, bien que grièvement blessé au cou, a appelé une civière pour évacuer l’autre blessé, a sauté dans le camion et en jetant des douilles et en abattant les flammes, il a pu éteindre le feu. Cette action a sauvé l’explosion de nombreuses cartouches de munitions avec le résultat presque certain de plus de victimes sur la position des troupes. Pendant tout ce temps, l’ennemi a continué à harceler la position du canon avec des tirs d’obus. Lorsque l’incendie a été éteint, le Bdr Stromquist s’est effondré et a ensuite été retrouvé grièvement blessé. Par son initiative et son courage, il a fait en sorte que cette troupe soit en mesure d’apporter un soutien d’artillerie à l’ouverture de l’opération BLOCKBUSTER et de donner l’exemple à tous les grades du régiment d’un esprit combatif élevé.
Bombardier Pearson Studholme MM
Il était le sous-officier. en charge des signaleurs sur F.O.O. en service le 6 novembre 1917, lors de l’attaque de PASSCHENDAELE où, par son sang-froid et son audace, il se distingua remarquablement et par son bon exemple insuffla confiance aux autres signaleurs, surtout à un moment où un obus tua cinq hommes et en blessa dangereusement deux autres. à moins de quinze pieds de l’endroit où ils travaillaient. Bien que blessé à quatre endroits immédiatement après zéro heure, il a continué à travailler toute la journée, sous des tirs d’obus exceptionnellement intenses. C’est en grande partie grâce à ses efforts et à ceux du No. 331720 Gnr. H.R. Sangster que les communications étaient maintenues toute la journée et que de nombreuses informations précieuses étaient transmises.
Artilleur William Sugdon MM
Pour le courage, la détermination et le dévouement au devoir. Lors de l’attaque de PASSCHENDAELE le 6 novembre 1917, Gnr. SUDGON était l’un des deux signaleurs de la 10e brigade d’artillerie F.O.O. Après avoir passé la nuit en plein air, il a travaillé sans relâche toute la journée en envoyant des messages à la lampe sous un bombardement exceptionnellement intense. Gnr. SUDGON rapportait un message très important du F.O.O. jusqu’au lampadaire intermédiaire, sur une distance de 2 500 yards, à travers un formidable barrage, lorsque le feu avant était hors service, puis il est revenu. Par son sang-froid et son efficacité il contribua sans aucun doute au succès de l’attaque et de la protection de l’infanterie.
Bombardier Harold William Sulis MM
Le 17 septembre 44, lors de l’assaut sur BOULOGNE, le Bdr Harold William Sulis était l’assistant du poste d’observation d’un officier d’observation avancé soutenant une compagnie de tête du Régiment de la Chaudière. En atteignant le premier objectif, à cause des mines et des pièges, il était impossible pour le véhicule blindé de continuer. L’infanterie est tombée sous un feu nourri. L’officier d’observation avancée de l’artillerie a décidé de faire avancer son groupe à travers la campagne pour trouver un point d’observation afin que notre propre artillerie puisse être abattue pour neutraliser le feu ennemi. Le groupe a avancé sous le feu, a obtenu un bon point d’observation et a procédé à un tir efficace sur l’ennemi. Pendant trente-six heures, ce groupe d’artillerie a été coupé de notre propre infanterie sans protection, sans nourriture ni eau. Au cours de cette période, le Bdr Sulis a aidé à maintenir ouvertes les communications radio et a matériellement aidé l’officier d’observation avancé à abattre un tir efficace sur des cibles préétablies. Sous un feu constant, il continua joyeusement et froidement. Son travail efficace, dans les conditions les plus dangereuses, a aidé à maintenir l’élan de l’attaque du 8 Cdn Inf Bde, réalisant ainsi matériellement la réduction réussie de la garnison de BOULOGNE.
Artilleur John Sullivan MM
Le 8 février. 1918 ; Ce Gnr faisait partie d’un groupe de six hommes chargés du Cpl REX, en service le long d’une route. L’ennemi se mit soudain à bombarder la route, dont l’un tomba au milieu d’un groupe composé d’un officier, d’un sous-officier. et deux hommes, à une cinquantaine de mètres devant eux, avançant dans la même direction que le groupe du Cpl REX. Le Cpl REX court à leur secours suivi du Gnr SULLIVAN, et ce dernier, bien que renversé par l’explosion d’un obus, aide le Cpl à évacuer l’officier blessé à l’abri d’une tranchée. Lorsque le Cpl est parti à la recherche d’une civière, l’officier blessé demandant à boire, Sullivan, malgré de violents tirs d’obus et au grand risque pour lui-même, est parti la chercher et a finalement réussi à emprunter une bouteille d’eau. Les deux hommes étant morts, on ne pouvait rien faire pour eux, mais SULLIVAN assista le sous-officier. qui a été très secoué. Lorsqu’une civière a été achetée, SULLIVAN a aidé à transporter l’officier blessé jusqu’à un poste de secours, situé à 800 mètres. Par sa rapidité et son sang-froid, SULLIVAN a probablement sauvé la vie de l’officier blessé, et sa splendide bravoure et son sacrifice de soi étaient un exemple pour les autres hommes.
Conducteur Leonard Sullivan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Sullivan MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal John Scott Sutherland MM
Pour bravoure et dévouement remarquables près de Beaumont Hamel le 7 octobre 1916. Lorsque l’entrée de son emplacement de mortier de tranchée eut été soufflée par un obus et que le mortier fut enterré, il déterra le mortier, rallia ses hommes, rouvrit et continua de tirer jusqu’à ce que le mortier soit enterré. le mortier a été détruit par un coup direct.
Sergent Hugh Alastair Swinton MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Paul Sykes MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier James Bruce Symington MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Manly Taylor MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Percy Curran Tees MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur James Bowes Tetlock MM
Lors des opérations du 6ème inst. Une section de la 3e Batterie C.F.A. a été lourdement bombardé, les canons ont été endommagés et plusieurs membres d’équipage ont été blessés. Cet homme qui est monteur a réparé les canons sous le feu, puis, avec un autre homme, a gardé l’un des canons en action jusqu’à ce qu’un secours puisse être organisé. Son sang-froid et son courage ont beaucoup contribué à sauver une situation difficile.
Conducteur Delphis Thébrège MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Thom MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables lors des opérations RESNOY les 8 et 9 mai, lorsqu’il a été constaté que l’infanterie avait perdu sa communication téléphonique Gnr. THOM,J et Gnr. ARMSTRONG, TE. Malgré les tirs d’obus exceptionnellement intenses, une ligne a été tracée en avant du canon du sniper. Bien que cette ligne ait été continuellement coupée par le feu ennemi, ces deux hommes ont réparé les ruptures et à aucun moment la communication n’a été perdue pendant plus de quelques minutes. Le grand courage, le sang-froid et l’efficacité manifestés par ces hommes étaient de la plus haute importance pour l’artillerie et l’infanterie tout au long des opérations.
Artilleur Gerald Thomas MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent maréchal-ferrant Archie Thompson MM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir dans la collecte des munitions. Ce sous-officier a fait preuve d’un splendide dévouement au devoir et de bravoure en apportant des munitions aux canons dans des conditions très difficiles lors des opérations de prise de PASSCHENDAELE RIDGE en octobre et novembre 1917. Les canons du 21e How. Les Bty étaient considérablement en avance sur ceux des autres batteries de leur groupe, et la route sur laquelle les munitions devaient être emballées était sous le feu d’obus intenses presque continus, il y a peu d’occasions où des pertes parmi les hommes et les chevaux transportant des munitions n’ont pas eu lieu. Bien que de nombreux renforts récents aient été employés à ces travaux, ce sous-officier. par son sang-froid et son exemple, il réussit à apporter des munitions à tout moment lorsque d’autres convois échouaient.
Artilleur Earle Frederick Thompson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Ernest Thompson MM avec barre
Lors de l’attaque du FRESNOY, le 3 mai 1917. ce sous-officier a pris en charge l’un des canons et a agi avec beaucoup de sang-froid et de galanterie dans la conduite de son détachement sous des tirs d’obus hostiles particulièrement violents. Il a montré un bel exemple à ses hommes à un moment très critique du Barrage. De nouveau le 5 mai 1917, lorsqu’une fosse à munitions fut touchée et prit feu, il fit preuve d’un sang-froid et d’une détermination remarquables pour éteindre le feu.
Barrette à la médaille militaire – Pour conduite galante et distinguée et dévouement au devoir le matin d’octobre; 22e 1917. Le Cpl Thomson a reçu l’ordre de prendre un avant-train pour sortir un canon qui a été endommagé par des tirs d’obus. Câble d’entraînement COLLINGS, centre d’entraînement GRIS et roue motrice TRWIN. À FREZENBERG, l’avant-train a subi des tirs d’obus nourris, le cheval proche du centre étant tué et le hors centre étant abattu. Les 3 conducteurs  sont entassés sous leurs chevaux et TREWIN a la jambe gravement écrasée. Bien que soumis à un feu nourri, ils ont coupé l’équipe centrale et ont accroché les équipes de tête et de roue. GRAY a reçu l’ordre de ramener le cheval décentré restant. L’avant-train a alors trotté vers l’avant. Un autre obus blessa le cheval presque mené, et tout l’attelage tomba. Le groupe a finalement atteint la position de la batterie et s’est accroché au canon. Ils ont réussi à faire sortir cela le long de la seule route disponible qui était encore fortement bombardée.
Sergent James Henry Thompson MM
Le matin du 15 novembre, le Sgt. Thompson était responsable d’une section d’un train muletier emballant des munitions vers les positions de canon avancées de la 10e Bde. C.F.A. Avec lui se trouvaient Drivers, Urwin et McGowan. Lorsque la pièce a essuyé des tirs nourris d’obus et un R.F.A. pack train directement devant. Avoir deux animaux par homme et subir de lourdes pertes en hommes et en animaux est devenu désorganisé. Les animaux galopaient dans les deux sens, mais le Sgt. Thompson, habilement assisté par les chauffeurs Urwin et McGowan, a pris le contrôle de la situation grâce à leur brillant exemple et a mis un terme à ce qui ressemblait autrefois à une vilaine bousculade. Leur exemple a mis de l’ordre au sein de la R.F.A. Les chauffeurs et les deux parties ont réussi à livrer leurs munitions et à se mettre en sécurité. Le N.C.O. et les hommes aidaient ensuite les brancardiers à transporter les mourants et les blessés et aidaient également à dégager les animaux embourbés au bord de la route. Sans aucun doute le Sgt. Thompson et les chauffeurs Urwin et McGowan, par leur travail courageux, ont permis de sauver de nombreuses vies et d’inverser le cours d’une situation qui aurait facilement pu devenir plus grave.
Adjudant de classe II Stanwood Vernon Thompson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Alfred George Thomson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal David Thomson MM avec barre
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir dans l’action. Ce sous-officier était responsable d’un groupe transportant des munitions à une section de mortiers de tranchées. Lorsque son groupe fut tous devenu des victimes, il s’attacha à une autre section où il servit de guide en conduisant les hommes aux canons de sa propre section. Par ce moyen, il a réussi à maintenir ces canons approvisionnés en munitions à un moment où il était d’une nécessité vitale que l’approvisionnement en munitions soit maintenu.
Barrette à la médaille militaire – Pour bravoure et dévouement au devoir. Lors d’une attaque ennemie sur nos tranchées, ce sous-officier. fait preuve d’une grande bravoure, en gardant ses Stokes Guns en action, bien que soumis à un barrage d’artillerie et de mitrailleuses hostiles des plus intenses. Son exemple splendide était une grande motivation pour tous les hommes de la batterie, et son intrépidité les a grandement encouragés. Son travail splendide a largement contribué à l’efficacité des mortiers Stokes pendant l’engagement.
Sergent-major de batterie Percy Thorne DCM MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent John Robert Thorp MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Stanley Philip Thwaites MM
Les 4 et 5 février 1918, alors qu’il était en service au poste d’observation avancé, l’ennemi lança un lourd barrage sur la zone. Un coup direct a blessé l’officier de service et l’a enterré sous les débris. Le Gnr Thwaites a désincarcéré l’officier et, avec l’aide d’un téléphoniste, a transporté l’officier blessé jusqu’au poste de secours le plus proche, à plusieurs centaines de mètres de distance. Il est ensuite retourné à son poste toujours sous le feu, a réparé les câbles et rétabli la communication avec le quartier général du groupe, envoyant des informations précieuses et des rapports de situation jusqu’à ce qu’il soit relevé par un officier. À cette occasion, ainsi qu’à plusieurs autres, il a continuellement fait preuve d’intrépidité, d’une grande initiative et d’un grand dévouement au devoir.
Sergent Thomas William Todd MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Signaleur John Towart MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent John Towe MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Aviard Ira Tower MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Andrew Townsend MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Charles Rowlatt Townsend MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Le 15 août 1917, ce sous-officier. avec deux téléphonistes entretenaient leurs communications à partir d’un poste d’observation avancé, et les renseignements qu’ils envoyaient étaient de la plus grande valeur. Ce sous-officier localisé et signalé les routes utilisées par l’ennemi pour les contre-attaques ; à six reprises différentes, il a donné l’emplacement des troupes massées que leur groupe a engagées avec d’excellents résultats et a signalé la localisation d’un canon de 77 mm tirant à bout portant sur notre infanterie, de sorte qu’une de nos batteries a pu, avec son observation, y faire face efficacement . Il a également rendu compte de tous les tirs de concentration effectués pendant la journée, ce qui a permis à notre artillerie de procéder aux modifications nécessaires préparatoires aux concentrations nocturnes. Le sergent. TOWNSEND est resté en service sans interruption pendant quarante-huit heures, période pendant laquelle il a été sous le feu constant des obus et des mitrailleuses ennemis et a rendu des services inestimables, traitant toutes les situations avec le plus grand sang-froid et la plus grande rapidité.
Sergent Yerxa Byron Tracy MM avec barre
CRÊTE DE VIMY. Pour son bon travail constant et son dévouement au devoir malgré tout danger, en maintenant la communication téléphonique entre la batterie et O.P. pendant les jours précédant le 9 avril sur un terrain constamment bombardé. Cela demandait beaucoup de travail dangereux et de courage et était d’une valeur inestimable pour garder la batterie disponible pour le service en cas de besoin.
Barrette à la médaille militaire – Ce sous-officier accompagne son officier (Lieut. Lawrence) dans la reconnaissance de la COLLINE 56 dans le but d’établir un O.P. lors de l’attaque de PASSCHENDAELE le 6 novembre. 1917, au cours de laquelle il a été soumis à un feu très nourri. Il a apporté une aide précieuse après la création de l’O.P. dans la tentative de faire passer des informations par lampe, ce qui était grandement gêné par la communication téléphonique du côté récepteur. Tout au long de l’effort, il a fait preuve d’un grand sang-froid et de bravoure.
Artilleur Grant Stuart Trapnell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Roy Alexander Treloar MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent John Trewhitt MM
Pour bravoure et dévouement remarquables les 4 et 8 octobre 1916, près de Courcelette, lorsque, pour couper des fils sur le front ennemi, il a fallu poser des fils à une sève avancée en avant de nos tranchées de première ligne. Ce sous-officier posé et entretenu avec succès le fil jusqu’à ce point, étant exposé à l’ennemi à l’air libre sur 400 mètres sous des tirs d’obus et de mitrailleuses exceptionnellement lourds, apportant une aide très précieuse à son unité.
Conducteur Sydney Trewin MM
Pour conduite courageuse et distinguée et dévouement au devoir le matin du 22 octobre 1917. Le Cpl THOMSPON a reçu l’ordre de prendre un avant-fusil pour sortir une arme qui avait été endommagée par des tirs d’obus. Câble d’entraînement COLLINGS, centre d’entraînement GRIS et roue motrice TREWIN. À FREZENBERG, l’avant-garde a essuyé de violents tirs d’obus, le cheval le plus proche du centre étant tué et le cheval excentré étant abattu. Les 3 cochers étaient entassés sous leurs chevaux et TREWIN eut la jambe sérieusement écrasée. Bien que soumis à un feu nourri, ils ont coupé l’équipe centrale et ont rattaché les équipes de tête et de roue. GREY a reçu l’ordre de reprendre le cheval restant décentré. L’amortisseur s’est alors mis au trot en avant. Un autre obus blessa le cheval le plus proche et l’attelage tout entier tomba. Le groupe a finalement atteint la position de la batterie et s’est accroché au canon. Ils ont réussi à le faire ressortir le long de la seule route disponible qui était encore lourdement bombardée.
Sergent Joseph Buckler Troop MM avec barre
Pour bravoure remarquable, bon exemple et dévouement au devoir. S.W. de LENS le 15 courant, lors d’une contre-attaque ennemie alors qu’il était indispensable de maintenir le feu, dont la sous-section Cpl. TROOP était capitaine de canon, a subi de violents bombardements blessant un de ses hommes et tuant un et blessant deux autres de l’autre détachement de canon de la section. Sa sous-section a continué à faire fonctionner son canon malgré les bombardements et ne s’est pas mise à l’abri comme elle aurait facilement pu le faire. Lorsque l’autre canon de la section a été mis hors de combat, le cap. Le canon des TROUPES a poursuivi son tir. Le très excellent comportement de ce détachement était en grande partie dû au cap. Exemple de sang-froid et de dévouement des TROUPES.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent Harry Trueman MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Floyd Marshall Tufts MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Joseph Gordon Tully MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur John Joseph Tully MM
Pour sa conduite distinguée et son dévouement au devoir. Pendant un bombardement intense, les lignes ont été coupées. Tout le voisinage a été lourdement bombardé et l’artilleur Tully a effectué de nombreuses réparations sur les fils, pendant le bombardement, dans l’espoir de maintenir la communication avec la brigade. Cela s’est avéré impossible car la ligne a été détruite plus vite qu’elle ne pouvait être réparée. En cas d’échec, il transportait des messages importants et devait traverser la zone bombardée. Ce faisant, il rendit un service extraordinaire et fit preuve d’une détermination et d’un sens du devoir remarquables, ce qui constitua un bel exemple pour ses camarades.
Artilleur Frederick William Turner MM
Le 17 janvier 1944, la 11e Brigade d’infanterie canadienne lance une attaque contre une position allemande fortement tenue devant ORTONA. Un poste d’observation avait été établi à la référence cartographique 302179, feuille 14612, pour le commandant du Cape Breton Highlanders et le commandant de la 37e Batterie du 17 Cdn Field Regiment R.C.A. Au début de la bataille, les lignes OP et les lignes d’infanterie avaient été coupées par les mortiers et les obus ennemis. La communication R/T n’était pas satisfaisante. Gnr. Turner, qui en tant que signaleur de batterie s’est rendu compte que les communications avaient échoué, sans ordres, a avancé à la vue de l’ennemi, sous des tirs nourris de mortiers, d’obus et de mitrailleuses et a rétabli les communications entre le PO et le quartier général de la brigade. Sa conduite à d’autres occasions a montré un grand dévouement au devoir et un mépris similaire pour sa propre sécurité.
Sergent maréchal-ferrant Harold George Turner MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Henry John Turner MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Horace Underwood MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Harry Battersby Unwin MM
Pour bravoure la plus remarquable le 30 octobre 1917 près de KEERSELAARHOEK. Voyant un monteur de lignes grièvement blessé, cet homme accompagné de deux autres signaleurs est allé à son secours et a réussi, sous un feu nourri et hostile, à transporter le blessé en lieu sûr. Les deux autres signaleurs ont ramené le blessé à un poste de secours, tandis qu’Unwin retournait à son devoir et maintenait seul les fils téléphoniques de l’officier observateur avancé auquel il était attaché jusqu’au QG du bataillon.
Sergent Sidney Joseph Unwin MM
Au FARBUS le 3 mai. Pour sa bravoure et son dévouement remarquables sous des tirs d’obus très nourris. Alors qu’elle était en action le 3 mai, la batterie fut soumise à un très violent bombardement et le poste de tir dans lequel ce sous-officier se trouvait. qui dirigeait une sous-section a été touché à deux reprises, mettant le feu aux munitions à chaque fois. Malgré de nombreuses difficultés, le Sgt UNWIN réussit à éteindre l’incendie et continua à faire fonctionner son arme avec l’aide d’un seul artilleur jusqu’à ce qu’il soit lui-même grièvement blessé. Ce sous-officier a fait un travail exceptionnellement bon au cours des 16 mois qu’il a passés en France et a donné un très bel exemple de courage et de détermination.
Artilleur Raymond David Ure MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Grant William Urquhart MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier William Urquhart MM
Pour bravoure et dévouement remarquables lors des opérations, près de PASSCHENDAELE le 5/6 novembre 1917. Ce sous-officier était en charge des trains de munitions. La route vers la position de la batterie était à tout moment sous le feu nourri d’obus, mais le grand courage et la détermination manifestés par ce sous-officier. était un splendide exemple pour les hommes sous ses ordres. Ils maintenaient à tout moment un approvisionnement suffisant en munitions auprès des canons.
Conducteur Harold Victor Utting MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Alfred Vachon MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Leo Joseph Vallee MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Cornelius Herman Van Aggelen MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Ewart Gladstone Vasey MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Sydney Vokes MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Leslie Gordon Waddell MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Clarence Herbert Wade MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Robert Wagner MM
Le 16 août 1917, lors d’une attaque au nord de Lens, il est chargé des transmissions. Il a posé une ligne téléphonique à découvert avant la ligne de front ; il occupait un téléphone opérationnel et effectuait une grande partie de la ligne de patrouille qui était constamment coupée, sous des tirs très nourris d’obus, de mitrailleuses et de tireurs d’élite. Il a donné un splendide exemple aux hommes sous ses ordres et était en grande partie responsable du fait que le PO ne se soit jamais séparé de la communion pendant plus de 100 minutes à la fois.
Artilleur Stanley Waldron MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Alfred Ernest Walford MM
Qui était responsable des monteurs de lignes, et qui a lui-même réparé les lignes à plusieurs reprises sous le feu nourri des mitrailleuses et des obus. Le 6 octobre, lorsque plusieurs hommes d’un groupe de travail furent blessés, il les emmena à plusieurs reprises au poste de secours et revint sous un feu nourri d’obus. Et ce, bien qu’il ait été désigné comme membre de l’équipe de travail. Au cours des quatre derniers mois, il a accompli un excellent travail d’observation avancée dans des conditions difficiles.
Artilleur George Clark Walker MM
Le 16 août 1917, lors d’une attaque au nord de Lens, il a aidé à poser une ligne téléphonique à découvert avant la ligne de front et, en tant que juge de ligne, a maintenu la communication tout au long de la journée jusqu’à la prochaine écoute en station sous des obus lourds, des mitrailleuses et des tireurs d’élite. feu. Il a été gazé dans la nuit du 14 lors de la préparation de l’attaque, mais a continué malgré un grand épuisement jusqu’à ce qu’il soit relevé le 16.
Sergent H L Walker MM avec barre
Médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent James Walker MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Walker MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Reginald William Walker MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Eustace Eden Wallis MM
Il était guetteur et juge de lignes au sein de la Brigade F.O.O. les 15 et 16 août 1917. Grâce à ses efforts inlassables sous des obus lourds, la communication avec l’arrière fut bien maintenue. Un jour, avec ses juges de lignes, il a réparé quinze ruptures de câble sous un barrage très puissant, permettant ainsi d’envoyer des informations très importantes vers l’arrière. À une autre occasion, il observa une contre-attaque allemande et, la ligne étant propriétaire, il rapporta lui-même l’information à la brigade d’infanterie. Son courage était exceptionnel.
Artilleur Frederick Walsh MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables près de Courcelette les 16 et 17 septembre 1916. En plus d’effectuer son travail de juge de lignes de la manière la plus dévouée sous des tirs d’obus constants, il a volontairement entrepris trois voyages dangereux vers la ligne de front et à un point critique. Lui et d’autres téléphonistes ont sécurisé des fusils et ont tenu pendant un certain temps une partie de la tranchée de la ligne de front.
Artilleur Harry John Walsh MM
Pour bravoure et dévouement exemplaire les 5 et 6 novembre : près de PASSCHENDAELE Cet homme a patrouillé et réparé des câbles sous d’intenses tirs d’obus et sur un terrain presque infranchissable permettant de maintenir les communications entre la Bgde O.P. et les QG du Groupe tout au long de l’attaque du 6 novembre. .
Conducteur Orvill McEvery Walsh MM
Lors de l’attaque du 18 novembre 1916, cet homme accompagnait le Lieut Oliver Bde F.O.O. qui reçut l’ordre d’obtenir des informations sur les mouvements du 87e Bataillon. Lors de son deuxième voyage vers l’avant, le lieutenant Oliver a été abattu par un tireur d’élite. Le Dvr Walsh obtient l’assistance d’un C.A.M.C. homme et a tenté de porter le lieutenant Oliver à couvert. Ils n’avaient parcouru que quelques mètres lorsque le C.A.M.C. l’homme a été abattu et tué. Le Dr Walsh a traîné le lieutenant Oliver dans un trou d’obus et est resté avec lui pendant plus d’une heure jusqu’à sa mort. Il a ensuite marqué l’endroit et est revenu à travers un barrage intense jusqu’au poste d’intervention où il a répondu par téléphone aux informations requises et a continué en tant que F.O.O. jusqu’à ce qu’il soit soulagé.
Caporal Norman Phillips Walter MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Clarence Verney Walters MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur John Ward MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur John Wilmott Ward MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Thomas Ward MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Stanley Belben Wareham MM
Pour le dévouement continu au devoir et le travail splendide de ce sous-officier. depuis l’entrée en action de la 21e Batterie d’obusiers dans la RÉGION D’YPRES le 16 octobre : jusqu’au 19 octobre : 1917. Il est personnellement responsable du maintien du contact de sa batterie avec les autres unités. Le Cpl WAREEHAM a fait preuve d’une intrépidité absolue sous des tirs intenses d’obus de tous calibres ; a réparé les lignes et maintenu les communications pour son unité alors que cela semblait être une impossibilité totale. C’est un sous-officier. par sa bravoure et son merveilleux dévouement au devoir, il a contribué de manière non négligeable à maintenir le moral élevé des signaleurs du 21e. Batterie d’obusier. lors des intenses bombardements.
Caporal Percy Alfred Wares MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Charles Alfred Warren MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Cecil Edgar Watson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur J M Watson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur George Watters MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Charles Louis Weaver MM
Les 17 et 18 août 1917. Tandis que le Bdr. La batterie de WEAVER tirait en réponse à un S.O.S. signal et fut en même temps soumis à un bombardement de gaz lourd et bien dirigé, il servit son arme jusqu’à ce qu’il soit vaincu par le N.C.T. et les vapeurs de gaz. Après avoir été transporté hors de la fosse à canon et réanimé, il est retourné au canon et a continué jusqu’à ce qu’il soit à nouveau vaincu. C’est en grande partie grâce au splendide exemple et aux efforts de ce Bdr que la batterie fut en mesure de maintenir tous ses canons en action malgré de lourdes pertes.
Artilleur William Weaver MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Albert Webb MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier George Webb MM
Dans la nuit du 4 au 5 octobre 1916, ce sous-officier a pris la tête d’une équipe chargée d’extraire un canon d’une fosse à canon abandonnée dans laquelle il avait glissé. C’est en grande partie grâce à sa persévérance et à son courage que le canon fut sorti et amené en position avancée. Ce travail a été effectué sous le feu des obus et le Bomd. Webb a été blessé dans l’entreprise. Le canon était coincé sur la pente avant et s’il avait été laissé après le jour, il aurait eu de bonnes chances d’être détruit car il aurait été directement observé par l’ennemi.
Artilleur Louis Weber MM
Pour sa grande bravoure et son travail exceptionnel lors des opérations à FARBUS du 2 au 3 mai. Lorsqu’une décharge de munitions de 4,5 pouces brûlait et explosait à la suite d’un bombardement ennemi, une explosion provoqua une explosion de munitions de 4,5 pouces. bombarder l’abri de signalisation du Hqrs de la 5e Brigade. Avec une rapidité, une présence d’esprit et une grande bravoure exceptionnelles, le mitrailleur WEBER ramassa l’obus brûlant et le lança bien loin de l’abri qui contenait tout le personnel de transmission et l’équipement du HQRS de la brigade. Son travail de maintien des lignes lors des opérations du 3 mai sous le feu nourri des obus fut exceptionnellement bon. Il faisait partie d’un groupe qui a franchi le parapet avec le F.O.O. dans l’opération VIMY et a aidé à maintenir les lignes en activité toute la journée. Depuis que cet homme est dans la Brigade, soit deux ans, il a toujours fait un travail magnifique.
Sergent George Websdale MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur A Weidenhamer MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Richard Weiss MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Conducteur Alvin Welch MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Albert Masson Welling MM
Pour la bravoure, le sang-froid et le dévouement au devoir. Dans la nuit du 9 au 10 novembre, le bombardier Welling était responsable d’un groupe de chauffeurs d’arbres transportant des rations et des fournitures vers la position d’artillerie près de Courcelette : sur le chemin du retour, le groupe s’est heurté à un barrage de gaz et de S.E. obus, les trois conducteurs étant blessés et leurs chevaux s’enfuyant dans l’obscurité. Le Bdr Welling pansa les blessures de ses hommes, puis jeta l’un d’eux sur sa selle et le transporta au poste de secours de Pozières. Ici, il a obtenu l’aide d’un brancardier et est revenu et a emmené un autre de ses hommes. Il a ensuite fait revenir un médecin pour examiner le troisième homme qui avait été le plus grièvement blessé. La zone était constamment sous le feu des obus et le Bdr Welling a accompli ces actes en prenant de grands risques personnels.
Bombardier Guy Edward Wells DCM MM
Le 3 avril 1918, la Batterie est soumise à de violents tirs d’obus hostiles n°3. Pit a été touché et incendié. Auparavant, les artilleurs avaient reçu l’ordre de se rendre dans leurs abris. En observant l’incendie, le L/Bdr WELLS s’est précipité dehors et a commencé à essayer de l’éteindre. La majeure partie de l’eau a dû être transportée par des bombardements sur environ 200 mètres. Les cartouches étaient en feu, 2. Boîtes de S.A.A. ont explosé et plusieurs éclats d’obus ont explosé. Après avoir travaillé pendant un certain temps, le L/Bdr WELLS a été enterré par l’éclatement d’un obus, mais a courageusement continué jusqu’à 17 heures. quand le feu a été éteint.
Conducteur Reginald Joseph Welsby MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Clyde Arthur West MM
Pour son courage et son dévouement remarquables. Le 28 mars, lors du bombardement qui précède l’attaque ennemie. Toute communication a été coupée. Gnr West s’est porté volontaire pour réparer la ligne d’environ un mile de longueur. Il a dû porter son masque à gaz pendant environ les trois quarts du trajet. Des enchevêtrements de câbles avaient été installés sur la ligne depuis sa pose. Malgré le gaz et S.E. barrage et les enchevêtrements de câbles, il a réussi à réparer la ligne et à établir la communication.
Sergent J B West MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Willard Earl West MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à FARBUS le 2 mai. Lors d’un intense bombardement ennemi, le quartier général de la 5e Brigade, C.F.A. ont été soufflés. En entendant les appels à l’aide, Gnr. WEST, avec deux autres artilleurs, reçut immédiatement des pelles et réussit à libérer trois officiers vivants ainsi que le lieutenant-colonel BRITTON et le major RIPLEY, qui furent retrouvés morts. Ce travail a duré quinze minutes pendant lesquelles le bombardement a été intense. Gnr. WEST a été blessé, mais ils ont continué à creuser jusqu’à ce que les officiers soient libérés. Par leur action courageuse, ils ont sans aucun doute sauvé la vie des trois officiers.
Artilleur William Wetmore MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Daniel C Whalen MM
Le 9 novembre : en action près de ST. JULIEN leur batterie a été sous le feu nourri d’obus pendant le temps imparti pour l’enregistrement. Tout le personnel avait été dégagé de son poste lorsque cet homme s’est porté volontaire pour manier l’arme et, dans des circonstances très difficiles, il est passé d’une arme à l’autre jusqu’à ce que l’enregistrement soit terminé. Son grand mépris du danger personnel et son dévouement au devoir ont permis à la batterie d’être enregistrée à temps pour l’attaque du 10 novembre :
Artilleur Alfred Wheat MM avec barre
A St Eloi du 4 avril au 1er mai 1916, dévouement remarquable au devoir et courage dans les patrouilles et l’entretien des lignes téléphoniques montrant une grande ingéniosité et ressource dans l’établissement de lignes auxiliaires et de boucles à travers les lourds barrages hostiles. Son sang-froid et sa débrouillardise ont eu un très grand effet sur les autres juges de ligne de la batterie.
Barrette à la médaille militaire – Pour bravoure et dévouement remarquable au devoir près de Courcelette lors des opérations d’octobre; 21e 1916. Gnr Wheat et Gnr Chivas étaient des monteurs de ligne entre les stations d’observation de la batterie et de Forwrd. Gnr Chivas a été blessé tôt dans la journée et Gnr Wheat a continué à réparer la ligne qui était continuellement coupée, sous le feu ennemi le plus nourri. Pendant une accalmie dans les opérations, Gnr Wheat a transporté Gnr Chivas dans un lieu sûr et a poursuivi son travail sans aide tout au long de la journée. Bien que la ligne ait été continuellement coupée à aucun moment, le F.O.O. hors de communication pendant plus de 10 minutes et des informations précieuses ont été envoyées grâce aux efforts inlassables de Gnr Wheat.
Bombardier Percy William Wheeler MM avec barre
Médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Sergent quartier-maître de la batterie Henry Richard Whewell MM
Un obus hostile a immobilisé des munitions dont certaines se trouvaient dans des bâtiments qui se sont effondrés, 18 hommes ont été tués et 10 blessés par l’explosion. Cet homme a fait preuve d’un grand courage en pénétrant dans un bâtiment où la cordite brûlait violemment et où les fusées et les tubes explosaient et a réussi à extraire plusieurs hommes des décombres, leur sauvant ainsi la vie.
Bombardier James Whitaker MM
Pour dévouement remarquable au devoir près de Courcelette, le 12 octobre 1916 lorsque le sous-officier. chargé des munitions se dirigeant vers les positions avancées, un barrage ennemi se dirigea vers la route très fréquentée ; 8 chevaux de chariots furent tués et blessés et un blocage dangereux apparut imminent. Ce sous-officier a fait preuve d’une grande ressource et d’un sang-froid pour démêler les chevaux et les chariots et, par son action rapide, a empêché un blocus, qui aurait entraîné de lourdes pertes.
Sergent George Richard Whitby MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Clarence Russell White MM avec barre
Médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Caporal Fred White MM
Pour un bon service constant sur le terrain de février 1915 à nos jours. Il a exercé ses fonctions de juge de ligne avec la plus grande bravoure dans toutes les actions auxquelles sa batterie a été engagée.
Sergent Jack White MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Robert Bruce White MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Cet homme faisait partie d’un groupe de dix signaleurs qui avançaient directement derrière l’infanterie et établissaient et entretenaient la communication entre la station d’observation et la tête de câble. Malgré les tirs nourris de l’artillerie et des mitrailleuses, il a réparé la ligne à plusieurs reprises, et lorsque les bombardements sont devenus si intenses qu’ils ont rendu la communication téléphonique impossible. Cet homme faisait office de coureur et recevait de nombreux messages à travers le barrage, ce qui permettait à l’artillerie de faire face efficacement aux tentatives de contre-attaque. Cet homme a fait preuve d’un grand sang-froid, de courage et de détermination.
Artilleur Gordon Henry Whitlock MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Albert Charles Whittall MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Frank Barr Whyte MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Théodore Frederick Wiese MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier John Ridley Wightman MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Harry Wilcockson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Arthur Edward Wilde MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Thomas Wilding MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Frederick Edmund Wilkes MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Allan Wilkinson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal suppléant Frederick Hugh Wilkinson MM
Du 27 mars au 1er avril. Pour le bon travail continu, jour et nuit, pendant cette période, sur l’entretien des lignes. Il est sorti volontairement à plusieurs reprises pour réparer les lignes sous un feu nourri d’obus. Son mépris absolu du danger et son sang-froid dans des conditions très éprouvantes ont largement contribué au maintien des communications dans cette région.
Barrette de la Médaille militaire
Devant VIS-on-ARTOIS dans la nuit du 1er au 2 septembre 1918. Il était sous-officier responsable d’une section de quatre hommes, et chargé des communications entre le quartier général de la brigade et un centre de rapport avancé. Il se déplaçait continuellement entre ces points pour réparer les lignes brisées et faisait preuve à tout moment de la plus grande bravoure et du plus grand dévouement au devoir. Il a donné un magnifique exemple à sa section et c’est en grande partie grâce à ses efforts qu’une communication a pu être maintenue dans une zone fortement bombardée, permettant ainsi de mener à bien le rassemblement final.
2ème Barrette de la Médaille Militaire
Près d’INCHY-en-ARTOIS, le 27 septembre 1918. Pour son exemple exceptionnel et son dévouement au devoir. Ce sous-officier était responsable d’un groupe de monteurs de lignes de la brigade chargés des communications avec le quartier général de la brigade. Pendant le rassemblement qui a précédé l’attaque, les lignes ont été fréquemment coupées, mais conscient de l’urgence de maintenir la communication et bien qu’exposé à un feu d’obus intense de l’ennemi, par son exemple et son inspiration aux hommes de son commandement, les coupures ont été rapidement réparées et la communication maintenue. Au cours de l’avance qui suivit, il fut exposé à plusieurs reprises aux tirs de mitrailleuses et d’obus ennemis, mais il travailla pendant deux jours et deux nuits sans dormir jusqu’à ce qu’il soit blessé dans la nuit du 28 septembre. Les efforts de ce sous-officier ont contribué dans une large mesure au maintien de la communication par signaux à un moment où elle était des plus importantes.
Conducteur Midy Willette MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Arthur Williams MM
Dans la nuit du 13 au 14, lorsque des obus hostiles ont pénétré dans les caves de la Brasserie du VILLAGE DE PASSCHENDAELE, blessant 10 personnes, il a pansé avec tendresse et habileté 25 blessures et, par sa reconnaissance rapide de son devoir, a fait beaucoup pour le confort et le bien-être de ses camarades tombés au combat.
Bombardier Clarence Williams MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Isaac Charles Williams MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Ward Bryan Williams MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Oswald Harry Willison MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Francis Willman MM
Il faisait partie du groupe d’observateurs chargé d’un officier qui s’avança le matin du 6 novembre 1917 lors des opérations contre PASSCHENDAELE. Cet officier a été grièvement blessé, un autre signaleur tué et la lampe de signalisation détruite lors du barrage ennemi. Il a pansé les blessures de l’officier et est resté avec lui pendant la majeure partie de cette période, malgré les tirs d’obus très violents. Il l’a ensuite transporté jusqu’à un poste de secours et a repris son travail sur les lignes de communication.
Sergent Arthur Frederick Wilsher MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Arthur Milton Wilson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur Charles Arthur Wilson MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir
Artilleur Cyril Stafford Wilson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent George Wilson MM
A VIMY le 29 mars 1917 ce sous-officier. a quitté l’O.P. avancé et est retourné aux positions de tir à travers un barrage intense. Trouvant une partie de l’équipage enterrée dans une pirogue désaffectée, il a aidé à déterrer les hommes, a pris pleinement en charge la situation et, par son splendide exemple de sang-froid et de ressources, a inspiré aux hommes une nouvelle confiance et, sous sa direction, ils ont déterré les armes. et les a mis en action, faisant preuve d’une grande bravoure et d’un grand dévouement au devoir.
Sergent John Matheson Wilson MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Thomas Harold Wilson MM
Pour sa bravoure et son dévouement les plus remarquables du 16 octobre au 10 novembre 1917 près de ZONNEBEKE, BELGIQUE. Ce sous-officier a été constamment appelé à prendre en charge des convois de munitions. Il a livré des munitions aux canons à plusieurs reprises. Son mépris total du danger ainsi que sa grande force de caractère ont beaucoup contribué à maintenir à la hauteur les renforts verts avec lesquels il a dû travailler pendant cette période difficile. Il constitue une tour de force à cet égard et s’est révélé être un sous-officier très précieux.
Sergent-major de batterie Timothy Wilson MM avec barre MSM
Pour conduite vaillante près de Pozières le 30 septembre 1916. La position de la batterie était fortement bombardée. Le Sgt Wilson, qui agissait en tant que sergent-major de batterie, a immédiatement couru dans la fosse à canons pour constater les dégâts, puis a évacué tous les hommes qui n’étaient pas en service sur un flanc. Il a ensuite continué à exercer ses fonctions de B.S.M. sans chercher de protection en passant des ordres et en encourageant les hommes sur les trois autres canons. Son sang-froid et son exemple ont stabilisé les artilleurs pendant une période difficile et ont permis à la batterie de continuer à tirer. Encore en octobre ; Le 12 1916, lorsque la position de la batterie a été bombardée et qu’une fosse à canon a été touchée, tuant deux hommes et en blessant un autre, il a montré la même bravoure et le même dévouement au devoir en appliquant les premiers soins au blessé et en restant volontairement en service au téléphone pendant que le reste de les hommes ont été évacués vers un lieu sûr.
Barrette à la médaille militaire – Les circonstances de ce prix restent à découvrir.
Conducteur Howard Wingrove MM
Pour un service courageux et méritoire. Cet homme était l’un des deux qui accompagnèrent le Lieut Scott (tué depuis) lors des premières vagues de l’attaque d’infanterie à VIMY le 8 avril 1917. Malgré de grandes difficultés, il réussit à établir une communication téléphonique avec le quartier général du groupe à partir d’un O.P. avancé sur le versant éloigné de la CRÊTE. Les renseignements qu’il permettait ainsi de renvoyer sur la disposition de nos troupes et de celles de l’ennemi étaient de la plus grande valeur. Tout au long de la journée, sous le feu nourri des obus, le signaleur WINGROVE a régulièrement patrouillé la ligne, réparant de nombreuses ruptures et réussi à maintenir une communication constante avec le quartier général du groupe.
Artilleur Kenneth Wilfred Wishart MM
L’artilleur Kenneth Wilfred Wishart, de la Batterie « D », du Deuxième Régiment, Royal Canadian Horse Artillery, est chauffeur-opérateur pour un officier d’observation avancé. À ce titre, ses fonctions exigeaient qu’il conduise une jeep transportant le lien de communication vital avec lequel son officier est capable de commander et de contrôler l’artillerie en soutien à l’infanterie avancée. De plus, il est responsable de l’exploitation de deux postes sans fil, l’un vers l’avant pour son officier qui avance à pied avec les compagnies de tête, et l’autre vers l’arrière jusqu’à la position du canon. Souvent sous le feu des mortiers, de l’artillerie et des armes légères de l’ennemi, l’artilleur Wishart s’acquitte de ces tâches importantes avec calme et efficacité et au mépris total de sa sécurité et de son confort personnels.
Le 30 mai 1951, l’artilleur Wishart accompagnait son officier qui avançait avec une compagnie du deuxième bataillon, le Royal Canadian Regiment. Après plusieurs heures de service, dans des positions exposées sous des tirs sporadiques d’armes légères et de mortiers, transmettant les ordres de tir de son officier au poste de tir, l’officier de l’artilleur Wishart a reçu l’ordre de se rendre à la compagnie « A » à Chail-Li, puisque cette compagnie était contre-attaqué et avait besoin d’un soutien d’artillerie. On lui propose une relève mais il refuse afin d’accompagner son officier dans cette mission vitale.
Arrivé à la position avancée, l’artilleur Wishart se rendit immédiatement compte que de lui dépendait la vie de ses camarades d’infanterie puisque les ordres d’appui d’artillerie, qui devaient briser la contre-attaque et couvrir le retrait de la compagnie, devaient être transmis par lui. . Malgré les tirs nourris d’armes légères, de mortiers et de mitrailleuses, l’artilleur Wishart se tenait froidement près de son véhicule, les casques de ses postes sans fil à la main et transmettait soigneusement et clairement les ordres de tir aux canons.
Les tirs ennemis se sont intensifiés et les soldats ennemis ont commencé à se diriger vers la position, mais ce vaillant conducteur a tenu bon, prenant le peu de couverture qu’une jeep peut offrir et se faisant remarquer avec ses postes sans fil et ses antennes, jusqu’à ce que les ordres de tir d’artillerie qu’il transmettait s’arrêtent. l’ennemi causant de lourdes pertes. Finalement, il a réussi à passer les ordres de tir pour couvrir le retrait et notre infanterie a été dégagée avec relativement peu de pertes.
Le courage et le dévouement de l’artilleur Wishart, sous un feu nourri, ont rendu possible le soutien de l’artillerie qui a brisé une contre-attaque ennemie menaçante et a permis à nos troupes de se retirer. Ses actions ont été une source d’inspiration pour tous.
Caporal Herbert Jack Withers MM
Pour bravoure et dévouement remarquables le 3 novembre 1917, lors des opérations précédant la prise de PASSCHENDAELE. En tirant sur S.O.S. Appelez ainsi, le canon du sous-officier a été mis hors de combat par un obus de 5,9 pouces qui a tué l’un et gazé et blessé l’autre membre de l’équipage. Malgré de violents bombardements, ce N.C.O. a récupéré une culasse et des pièces de rechange d’un pistolet embourbé à 500 mètres, a remis son arme en action et a continué à tirer seul jusqu’à ce que S.O.S. avait fini, quand il s’est effondré. La grande bravoure, la détermination et la compétence affichées par ce sous-officier. a donné un splendide exemple à ses camarades.
Artilleur Tom Vallantine Withington MM
Le 6 novembre au matin, lors des opérations contre PASSCHENDAELE, blessé à son lampadaire, il est resté à son poste pendant cinq heures avant d’être relevé. Son courage et son dévouement au devoir ont permis de transmettre de nombreuses informations utiles au quartier général de la brigade.
Artilleur Stanley Robert Witt MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Austen Wolven MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Arthur Wood MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Herbert Woodall MM
Le 7 novembre, l’ennemi bombardait lourdement. Un coup direct fut obtenu sur une pirogue, tuant cinq personnes sur le coup et en blessant gravement cinq autres. Le Sgt Woodall observant cela avec son propre canon à une certaine distance, rassembla quelques hommes et, au grand risque, courut vers l’abri. zone bombardée, a extrait les blessés des décombres, leur a prodigué les premiers soins et les a transportés tous les cinq au poste de secours sur des civières dans les plus brefs délais. Sa conduite a été exemplaire et son action rapide a contribué à sauver plusieurs vies.
Artilleur James Benjamin Woodin MM
Pour sa bravoure marquée et son dévouement au devoir lors de la réparation à plusieurs reprises de lignes téléphoniques sous le feu du 28 mars au 4 avril 1918, entre la position de batterie Bde Hqrs et les O.P. La position a été fréquemment et lourdement bombardée au cours de cette période. En raison du manque de signaleurs Gnr. WOODIN a dû travailler seul.
Sergent Peter Woods MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur William Moore Woodward MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Henry Wooldridge MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Conducteur George Worthington MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent Charles Frederick Wray MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur Donald Charles Wright MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Guy Wilton Wright MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Harry Thorn Wright MM
Pour bravoure et dévouement exemplaire près de Courcelette les 15 et 16 septembre. Le Bdr Wright et le Gunr Scott étaient continuellement employés à entretenir le câble téléphonique dans la zone fortement bombardée entre l’usine sucrière de Courcelette et notre ancienne ligne de front. Les fils étaient continuellement coupés par les tirs d’obus, mais ces deux hommes ont travaillé avec le plus grand dévouement pendant plus de trente heures, indépendamment du danger ou de la fatigue, et ont fait tout ce qui était humainement possible pour garder leur ligne intacte.
Sergent Joseph Ernest Wright MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Percy Ellis Wright MM
Pour une conduite distinguée et un dévouement au devoir. Le 23 octobre 1917, de sa propre initiative et sous le feu nourri des obus, ce sous-officier. a pris en charge le trafic routier très encombré et a dirigé les véhicules et les bêtes de somme autour de la zone bombardée, sauvant ainsi la vie de nombreux hommes et animaux.
Artilleur Percy Frederick Wright MM
Cet homme agissait comme juge de ligne auprès du lieutenant. NAISMITH, officier de liaison auprès de la 7e brigade d’infanterie canadienne du RCR., lors de leur attaque sur la CRÊTE DE VIMY le 9 avril 1917. Il a fait un excellent travail en maintenant la communication entre le QG du bataillon et le QG du bataillon. et les câbles à travers le tunnel. Il a réparé les lignes à plusieurs reprises sous des tirs d’obus très nourris et a également réparé la ligne d’infanterie et a tracé une ligne pour elles jusqu’au QG de la compagnie. dans la nuit du 10 avril. Cette assistance à l’infanterie était absolument nécessaire en raison du grand nombre de victimes parmi les monteurs de lignes d’infanterie.
Artilleur Sydney Thomas Wyatt MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Sergent George Wyld MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Caporal Hugh Kennedy Wyman MM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables. Ce sous-officier était chargé des communications téléphoniques, et bien que la ligne soit continuellement rompue, ce sous-officier, malgré les tirs d’obus exceptionnellement violents, est immédiatement sorti et a réparé les ruptures. Au cours de la journée, il fallut poser quatre lignes complètes. Lorsque le feu devint si intense qu’il était impossible de maintenir les lignes, ce sous-officier porta plusieurs fois des messages à travers les barrages ennemis, et le grand courage, le sang-froid et le dévouement dont il fit preuve furent un excellent exemple pour les hommes qui étaient sous ses ordres.
Sergent Frank Wynn MM MSM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Bombardier Frederick Lewis Yeomans MM
Bon travail continu en tant que signaleur et juge de lignes de mars 1915 à nos jours.
Caporal Alexander Yorkston MM
Les circonstances de cette récompense restent à découvrir.
Artilleur James Young MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.