Médaille de conduite distinguée
La Médaille de conduite distinguée (DCM) était décernée aux adjudants, aux sous-officiers et aux militaires du rang, servant dans l’une des forces armées souveraines, pour une conduite distinguée sur le terrain. Il s’agissait de la deuxième plus haute distinction pour bravoure au combat (après la Croix de Victoria) pour tous les grades de l’armée inférieurs à celui d’officier et elle était également décernée au personnel de la marine et de l’armée de l’air pour une conduite distinguée sur le terrain.
Sergent Walter F Adams DCM
Le 10 octobre 1918, près de Le Gateau, il commandait sa sous-section avec beaucoup de sang-froid sous un feu nourri d’obus explosifs et de gaz. Il a servi sans interruption en France depuis juillet 1915, de manière exemplaire, faisant toujours preuve du plus grand dévouement au devoir dans les conditions les plus éprouvantes.
Sergent Willard Victor Agnew DCM
Pour son courage et son dévouement au cours des opérations offensives au sud-est d’Arras le 27 août 1918. août 1918. Il était chargé des communications de la section avancée et il était absolument nécessaire de poser 1 500 mètres de fil jusqu’à un poste d’observation. Il a terminé la ligne en 30 minutes, en utilisant principalement le fil ennemi. Ce travail a été effectué sous le feu nourri des mitrailleuses et les 500 derniers mètres en pleine vue des mitrailleurs ennemis. Une fois cette tâche accomplie, il a fourni une aide précieuse en observant les mitrailleuses ennemies et d’autres cibles. Bien qu’il ait été mis à terre deux fois par la commotion des obus ennemis, il a maintenu cette ligne en état de marche pendant notre attaque, ce qui nous a permis de neutraliser un nid de mitrailleuses ennemies. Son exemple a été une source d’inspiration pour tous.
Artilleur William Alexander Allan DCM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables en tant que signaleur. Il avança à travers un barrage lourd, installa une lampe de signalisation et resta en service sans interruption. Plus tard, il avança à nouveau sous un feu nourri, et bien qu’il ait été soufflé et assommé pendant plusieurs minutes, il resta à son poste sous le feu des mitrailleuses. Il aida à sauver quelques hommes blessés d’une » boîte à pilules » qui avait été détruite par un obus, et fit preuve du plus grand courage et de la plus grande endurance.
Bombardier Harold Annis DCM
Il a rendu des services très précieux depuis 1916, en particulier pendant l’offensive de cette année. Il s’est distingué à de nombreuses reprises par son sang-froid sous un feu d’obus nourri et dans l’établissement et le maintien des communications de la batterie, sans tenir compte du danger personnel.
Sergent William Frederick Armstrong MM DCM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables au commandement de son canon, qu’il a sorti de la fosse, face à l’arrière, et a tiré pendant 6 heures en visée ouverte. Il donna un magnifique exemple au reste de ses hommes ; un homme fut tué à côté du canon et le bouclier fut touché par de nombreuses balles. Il a fait preuve d’un mépris total pour sa sécurité personnelle.
Caporal William Charles Harris Atkinson DCM
Pour sa bravoure et son sens du devoir. Dans la nuit du 27 septembre 1918, alors qu’il était chargé d’une colonne de munitions, il fut la cible d’un feu nourri, cinq des six conducteurs furent blessés et onze chevaux touchés. Il se porta immédiatement au secours de ses hommes, transportant un homme blessé sur son dos sur une distance de 500 mètres jusqu’à un endroit où l’on pouvait lui porter secours.
Caporal Robert Falconer Baker DCM
Pour sa bravoure et sa capacité remarquables les 22 et 23 avril 1915. Lorsqu’après avoir fait tuer les équipes de trois wagons de munitions, il a rassemblé des détails et a maintenu l’approvisionnement en munitions à la main, sous des tirs d’obus et de fusil très nourris.
Conducteur Weston Baldwin DCM
Pour sa grande bravoure et son dévouement au devoir depuis août 1917, en particulier la nuit du 4 au 5 novembre près d’Onnaign, en tant que conducteur principal d’un chariot apportant des munitions à la position de la batterie. À son arrivée, il trouva la position en train d’être bombardée. Il s’approcha de son canon, demanda à son conducteur de roue de retenir les chevaux, et lui-même déchargea son chariot et retourna sur la route vers la ligne de chariots.
Bombardier par intérim Walter Patrick Bays DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Mark Beards DCM
Actes de bravoure et de dévouement sur le terrain.
Sergent George Walter Beck DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a établi la communication entre la batterie et le poste d’observation. Après quatre heures de travail sous un feu nourri, il retourna à la batterie et trouva les lignes brisées. Il sortit de nouveau et, travaillant toute la nuit, établit la communication à temps pour l’attaque. Sa détermination et son courage ont été les moyens d’établir les communications les plus importantes.
Caporal Gabriel Belford
Au cours de la période du 17 septembre au 11 novembre 1918, à de nombreuses reprises lors de l’approvisionnement en munitions de sa batterie, il a été la cible de tirs d’obus nourris. Sa sous-section a subi des pertes de chevaux et d’hommes à plusieurs reprises, et à ces moments-là, il a donné un bel exemple de courage et de dévouement au devoir.
Caporal Ernest Hamilton Bennett DCM
Au cours de la période du 25 février 1918 au 16 septembre, il a constamment fait preuve d’une grande initiative et d’un dévouement au devoir. Le 1er septembre, à la position de la batterie, près de Boiry, tout en mettant son canon en action sous le feu des obus ennemis, il fit preuve d’une bravoure et d’une présence d’esprit marquées, et par son action froide et décisive en retirant les hommes et les chevaux sous sa charge à un flanc, pertes sans aucun doute minimisées. Il réussit par la suite, dans les conditions les plus éprouvantes, à mettre son arme en action sur sa plate-forme, pour participer au barrage du petit matin.
Bombardier William Berry DCM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir en gardant son arme en action lors d’un S.O.S. malgré les bombardements intensifs et la perte de deux artilleurs. Lorsque l’officier de service a été grièvement blessé, il a pris la relève et a continué jusqu’à l’arrivée d’un autre officier.
Sergent Joseph Bintliff DCM
Il a servi sans interruption avec sa batterie depuis février 1915. Le 2 septembre 1918, près de Cagnicourt, il a continué à garder son arme en action lors de gros bombardements, agissant lui-même comme mitrailleur.
Sergent-major de batterie Edwin Otto Birch DCM
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir alors qu’il était en charge d’un groupe déchargeant des munitions. L’ennemi a soudainement ouvert un barrage intense de gaz et d’obus explosifs, mettant le feu aux munitions dans l’un des camions et blessant gravement un homme. Bien que blessé lui-même, avec beaucoup de sang-froid et de mépris du danger, il réussit à éteindre le feu et à sauver le reste des munitions. Malgré un feu nourri, il s’occupa du blessé et le transporta en lieu sûr. Il resta en service pendant les opérations qui suivirent et donna un magnifique exemple de courage et de dévouement au devoir.
Sergent William John Bird DCM
Au cours des opérations du 2 novembre 1918, près de St Saulue, il fait preuve d’un grand courage et d’un dévouement au devoir en mettant les canons en action sous le feu des obus nourris. Certaines des équipes ont été victimes, et il a retiré le reste de la position avec une grande colère personnelle.
Artilleur William Birkett DCM et barrette
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir en tant que tireur de 18 pr. canon sur train blindé du 14 au 17 octobre 1918. Lors de l’engagement du train blindé ennemi, il a fait preuve d’un grand sang-froid et d’une grande capacité sous un tir précis, donnant un exemple admirable et aidant matériellement à chasser deux fois le train ennemi. Le 16. lors de l’engagement de la position de l’ennemi à V.P.445 à vue, par une rafale de tir rapide, il a aidé à infliger de nombreuses pertes à l’ennemi et à faire descendre le train.
Barrette à la Médaille de conduite distinguée
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Près d’EVSIEVSKAYA le 1er mars, un messager blessé gisait à environ 350 mètres de la position du canon. Cet homme s’est porté volontaire pour aller au secours de cet homme et obtenir son message. Ce qu’il a accompli avec succès sous des tirs nourris de fusils et de mitrailleuses. Tout au long de la journée, il se comporta magnifiquement.
Sergent-major de batterie Stewart Chadwick Black DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Lorsque la batterie s’est déplacée vers l’avant, il a pris en charge les équipes, les a renversées sur une route de six pieds, bien que fortement bombardées, et les a conduites à l’arrière avec les moindres pertes grâce à son bon jugement et à son leadership. La route a été bloquée à certains endroits par des véhicules abandonnés et détruite à d’autres par des obus. Il a déjà fait preuve à deux reprises d’une bravoure remarquable dans des situations délicates.
Artilleur Von Arthur Bleakney DCM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir lorsque, en tant que juge de ligne, il travaillait sous un feu d’obus nourri. Il a également fait du très bon travail sous des tirs violents à deux autres occasions. Il est toujours gai et énergique.
Sergent quartier-maître William Henry Borland DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Lorsque les lignes de wagons-batteries ont dû être déplacées, en raison de violents bombardements, il est resté sur place pour soigner cinq hommes grièvement blessés et les a transportés en lieu sûr.
Bombardier Raymond Brown Bradley DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a fait preuve d’un grand courage et d’une grande détermination tout au long, en posant et en réparant des fils téléphoniques sous un feu nourri.
Caporal Burton Lawrence Broughton DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Lorsque sa position de canon a été touchée par un lourd barrage ennemi et que le canon a été mis hors de combat, c’est en grande partie grâce à ses efforts que le canon a été remis en action. Par son bel exemple de sang-froid, il maintint le moral de l’équipage et permit de maintenir le service du canon à une période critique. Tout au long, il a rendu d’excellents services.
Sergent William Paul Bruce DCM
En tant que n° 1 de sa sous-section dans les opérations de Saint-Eloi et Ypres, d’avril à août 1916, et de Vimy et cote 70, 1917, il fait preuve d’une grande ingéniosité et de courage et est un magnifique exemple pour ses hommes. Dans les opérations sur la Scarpe, août 1918, alors qu’il faisait office de S.M.B.. il a fait preuve d’un grand sang-froid et d’une grande bravoure dans le contrôle de la livraison des munitions sous le feu des obus nourris.
Sergent John Dinwoodie Burnet DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Ce sous-officier est en service actif en France depuis près de trois ans, commandant son détachement de canons avec un courage et un sang-froid exemplaires sous un feu nourri lors de certains des combats les plus violents de la guerre. Il a fixé un niveau élevé à ses hommes, maintenant l’efficacité de sa sous-section à un niveau élevé grâce à ses compétences et à ses ressources à la fois dans et hors de la ligne.
Sergent-major de batterie Frank Robin Camp DCM
Au cours de la période du 17 septembre au 31 décembre 1918, il a fait preuve d’un courage et d’une initiative froids. Dans les actions précédant la chute de Cambrai, les lignes de chevaux ont été lourdement bombardées, un officier et plusieurs hommes et chevaux étant tués. Il fait déplacer les chevaux sur un flanc et évacuer les blessés vers un poste de secours.
Sergent Roy Oswald Campbell DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Tout en agissant comme observateur auprès d’un autre sous-officier, lui et son camarade ont effectué une reconnaissance photographique des plus audacieuses et réussies dans le but de confirmer les informations qu’ils avaient déjà obtenues concernant le fonctionnement de ballons cerfs-volants hostiles. Au cours de cette opération, ils ont reçu de violents tirs et leur machine a été complètement hors de contrôle, mais avec un sang-froid et une présence d’esprit merveilleux, ils ont redressé la machine, le sergent Campbell grimpant jusqu’à l’extrémité de l’aile pour ce faire.
Caporal suppléant Morris Carter DCM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables, il se trouvait avec un autre homme dans un emplacement de mortier de tranchée en action contre l’ennemi. Alors qu’il était en train de larguer une bombe dans un canon, le levier de vol se détacha et la fusée s’enflamma. Comme le canon ne tirait pas, il a fait basculer le canon, a saisi la bombe et l’a jetée hors de la fosse. Au moment où la bombe a quitté ses mains, elle a explosé, et la force de l’explosion l’a renversé. Il a agi avec une promptitude des plus louables et, au péril de sa vie, a sauvé celle de son compagnon et empêché la destruction du canon et du puits.
Sergent Raymond Samuel Casey DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier par intérim Benjamin Clark DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent quartier-maître de batterie Brian Brooke Claxton DCM
Pour son dévouement au devoir en toutes occasions qui a servi d’excellent exemple aux sous-officiers et aux hommes de la batterie. Sous les tirs d’obus, il a exécuté son travail avec beaucoup de sang-froid, un sergent-major intérimaire a été très énergique et minutieux.
Artilleur Charles Bruce Climo DCM
Pour bravoure et ingéniosité remarquables le 2 septembre 1918, près d’Eterpigny. Il a avancé le matin du 2 avec la Brigade F.O.O. Lorsque ce dernier a été blessé, lui et un autre signaleur se sont volontairement avancés avec le fil téléphonique. Ils ont essuyé des tirs d’obus très nourris et leur téléphone a été brisé. Il a fouillé plusieurs pirogues ennemies et a trouvé un téléphone ennemi qu’il a utilisé. Il a établi un poste d’observation près de l’arrière de notre infanterie et a rappelé par téléphone de nombreuses informations précieuses au quartier général de la brigade d’artillerie. Il a fait un travail magnifique de grande valeur.
Bombardier Charles Herbert Colwell DCM
Pour une bravoure et une détermination remarquables. Lui, avec trois autres hommes à Kurgomen le 27 octobre 1918, s’est porté volontaire pour sortir avec l’infanterie dans l’attaque sur le topsa ; et en cas de succès, armer les armes. Son groupe, avec quatre artilleurs de marine, lorsque l’attaque d’infanterie a échoué et qu’un certain désordre s’en est suivi, a refusé de se retirer jusqu’à l’ordre, bien que pratiquement encerclé, et a finalement combattu pour revenir, ramenant son groupe au complet.
Artilleur Joseph Albert Craig DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Immédiatement après une attaque, il a commencé avec un parti afin d’établir une station de radio. Il a guidé son groupe transportant de l’équipement sans fil lourd sur une longue distance sous des tirs d’obus exceptionnellement violents et a réussi à établir la station. Bien que l’antenne ait été soufflée à plusieurs reprises, il a maintenu la communication jusqu’à ce qu’il soit relevé deux jours plus tard. C’est à son courage et à ses efforts inlassables que sont dus les résultats extraordinaires obtenus.
Sergent-major de batterie Thomas Douglas Crosbie DCM
Pour la bravoure et le dévouement au devoir. Vers 9 heures le 28. Août 1918, un gros obus ennemi atterrit dans une décharge située sur la route d’Arras Cambrai entre Arras et Faub St. Sauveur, tuant sept hommes et blessant cinq membres du personnel de la décharge. Il a été soufflé de vingt à trente pieds par l’explosion et légèrement blessé, mais avec une grande bravoure et un mépris total pour la sécurité personnelle, il a immédiatement obtenu de l’eau et éteint les munitions enflammées et a évité d’autres victimes. Malgré ses blessures et le choc sévère qu’il avait reçu, il a continué à distribuer des munitions jusqu’à ce qu’il soit relevé. Son exemple tout au long était le plus inspirant pour les hommes.
Sergent-major de batterie Alfred Charles Cruchley DCM MM
Par son jugement et ses capacités, il a beaucoup contribué à l’efficacité de l’unité. Sous le feu, il a fait preuve de courage et de sang-froid et cet exemple a été une source de force pour ses compagnons.
Artilleur Joseph Lawrence Curzon DCM
Pour bravoure et dévouement au devoir, notamment le 27 septembre 1918, entre Inchy et Quarry Wood. Il accompagnait la patrouille d’un officier en tant que coureur et portait constamment un message au centre de rapport sous un feu nourri, et plus tard a mis en fuite un équipage de mitrailleuses par des tirs de fusil.
Artilleur Charles Edward Cuthbert DCM
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir lors d’un bombardement intense. Un coup direct sur l’emplacement du canon blesse ou étourdit les hommes du détachement et met le feu aux munitions entreposées autour du canon. L’artilleur Cuthbert s’est précipité dans la cabane en feu, a aidé à faire sortir les blessés et est revenu pour maîtriser le feu. Par son sang-froid et son courage, les blessés ont été secourus et l’explosion des munitions et l’éventuelle destruction de l’arme ont été évitées.
Sergent William Danby DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a fait preuve d’un grand courage lors des opérations en gardant son arme en action dans les circonstances les plus difficiles.
Sergent d’état-major Arthur Edward Davis DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Lorsque sa batterie a été fortement bombardée et que cinq canons ont été mis hors de combat après quelques heures sous le feu, il a réussi à mettre quatre de ces canons en action. Pendant ce temps, l’officier et quatre hommes ont été blessés et deux hommes tués.
Bombardier Alex Dawe DCM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables lors d’opérations à de nombreuses reprises, et notamment lorsque la position de la batterie était fortement bombardée. Dix artilleurs ont été tués ou blessés peu de temps après que la batterie a commencé à tirer. Il a immédiatement pris en charge un canon dont l’équipage était devenu une victime et l’a maintenu en action jusqu’à ce qu’il soit assommé. Il a ensuite soigné les blessés. Il montra un suprême mépris du danger et donna un bel exemple à la batterie.
Sergent-major de batterie Arthur Wellesley DeWolf DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Ce adjudant a servi sans interruption avec la batterie et est en France depuis près de deux ans, faisant preuve d’un grand courage et d’un sang-froid dans certains des combats les plus durs de la guerre. Il ne s’est jamais absenté de son service, sauf pour la période habituelle de congé, et son exemple a été un facteur précieux dans l’efficacité de la batterie.
Caporal Joseph Dick DCM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables, en particulier dans la nuit du 11 octobre 1918, lorsque la batterie se déplaça de Haynecourt à Blécourt. Il a guidé la batterie vers la nouvelle position, puis est retourné aux lignes de wagons pour guider les munitions vers les canons, et a ensuite transporté deux messages au quartier général de la brigade sous un feu très nourri.
Bombardier F Donald DCM
Pour sa bravoure remarquable, son dévouement au devoir et son bon travail continu dans le maintien des communications téléphoniques de sa batterie dans les circonstances les plus difficiles. Toujours le premier à entreprendre une tâche dangereuse, il a donné un bel exemple de courage, d’énergie et d’efficacité.
Sergent-major James William Alfred Donaldson DCM MSM
Pour bravoure ostentatoire le 22 avril 1915, à Saint-Julien, et les jours suivants près d’Ypres, lorsque, étant chargé de l’approvisionnement en munitions de la batterie, il a maintenu l’approvisionnement sous un feu d’obus continu et nourri, et a donné un bel exemple de courage et de dévouement au devoir.
Artilleur James Thompson Donnolly DCM MM
Pour bravoure remarquable lors de la réparation de fils téléphoniques sous un feu nourri.
Sergent Frederick Dow DCM
Pour bravoure remarquable lors des opérations du 8 août au 13 septembre 1918, alors qu’il agissait comme sergent-major de batterie aux canons. Le 11 septembre, près de Reimaucourt, lors du déplacement de la batterie vers une nouvelle position, il était chargé des munitions, et son travail, sous des tirs d’obus extrêmement nourris, organisant et dirigeant les mouvements des wagons, fut du plus grand secours au Commandant de batterie. À de nombreuses autres occasions, son travail a été du même niveau d’excellence.
Sergent David Chapman (Chip) Duncan DCM
Ce sous-officier était responsable d’une section à l’appui d’une attaque d’infanterie, rapprochée pour faire face aux nids de mitrailleuses. Avant de partir, la section avait huit conducteurs blessés et huit chevaux tués. Avec beaucoup de sang-froid et de ressources, il remplaça les blessés et déplaça les canons sur un flanc, d’où ils purent apporter un soutien efficace à l’infanterie. Son travail a toujours été d’un haut niveau.
Sergent Albert Elkins DCM
Au Canal du Nord, le 24 septembre 1918, lors du tir du barrage, celui-ci lui valut de très lourdes représailles, tuant l’un de ses équipiers et en blessant deux autres. Il a personnellement pansé leurs blessures, puis a poursuivi le barrage. Également pendant le barrage, il a éteint un casque de munitions en feu.
Caporal George Thomas Elliott DCM
Le 17 août 1918, lors d’une attaque au sud de Maucourt, il patrouille à maintes reprises sur les lignes, répare les bris, sous un feu nourri, et renvoie des informations précieuses. Encore une fois, le 2 septembre, agissant en tant que coureur, il a porté des messages importants sous un feu nourri. Aux deux dates, il a fait preuve d’une bravoure remarquable et a rendu d’excellents services.
Artilleur N J Etwell DCM
L’après-midi du 6 juin 42, une fillette de dix ans pataugeait dans une grande piscine lorsqu’elle a glissé dans un trou très profond et s’est retrouvée en quelques secondes dans un état grave. La mère de l’enfant a essayé de la rejoindre mais n’a pas réussi en raison de la grande profondeur de l’eau. Le Père Etwell, qui avait été témoin de cette tentative, s’est immédiatement porté au secours de l’enfant. Bien qu’il ne connaisse pas la profondeur de l’eau et qu’il n’ait aucune expérience en matière de sauvetage, il a sauvé l’enfant et aidé la mère à rejoindre la rive. L’initiative et la bravoure de ce soldat sont dignes des meilleures traditions du service. Un témoignage sur parchemin a été décerné par la Royal Humane Society et cet acte de conduite distinguée sera inscrit sur sa fiche de conduite.
Sergent-major de batterie Sydney Charles Evans DCM
Pour sa bravoure remarquable, son dévouement au devoir et ses bons services continus depuis le début de la campagne. En tout temps, il a fait preuve du plus grand courage, de la plus grande énergie et du plus grand dévouement, et sa bonne humeur dans des conditions difficiles a été des plus remarquables.
Sergent Alex Ira Fleck DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Stanley Gordon Fogg DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Ce sous-officier a, à de nombreuses reprises, volontairement entrepris des tâches difficiles et compliquées dans la zone avant, qu’avec un sens du devoir élevé et déterminé, il n’a jamais manqué de mener à bien. Son sang-froid et sa ressource sous le feu ont été un très bel exemple pour les hommes sous ses ordres, et il a rendu la plus grande aide et de précieux services à ses officiers.
Sergent W S Forsythe DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Andrew Hamilton Frame MM MSM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir lorsqu’il est en charge d’une équipe de construction de routes, dans les conditions les plus difficiles. Son courage, son énergie et son bon jugement ont finalement surmonté tous les obstacles. Plus tard, il a été blessé alors qu’il dirigeait son équipe de canonniers sous de violents bombardements.
Barrette à la médaille de conduite distinguée
Lorsque les canonnières et l’infanterie ennemies, aidées par les canons de Tulgas et de Topsa, attaquèrent simultanément, lui et son détachement furent presque encerclés. Il appuie l’infanterie avec des hommes de sa propre sous-section, qui tiennent un blockhaus et deux mitrailleuses. Leurs tirs infligent de lourdes pertes à l’ennemi et permettent de tenir la position jusqu’à l’arrivée des secours. La répulsion de l’attaque ennemie était en grande partie due à son courage et à son initiative.
Sergent vétérinaire Francis James Frape DCM
Pour une bravoure remarquable en action. Il a joué un rôle décisif dans la première phase de l’attaque. Rassemblant un certain nombre de pilotes, il prend les commandes et se bat avec acharnement, reculant lentement face à la supériorité numérique. Il compta lui-même pour plusieurs de l’ennemi, ce travail contribuant largement au sauvetage de la situation. Par ce contrôle sur l’ennemi, le temps était donné pour la préparation de la défense des canons.
Sergent-major de batterie George Harry Fry DCM
Pour bravoure et dévouement remarquables au devoir. Au cours des trois ans et demi qu’il a servi au front, passant par le mérite et la force de caractère du conducteur au sergent-major de batterie, son exemple de sang-froid dans l’action, de zèle infatigable et de dévouement au devoir a établi un niveau élevé pour la batterie, et a été de la plus grande aide à ses officiers.
Sergent Robert Francis Gamble DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Caporal Charles Arthur Gleadle DCM
Pour bravoure et dévouement remarquables au devoir. Le 26 septembre 1918, lors de la prise de Bourlon Wood, alors qu’il était responsable des mortiers de tranchée. Pour mener à bien la tâche qui lui était assignée, il était nécessaire de mettre ses mortiers en action devant notre ligne d’avant-poste. C’est en grande partie grâce à son bon jugement et à son leadership sous un feu nourri que les travaux ont été achevés.
Sergent Darrow Gomez DCM
Le matin du 30 mars 1945 à Emmerich, le sergent K15513 Darrow Gomez était sous-officier à bord d’un canon automoteur Valentine de 17 livres qui faisait partie d’une troupe de la 105e batterie antichar canadienne en soutien aux Royal Winnipeg Rifles. L’ennemi avait contre-attaqué avec détermination la position au cours de la nuit précédente et, avec le jour, on apprit que des canons automoteurs avaient été déployés pour soutenir ces attaques. Ces canons ennemis avaient assumé un rôle des plus agressifs et rendaient rapidement intenable la zone occupée par une compagnie du Royal Winnipeg Rifles. Comme ils étaient déployés sur des hauteurs et à courte portée, tout mouvement de notre infanterie était extrêmement dangereux.
Vers 11 heures, le sergent Gomez a localisé l’emplacement du canon ennemi après avoir effectué une reconnaissance sous le feu des fusils et des mitrailleuses. Le sergent Gomez a ensuite manœuvré son canon Valentine de 17 livres dans une position favorable et a réussi à détruire l’équipement automoteur ennemi. Non content de ce seul succès, le sergent Gomez entreprit immédiatement une autre reconnaissance en compagnie du commandant de la compagnie « D » des Royal Winnipeg Rifles. Après un temps considérable, ils localisèrent la position d’un autre canon automoteur ennemi qui immobilisait toute une compagnie de notre infanterie. Bien que le commandant de la compagnie d’infanterie ait été tué à ses côtés et que le conducteur de son propre équipement ait été grièvement blessé, le sergent Gomez a sans crainte commencé à avancer son arme dans une position appropriée. Bien que son propre canon ait été touché à deux reprises par des tirs d’obus ennemis, ce sous-officier a atteint son objectif et, posant lui-même le canon, a détruit l’équipement automoteur ennemi en un seul coup.
Peu de temps après cet incident, une puissante patrouille de combat ennemie a attaqué la position occupée par le sergent Gomez. Bien que son canon soit clairement exposé à ce groupe d’ennemis et à très courte portée, il n’hésite pas à utiliser la mitrailleuse montée sur son équipement et à tirer sur l’infanterie. L’une des patrouilles ennemies fut tuée, sept furent faites prisonnières et les autres furent contraintes de se retirer.
Tout au long de ces actions, le sergent Gomez a fait preuve d’un leadership magnifique et d’un mépris absolu pour sa propre sécurité personnelle. Il ne fait aucun doute que l’exemple qu’il a donné a permis à notre infanterie, malgré de lourdes pertes, de tenir cette zone vitale face aux contre-attaques ennemies énergiques.
Bombardier Thomas Henry Green DCM
Pour bravoure et dévouement au devoir lorsqu’il agissait comme n° 1 du 1er au 20 octobre 1918, et lorsqu’il était responsable de l’approvisionnement en munitions du 1er au 6 novembre. Il accompagnait invariablement certaines portions de wagons jusqu’aux canons, et était fréquemment sous le feu des obus, notamment sur la route de Mons.
Sergent-major de batterie Wilfred Ernest Henry Hall DCM
Lors des opérations de Cambrai, lors du déplacement de la batterie du bois de Bourlon à Raillencourt dans la nuit du 28 au 29 septembre 1918, il se distingue en guidant les canons sur de nouveaux territoires et en effectuant plusieurs voyages avec des munitions sous un feu nourri.
Sergent-major de batterie Wilfred John Hamshere DCM
Pour galanterie ostentatoire. Lors d’opérations importantes, il s’acquitta de ses fonctions avec bravoure et ressource, et montra en toutes occasions un dévouement marqué au devoir.
Sergent Edward John Harris DCM
Du 17 septembre au 11 novembre 1918, ses services sont du plus haut niveau. Il était continuellement en charge de son équipe de canonniers et maintenait la section dans un état d’efficacité élevé, en particulier dans les derniers jours de l’avance, lorsque sa batterie fut à plusieurs reprises soumise à des mitrailleuses ainsi qu’à des tirs d’artillerie.
Sergent George Harris DCM
Pour un service ostentatoire en France depuis le 15 février 1915, période pendant laquelle il a toujours été aux commandes, sous un feu nourri, et en particulier à Fampaux, le 2 septembre dernier, où il a continué à bombarder des têtes de pont éloignées sous des tirs hostiles .
Sergent Francie (Frank) Joseph Harrison CM
Pour un bon service continu devant Amiens et Arras, à partir du 8 août 1918 et pour un travail exceptionnellement bon dans la collecte et la livraison de munitions pendant les combats autour de Valenciennes. Parfois, il gardait les canons fournis en sauvant les munitions des anciennes positions de canons et devait fréquemment prendre ses détails dans les canons sous le feu des obus.
Sergent Richard Gladman Helme DCM
Pour son dévouement au devoir pendant les opérations du 16 septembre au 11 novembre 1918. Il a commandé sa sous-section tout au long de la période ci-dessus et, à de nombreuses reprises, a inspiré et rallié ses hommes lors de tirs intenses et dans les conditions les plus difficiles.
Sergent-major de batterie Fred Victor Massey Hinman DCM
Pour bravoure et jugement remarquables dans l’après-midi du 9 octobre 1918, alors que la batterie était sous le feu d’un obus nourri près de Raismes. Un coup direct dans un dépôt de cartouches en a enflammé certains, et il a amené ses hommes, au grand risque personnel, à les éteindre. Son exemple cool tout au long du bombardement a maintenu ses hommes stables.
Sergent quartier-maître de batterie Henry Higgins DCM
De janvier 1916 à septembre 1918, pour une efficacité constante et un dévouement au devoir. Avant sa nomination au poste de S.Q.M.B. il a exercé les fonctions de n ° 1 aux canons, et dans toutes les fonctions où il a été employé, il a démontré son efficacité à un degré marqué, et a à tout moment et dans toutes les conditions, donné un bel exemple de courage et dévouement au devoir.
Sergent quartier-maître de batterie Thomas Michael Hyman DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Pendant les trois ans et demi, ce sous-officier. a servi en France, il a fait preuve à de nombreuses reprises d’un grand courage et d’une grande détermination pour approvisionner sa batterie en munitions et en ravitaillement, souvent dans des conditions de grand danger et de grande difficulté. Son mépris du danger et son endurance résolue à la fatigue ont été un bel exemple pour tous les grades du bataillon.
Sergent Morris Horton Irvine DCM
Depuis plus de deux ans, il fait preuve d’un courage et d’une énergie constants. À plusieurs reprises, lorsque la position de la batterie était fortement bombardée, il a gardé les hommes ensemble et, par son sang-froid et son exemple, il a sans aucun doute été le moyen de sauver des pertes.
Artilleur Alfred Wentworth James DCM
Pour sa bravoure et sa capacité remarquables à Poltyje, lorsqu’il a réparé des fils téléphoniques sous un tir nourri d’obus et de fusils, et a continué à le faire après avoir été blessé. Il a montré un bel exemple de dévouement au devoir
Sergent Ralston Alexander Johnston DCM
Il a fait preuve d’un courage et d’une capacité constants en tant que chef de sa sous-section. Au cours de l’attaque du Canal du Nord, lorsque les officiers aux canons ont été blessés, il s’est occupé de panser les blessés et a maintenu tous les canons en action.
Bombardier Hazen Hanford Jones DCM
Lors des opérations de Valenciennes le 30 octobre 1918, sous un feu nourri, il prend son équipe et retire un wagon de munitions endommagé qui bloquait la route. Il a toujours fait preuve du plus grand courage et du plus grand dévouement au devoir à tout moment.
Artilleur John Nealon Jordan DCM
Pour bravoure remarquable près de YEVSIEVSKAYA le 1er mars. Il s’est porté volontaire pour apporter un message au village, après avoir réparé plusieurs fois la ligne téléphonique lorsqu’elle a été coupée par des tirs d’obus. En prenant le message, il a reçu une balle dans les deux jambes; il s’est relevé et a signalé son incapacité à continuer. Il a fait preuve d’un grand courage et d’un sang-froid.
Sergent Charles Dwight Joyce DCM
Sa conduite a toujours été du plus haut niveau, notamment près de Thoune-Lévêque le 13 octobre. La batterie est lourdement bombardée et un obus blesse tous les hommes de son équipage. Il secourut ses blessés, puis, malgré de graves brûlures aux jambes, il revint seul au service de son fusil.
Adjudant 2e Classe James Dean Keay DCM
Pour bravoure et dévouement remarquables à Raismes le soir du 31 octobre 1918, lorsque l’ennemi ouvrit soudain un violent bombardement. Des hommes tombaient blessés tout autour, et après avoir mis le reste à l’abri, il est revenu à leur secours, puis a aidé à éteindre un incendie dans un dépôt de munitions.
Sergent quartier-maître de la batterie Major Hugh Moore Kelly DCM
Pour sa bravoure au combat. Près de S’ancourt, le 30 septembre 1918, alors que la batterie se déplaçait vers des positions soumises à un bombardement ennemi intense, bien que blessé, il s’accrocha à son arme et la mit en action. Lors d’une accalmie dans le feu ennemi, il conduisit les chariots de munitions et se chargea du déchargement des munitions.
Sergent William Leslie Kemp DCM
Pour service vaillant et dévouement au devoir pendant la période du 25 février au 16 septembre 1918, alors que le n° 1 d’un canon avancé à Vimy et Lievin. Du 25 mars au 1er juin, il commandait un canon avancé à Vimy sous des tirs harcelants et destructeurs continus et fit de nombreuses victimes dans son détachement. En raison du bel exemple qu’il a donné, son arme a été maintenue en action en permanence et a effectué un travail très précieux.
Sergent quartier-maître de batterie Hugh Moore Kelly DCM
Pour bravoure marquée en action, près de S’ancourt, le 30 septembre 1918, alors que la batterie se déplaçait vers des positions sous les bombardements ennemis intenses.
Sergent John Laughlin Kenneally DCM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir en tant qu’Act/S.M. à la position du canon. Il a supervisé le déchargement de douze munitions et de cinq wagons GS sous de violents bombardements, les éloignant tous rapidement sauf un, qui a été renversé dans une tranchée. Il a aidé à extraire le cheval et le chariot, et a ainsi envoyé le convoi complet aux lignes de chariot sans faire de victimes.
Sergent Clarence Robert Kincade DCM
Au cours des deux dernières années, il a fait preuve d’un dévouement remarquable au devoir. Par son bel exemple, il a accru et maintenu l’efficacité de son détachement, bien que sous les tirs d’obus à plusieurs reprises, et a dirigé ses hommes avec énergie, jugement et courage.
Bombardier Edward Mark King DCM
Pour un bon travail constant en tant que juge de ligne principal de la batterie. Il a fréquemment réparé des lignes sous un feu nourri à des moments critiques.
Sergent Edward Albert Knight DCM
Dans la nuit du 16 au 17 avril 1945 à Otterloo, lorsque l’ennemi tenta de percer la ville et de rejoindre ses forces principales, ce sous-officier commandait son détachement de canons dans la 60e Batterie. Cette batterie était située à l’arrière des deux autres et, au cours des premières étapes de l’attaque, bien que soumise à des tirs intenses de mortiers et de mitrailleuses, l’ennemi n’était pas réellement sur la position du canon et, par conséquent, elle était en mesure de maintenir un formidable concentration de tirs pour aider les deux autres batteries qui étaient fortement engagées dans la lutte contre l’ennemi.
Alors que les 60 canons de la batterie tiraient encore, l’ennemi atteignit sa position. Au mépris des obus de mortier et des balles de mitrailleuses qui atterrissaient partout dans la position, le sergent Knight, réalisant que son arme devait continuer à tirer, a tiré sur le premier ennemi qui s’approchait de son arme. Puis un deuxième Allemand est apparu et, alors que ce sous-officier tentait de lui faire de même, son arme s’est enrayée. Encore une fois, sans penser aux conséquences personnelles et faisant preuve d’une bravoure et d’un sens du devoir bien au-delà de l’appel normal, le sergent Knight s’est débarrassé du prochain Allemand à mains nues. Pendant ce temps, il continuait à donner des ordres de tir à son canon, qui restait en action tout le temps. Son courage et son sang-froid dans une situation à laquelle les artilleurs sont rarement confrontés ont maintenu son détachement sur le canon et a continué à produire le feu essentiel requis par les autres batteries.
Plus tard, une « alerte char » a été ordonnée lorsque des informations ont été reçues selon lesquelles des chars entraient dans la ville par le nord. Le sergent Knight, toujours avec un mépris total pour les mortiers et les mitrailleuses, a déplacé son arme dans la ville jusqu’à une position où il pouvait couvrir les principaux carrefours, afin de pouvoir engager tous les chars qui pourraient menacer la position de la batterie. Pendant tout l’engagement, la conduite de ce sous-officier a été exceptionnelle. Sa constance et son courage, son sang-froid et son courage, l’exemple qu’il a donné à son détachement et au reste de l’unité ont sans aucun doute maintenu le reste de sa batterie en action jusqu’à ce que l’attaque soit repoussée avec succès.
Sergent James Roy Langford DCM
Pour galanterie remarquable; il a fait preuve d’une grande bravoure et d’un sang-froid dans l’exercice de ses fonctions sous un feu nourri et dans les conditions les plus éprouvantes.
Caporal Antonio Arthur Lanoue DCM
Son sang-froid dans l’action a été un bel exemple pour les hommes de la batterie, et il a fait tout son possible pour maintenir les canons en action. Dans la nuit du 20 août 1918, sous de violents bombardements, il organise une équipe de secours et emmène les blessés en lieu sûr.
Sergent Frederick Robertson Larkin DCM
Au cours des opérations dans les environs du canal du Nord, à partir du 27 septembre 1918, il a la charge d’un canon avant qui a été soumis à d’intenses tirs d’obus. Lors d’un bombardement, la partie inférieure de son arme a été soufflée par un obus à gaz et une partie de l’équipage a été blessée. Il a rallié ses hommes, a remis le canon en action et a continué à tirer le barrage.
Sergent Paul Harold Law DCM MSM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a rendu de bons services continus lorsqu’il était responsable d’un équipage d’artillerie pendant une longue période, et plus tard en tant qu’A/S.M. aux fusils. Il a toujours fait preuve d’un grand courage et d’efficacité et a donné un excellent exemple de dévouement au devoir.
Sergent William Richard Laws DCM MM
Dans la nuit du 7 octobre 1918, juste après la mise en place de la batterie à l’arrière de Saint-Olle, les attelages subissent un violent tir concentré, faisant une trentaine de victimes parmi le personnel. Tous les officiers sauf un sont devenus des victimes. Sous la direction de cet officier, il a fait preuve d’une grande bravoure et a réussi à éloigner les équipes et le personnel restants du lieu du danger.
Sergent-major de batterie Herbert Rexford Lea DCM
Dans la nuit du 27 mars 1918, alors que la position de la batterie à Thelus était lourdement bombardée au gaz et à l’explosif brisant, il s’est rendu, au mépris de sa propre sécurité, dans tous les abris et abris souterrains, ordonnant aux hommes de mettre leurs masques à gaz et les dirigeant vers des abris plus profonds pour plus de sécurité. Il a toujours donné l’exemple à ses subordonnés.
Sergent Robert Murray Little DCM
Lors des opérations de son détachement en position avancée à Cambrai, il dégage ses équipes d’une zone bombardée avec un minimum de pertes. À une autre occasion, lorsque le convoi de munitions a essuyé des tirs d’obus hostiles, il a pris les commandes et livré les munitions aux canons.
Sergent Harold Lowe DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Lorsque l’ennemi a reçu un coup direct sur une fosse à canon et a tué un homme et blessé le reste de l’équipage et mis le feu aux charges, il a traversé le feu nourri avec un autre homme et a réussi à sauver les blessés des flammes. , même si certains étaient inconscients, et de les amener en lieu sûr. Ils sont ensuite revenus et ont éteint le feu, empêchant ainsi une explosion.
Sergent James Norbert Lyons DCM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir à de nombreuses reprises. À une occasion, lorsque son détachement a essuyé des tirs nourris et que plusieurs blessés sont survenus, dont son officier, il a accompli sa tâche avec beaucoup de courage et de ressources, soignant ensuite les blessés et organisant des groupes de civières alors qu’il était encore sous le feu.
Artilleur James Angus MacDonald DCM
Pour bravoure et dévouement remarquables près de Vis-en-Artois. Le 1er septembre, son commandant de section et le n° 1 sont tués et l’un de ses canonniers mortellement blessé. Il a aidé à transporter les hommes mourants et blessés dans un endroit abrité, puis est retourné au pistolet et a continué à le faire fonctionner seul jusqu’à ce qu’une aide lui soit fournie. Bien que considérablement ébranlé, il continua son travail tout l’après-midi sous un feu nourri d’obus.
Sergent Walter MacInnes DCM
Pour galanterie ostentatoire. Le sergent MacInnes était poseur d’armes lors d’un combat intense. Lorsque l’officier et les sous-officiers supérieurs eurent tous été tués ou blessés, il prit le commandement du détachement et, par sa bravoure et sa ressource, sauva sans aucun doute une situation critique. Il a toujours fait preuve d’un grand dévouement au devoir.
Bombardier Percy Wilfred MacNevin DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a rendu le service le plus précieux lors des opérations d’enregistrement alors qu’il se trouvait dans une position exposée, sous un feu nourri.
Batterie Quartier-maître Sergent Samuel Majury DCM MM
Pour sa bravoure et son initiative remarquées lors des opérations du 2 septembre 1918 sur la ligne Drocourt-Queant, alors que sa batterie était en appui rapproché de l’infanterie. Le capitaine de batterie et l’un des commandants de section étant devenus des blessés, ce W.O. s’est chargé de la batterie. Lorsque le feu ennemi est devenu intense, il a amené les équipes de canons et a réussi à déplacer les canons vers une position à 200 mètres à l’arrière.
Sergent-major de batterie Francis Robert Harry Marshall DCM
Il a été l’un des premiers membres de la Force canadienne à débarquer en France et a toujours fait du bon travail. Son dévouement au devoir, sa présence d’esprit, son mépris pour la sécurité personnelle ont toujours été du plus haut niveau. Le 16 août 1918, la batterie est située à Warvillers, près d’Amiene. Les lignes ont subi à deux reprises des tirs d’obus et des bombardements très violents, ce qui a nécessité le déplacement des chevaux vers un lieu de sécurité relative. Grâce à son comportement calme et rapide, il a rapidement dégagé les lignes et a évité des pertes aux hommes et aux chevaux.
Sergent Ambrose McChesney DCM
Le 29 septembre 1918, la batterie est lourdement bombardée près de Raillancourt. L’arme à côté de la sienne a été touchée et un dépôt de munitions à seulement dix mètres a été incendié. Il est resté à son poste et a gardé son arme à feu tout au long du barrage. Encore une fois, la nuit suivante, un matin, il a fait preuve d’un grand sang-froid et de courage sous les bombardements intensifs.
Sergent Alva Robert McCue DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Ce sous-officier a fait preuve à plusieurs reprises d’un grand sang-froid et de courage en manœuvrant son arme sous des tirs d’obus nourris.
Sergent Arthur John McDonald DCM
Le 12 octobre 1918, il transportait des munitions vers une position entre Iway et Hordain. Les routes ont été fortement bombardées et sont devenues bloquées avec des victimes. Avec beaucoup de sang-froid et d’habileté, il extirpa son commandement de la colonne et se fraya un chemin. En tant que sous-officier responsable des lignes de wagons avancés, il a toujours fait du bon travail.
Sergent-major de batterie Angus Kenneth McDonald DCM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir depuis le début de la campagne. Il a toujours fait preuve du plus grand courage et de la plus grande ressource dans l’action, et son bel exemple a toujours inspiré la confiance aux hommes dont il avait la charge. , et contrôler les hommes de ses propres unités et d’autres unités par son exemple et son leadership.
Caporal Gerald Kenneth Darcy McDonald DCM MM
Pour avoir maintenu les communications téléphoniques dans les environs de Grély, près de Posières, entre le 15 et le 24 août 1918, alors que cette zone était constamment bombardée et que l’entretien des lignes était des plus difficiles et des plus dangereux. Il a fait preuve de beaucoup de courage et de dévouement au devoir.
Caporal Roy Harold McDonald DCM
Il a mené son travail sans relâche, toujours aux canons. Son travail sur la Somme, 1916, cote 70, Passchendaele, et Pont de Juoi, près d’Arras, sous de violents bombardements, est particulièrement bon. Il a toujours fait preuve de courage et de dévouement au devoir.
Sergent C G McDougall DCM
Pour sa bravoure remarquable lorsqu’il commandait son arme sous des tirs nourris de fusils et d’obus dans les tranchées de première ligne. À une occasion, le sergent McDougall a fait preuve d’une grande bravoure et d’habileté en prenant son arme en toute sécurité d’une position dangereuse.
Sergent Daniel Reginald McDougall DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Le 21 septembre 1918, alors que la batterie était fortement bombardée, un camion chargé de munitions fut touché par un obus et incendié. Il a rapidement rallié les hommes et a réussi à éteindre le feu. Il réussit à éteindre six tirs différents, sauvant ainsi de nombreuses vies et beaucoup de munitions.
Caporal Arthur Kenneth McIntosh DCM
Le 27 septembre 1918, il était n° 1 de son canon dans une position exposée près de Buissy. Il a fait preuve d’une bravoure personnelle marquée et, sans couverture ni protection, a gardé son arme en action jusqu’à ce qu’il soit blessé, que tout son détachement soit blessé et que son arme soit assommée.
Bombardier George Angus McKay DCM
Son travail sur le front de Cambrai était de belle qualité. À deux occasions distinctes, il a fait preuve d’une bravoure remarquable en aidant à habiller et à évacuer des blessés sous des tirs d’obus et des bombardements intensifs, en particulier le 5 septembre, lorsque sa section a été fortement bombardée, et de nouveau le 4 octobre, lorsqu’il a été bombardé par un avion.
Sergent-major de batterie Neil Elmer McKinnon DCM
Pour un bon travail constant à la fois en tant que n ° 1 et en tant que sergent-major de batterie. Il est toujours joyeux et travailleur, et a fait preuve d’un beau courage.
Bombardier John Markham Goulter McLane DCM
Au cours d’un bombardement aérien nocturne, les lignes de wagons ont été lourdement bombardées, faisant de nombreuses victimes parmi le personnel et les chevaux. Ce conducteur a organisé des équipes de secours et envoyé des ambulances. Pendant plus d’une heure, l’endroit a été bombardé, le travail de sauvetage étant rendu plus dangereux par l’explosion d’une décharge. Son sang-froid et son sens de l’organisation ont inspiré ceux qui étaient à ses côtés et ont sauvé de nombreuses vies.
Sergent-major de batterie Joseph McNamara DCM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir alors qu’il était en charge des bêtes de somme de munitions. À plusieurs reprises, il a dirigé les trains à travers de violents bombardements jusqu’aux canons, et son énergie et sa détermination ont été les moyens de maintenir l’approvisionnement en munitions à des moments critiques. Il a rendu un excellent service.
Caporal Thomas Patrick Melvin DCM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir depuis le début de la campagne. À de nombreuses reprises, il a fait preuve d’un grand courage en prenant des munitions à travers des tirs d’obus nourris, et pendant les opérations, son travail pour maintenir ses canons en action lors de violents bombardements au gaz a été un magnifique exemple pour tous les grades.
Caporal Augustus Ramelfo Mendizabal DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a fait preuve d’un grand courage et de talent tout au long de sa carrière en tant que téléphoniste et juge de lignes.
Bombardier Victor Gordon Mew DCM
De janvier 1916 à septembre 1918, pour une bravoure continue et une efficacité marquée, notamment lors des opérations d’Amiens et d’Arras. Il était à la tête d’un équipage de canonniers de tranchée et pendant la bataille d’Amiens, il a pu mettre son canon en action et, à plusieurs reprises, a assommé les mitrailleuses hostiles. Lors de la bataille d’Arras, le 2 septembre, il passe avec l’infanterie et fait un excellent travail. Bien que blessé, il a continué à tirer sur l’ennemi avec une mitrailleuse capturée jusqu’à épuisement des munitions.
Quartier-maître Sergent Arnel Roderick Milburn DCM
Pour bravoure remarquable le 24 avril 1915, à Wieltje, en ramenant des munitions sous des tirs d’obus nourris. Il a également sauvé un chariot de munitions sous un feu nourri après que le conducteur et les chevaux aient été tués.
Sergent Peter Millar DCM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir, le 20 octobre 1918, à Haynecourt, lorsqu’il transporta des blessés en lieu sûr sous des tirs nourris d’obus au péril de sa vie. Le 26 octobre, lorsque le B.Q.M.S. a été grièvement blessé et coincé par un chariot chargé, il a aidé à le dégager et à le transporter sur 300 mètres à découvert sous une forte concentration de tirs d’artillerie, lui sauvant ainsi la vie.
Sergent Edward Thornton Milne DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sapeur John Williams Milne DCM MM
À la position de la brigade au sud de Boiny dans la nuit du 1er au 2 septembre 1918, il, grâce à son courage et à sa détermination, établit des communications sous des tirs d’obus et des bombardements nourris, et les maintint avec toutes les batteries et la brigade, alors qu’elles étaient nécessaires de toute urgence pour le opérations au petit matin.
Sergent George Moore DCM
Pour bon travail remarquable du 14 septembre au 11 novembre 1918. Le 20 septembre ; au sud d’Haynecourt, un coup direct blesse un homme et déclenche un incendie. Il emmena le blessé en lieu sûr et se chargea efficacement de l’enlèvement des charges et des munitions. De nouveau, le 3 octobre, devant Contimpré, il reprend la charge et éteint les munitions enflammées.
Sergent quartier-maître de la batterie par intérim Hugh Moore DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Sidney William Morgan DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a fait preuve d’un grand courage à plusieurs reprises en tant que coureur et a toujours combattu son mortier de tranchée avec beaucoup de succès.
Caporal Augustus Morrison DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Bombardier Cornelius Anthony Mulvihill DCM
Pour le dévouement près de Parvillers le 14 août. Après une attaque, l’emplacement de la ligne tenue n’était pas connu. Il s’est porté volontaire pour accompagner l’observateur d’infanterie et, en deux heures, ils ont remis un rapport indiquant la ligne de front.
Batterie Quartier-maître Sergent Patrick Jack Murphy DCM
Son sang-froid et sa grande vivacité dans les conditions les plus dangereuses ont à plusieurs reprises grandement contribué à maintenir le moral de sa batterie pendant les opérations. Dans la Somme, du 21 mars au 5 avril 1918, il assure le ravitaillement en munitions de sa batterie sous les plus gros tirs d’obus et de mitrailleuses. Le 8 août 1918, à Beaucourt, son grand sang-froid sous le feu nourri des mitrailleuses eut un grand effet pour stabiliser et encourager les conducteurs de la file des wagons.
Caporal David Murray DCM
Pour bravoure et dévouement remarquables. Alors qu’il était responsable des téléphonistes et des monteurs de lignes de la brigade, il a maintenu les communications téléphoniques entre le quartier général de la brigade et l’infanterie, constamment sous le feu des obus et des fusils. Il a également posé les fils de la brigade et les a entretenus avec beaucoup d’habileté et de bravoure, quel que soit le danger, pendant cinq mois d’action sur différents fronts.
Artilleur William McLachlin Moutarde DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il faisait partie d’un parti OP qui a poursuivi l’attaque. Il a installé sa lampe de signalisation et a envoyé un rapport presque aussitôt que l’objectif a été capturé. Il a continué à envoyer des messages sous un feu nourri, et c’est en grande partie grâce à son travail déterminé et efficace que la communication a été maintenue tout au long des opérations.
Sergent James Myles DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Berkley Nelson DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Au cours de la période sous revue, ce sous-officier. a fait preuve d’un grand courage et d’un grand dévouement au devoir à de nombreuses reprises, en particulier lorsqu’au cours d’une offensive, il a livré plusieurs centaines de cartouches à travers une zone balayée par un intense tir d’obus ennemi aux batteries de la ligne. La route de planches étant devenue impraticable à cause du feu concentré, et il était impératif que les munitions atteignent les batteries, il ne relâcha jamais ses efforts, faisant preuve d’une grande bravoure et d’un excellent jugement, jusqu’à ce qu’il réussisse à réparer la route et à livrer les munitions aux canons.
Artilleur David Gilmour Nesbitt DCM
Le 4 novembre 1918, à S’aulve, alors que les wagons de munitions déchargeaient aux positions de la batterie, un feu d’obus très nourri fut ouvert sur la batterie. Il a pris en charge le déchargement de ces wagons et, en raison de son sang-froid et de ses directives, toutes les munitions ont été déchargées et les wagons ont été débarrassés de leur position avec de légères pertes.
Caporal Harvey Noble DCM MM
A Inchy-en-Artois, le 27 septembre 1918, alors que l’avancée de l’infanterie est freinée par un poste de mitrailleuse ennemi, il parvient, dans des conditions éprouvantes et au mépris total de sa sécurité personnelle, à mettre son canon en action, détruire le poste de mitrailleuse, capturer les mitrailleuses et permettre à l’infanterie de poursuivre sa progression. Il a fait preuve des plus hautes qualités de leadership et de la plus grande habileté à manier le mortier de tranchée.
Conducteur Byron Andrew Northam DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Son équipe d’armes à feu a essuyé des tirs d’obus nourris sur une route encombrée par la circulation, et de nombreuses victimes ont été causées aux hommes et aux chevaux. Il resta à son poste et mit seul le fusil en action avec le plus grand courage et la plus grande détermination.
Caporal Oluf Christian Olsen DCM
Pour sa grande bravoure et ses ressources du 22 avril au 4 mai 1915, dans la réparation de fils téléphoniques sous un feu d’obus nourri. Aussi pour avoir agi comme éclaireur et obtenu des informations précieuses le 2 mai 1915, lorsque tous les fils avaient été coupés.
Sergent-major de batterie Frederick Augustus Palmer DCM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir lors d’opérations récentes. Il gère avec la plus grande efficacité l’organisation du ravitaillement en munitions et la discipline des hommes aux lignes de wagons. Son travail aux postes de tir était tout aussi bon.
Artilleur Richard Leslie Talbot Parker DCM
Pour le dévouement au devoir près de Cambrai le 28 septembre 1918. Il a repris le poste d’observation avancé et a continué de la manière la plus efficace jusqu’à ce qu’un officier soit en mesure d’avancer et de prendre en charge les fonctions.
Bombardier Percy Everett Parlee DCM
Pour son grand courage et son dévouement au devoir dans la nuit du 17 au 18 août 1917. De violents bombardements ennemis ont brisé deux des lignes du poste d’observation. Il s’est porté volontaire comme juge de ligne et, bien que légèrement blessé, a poussé et a localisé les ruptures à environ un demi-mille de la batterie et les a réparées. Ce faisant, il a de nouveau été blessé, cette fois grièvement.
Sergent George Richard William Parry DCM
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir lors d’un bombardement intense. Un coup direct sur l’emplacement du canon blesse ou étourdit les hommes du détachement et met le feu aux munitions stockées autour du canon. Le sergent Parry s’est précipité dans la fosse en feu, a aidé à faire sortir les blessés et est revenu pour maîtriser le feu. Grâce à son sang-froid et à son courage, les blessés ont été secourus et l’explosion des munitions et la destruction éventuelle de l’arme ont été évitées.
Conducteur Henry Lloyd Patterson DCM
Le 27 septembre, à Inchy, cette batterie prit position dans une ligne d’avant-poste ; seuls trois canons ont pu être dégagés et mis en position, le reste étant bloqué dans le chemin creux. Observant une chance de nettoyer les canons restants, il en profita et réussit à les mettre en position sans faire de victime.
Sergent Thomas Israel Patterson DCM
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir lorsqu’il agit en tant que sergent-major de batterie. La batterie a été presque continuellement sous le feu des obus nuit et jour pendant trois jours, et de lourdes pertes se sont produites. Lorsqu’une route a dû être construite pendant cette période pour déplacer les canons, il a fait trois tentatives de ce travail avec un groupe, mais à chaque fois, ils ont essuyé un feu intense. Il a fait un travail magnifique en rassemblant et en pansant les blessés et en ralliant les hommes à leur travail. Son bel exemple de sang-froid et de détermination a beaucoup contribué à maintenir le moral de ses hommes.
Caporal Oscar Patteson DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent John Paul DCM MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a gardé son arme en action sous un feu nourri lorsque trois de ses hommes sont devenus des victimes.
Artilleur Peter Lancelot Pearce DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Artilleur Arthur Pearson DCM (alias Artilleur Arthur Smith)
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Lors d’un bombardement ennemi à coups d’obus lourds, neuf hommes ont été enterrés dans une pirogue. Il se porta aussitôt à leur secours, et après avoir travaillé pendant deux heures, il fut presque submergé par les fumées. Il se remit au travail avec de l’aide, secourut quatre autres hommes et les aida à se rendre au poste de secours. Pendant tout le temps où il travaillait, les bombardements se sont poursuivis et il risquait également d’être enterré vivant, car tous les supports de l’entrée creusée étaient desserrés ou brisés et le toit menaçait de s’effondrer. Tout au long, il a fait preuve d’un sang-froid et d’un mépris du danger absolus et a sans aucun doute sauvé la vie de cinq hommes.
Sergent-major de batterie John Henry Pengriff DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. À plusieurs reprises, il a dirigé des équipes de transport de munitions vers la ligne de front sous un feu très nourri. Il a fait preuve de beaucoup de courage et de détermination tout au long des opérations.
Caporal Clarence Earl Penrod DCM
Pour sa bravoure remarquable et son dévouement au devoir depuis le début de la campagne dans la pose et l’entretien des lignes téléphoniques, souvent sous un feu nourri.
Sergent Archibald McLellan Potter DCM
Sa conduite, son exemple et son dévouement indéfectible au devoir ont toujours été d’une grande valeur et d’une grande aide, et particulièrement pour maintenir les canons en action sous les tirs d’obus.
Bombardier George Quilter DCM
Pour sa bravoure remarquable et son bon travail, d’abord en tant que téléphoniste, puis en transmettant des messages sous des tirs nourris d’obus et de fusils.
Sergent quartier-maître de batterie John Frederick Reed DCM
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir lors du convoyage de munitions et de rations vers des postes de tir. Lorsqu’un obus tombe au milieu de son convoi tuant deux hommes et en blessant d’autres, son bel exemple de sang-froid rassure ses hommes et prévient toute confusion. Les blessés sont envoyés au poste de secours le plus proche et le convoi se dirige vers la position de la batterie.
Sergent-major de batterie William Baldwin Rimmer DCM
Pour un dévouement remarquable au devoir. Il a toujours fait du bon travail et a toujours donné un exemple splendide.
Caporal Arthur Brown Ritchie DCM
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir les 22 et 23 avril 1915, à Ypres. Au cours d’une retraite, il est retourné sous un feu nourri d’obus pour libérer les hommes et les chevaux d’un chariot en panne. Plus tard, il a transporté un blessé hors de la ligne de tir sous un feu nourri.
Sergent Michael Ross DCM
Au cours de la période du 11 septembre au 31 décembre 1918, il a effectué un travail très courageux et réussi au grand risque personnel dans le maintien des communications, lors d’une contre-attaque à Aubigny-au-Bas, le 15 octobre 1918. En tant que sergent responsable de signalisation de cette batterie, il a fait du bon travail à de nombreuses reprises.
Bombardier Basil Everd Rouse DCM
Dans la nuit du 5 au 6 septembre 1918, il était à la tête d’un chariot transportant des munitions, lorsque l’ennemi fit un feu nourri sur cette zone. Grâce à son sang-froid et à sa direction prudente, le chariot et les chevaux ont pu s’enfuir sans faire de victimes au personnel ou à l’équipement.
Caporal Stanley Charles Routh DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a fait preuve de beaucoup de courage et de détermination tout au long du combat, en posant et en réparant des fils téléphoniques sous le feu.
Sergent Harry Fredrick Rowland DCM
Pour sa bravoure et son dévouement, le 4 novembre 1918, près d’Onnaing, alors que l’approche du poste d’observation était lourdement bombardée, il a travaillé sans relâche sur la ligne et a permis au commandant de batterie de rester en contact avec la batterie, bien que deux hommes qui étaient avec lui aient été blessés.
Sergent-major de batterie Robert Holden Rowley DCM
Pour bravoure et dévouement au devoir dans les opérations du 8 août au 7 novembre 1918. A Boiry, le 2 septembre, il a apporté des munitions à travers des tirs d’obus nourris. De nouveau à Saudamont, le 8 septembre, et à Bourlon, le 29 septembre, alors que la batterie était bombardée, il se précipita au secours des blessés.
Sergent Harry Russell DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Edward James Ryan DCM
Pendant l’absence temporaire du commandant de section, ce sous-officier. appris que des troupes voisines étaient retenues par un nid de mitrailleuses dans une haie. Il a immédiatement porté le feu de la section sur ce point à bout portant. Neutralisant ainsi les mitrailleuses et permettant à l’avance de se poursuivre. Ce sous-officier a montré le plus grand sang-froid tout au long de donner un exemple splendide aux hommes.
Bombardier James Rycroft DCM MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Harry St Lawrence DCM
Il est venu en France en 1915 et a fait preuve d’un courage et d’une capacité constants. Près de Gaurelle, il a construit une position de canon antichar, travaillant chaque nuit pendant près de deux semaines. Bien que blessé, il s’en est tenu à son travail et n’est allé à l’hôpital que lorsque la tâche a été accomplie.
Sergent d’état-major HL Scott DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Ernest Gilbert Scovil DCM
Pour un dévouement marqué au devoir dans la préparation de positions avancées dans des endroits exposés et dans la mise en action rapide des canons, bien que sous le feu des obus à plusieurs reprises pendant les opérations.
Caporal Robert Lloyd Seaman DCM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables. Il était responsable des signaleurs de l’avant et avançait avec l’infanterie engagée dans l’attaque de KODISH, le 30 décembre. Il était responsable de la communication avec la ligne de front et le quartier général de la compagnie, et à plusieurs reprises il s’avança devant l’infanterie sous un feu nourri pour établir sa ligne. C’est grâce à son infatigable énergie et à son splendide exemple que la communication fut maintenue. Tout au long de l’opération, il se comporta admirablement.
Sergent par intérim Raymond Franklin Sharpe DCM
Pour sa bravoure et son dévouement au devoir en se portant volontaire à trois reprises pour traverser un feu nourri à la recherche des hommes blessés d’une autre batterie. Son sang-froid et sa bravoure étaient remarquables.
Sergent George Wood Sinnis DCM MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a rendu de précieux services en maintenant les communications sous un feu nourri et a donné un bel exemple tout au long.
Artilleur Arthur Smith DCM (alias Artilleur Arthur Pearson)
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Lors d’un bombardement ennemi à coups d’obus lourds, neuf hommes ont été enterrés dans une pirogue. Il se porta aussitôt à leur secours, et après avoir travaillé pendant deux heures, il fut presque submergé par les fumées. Il se remit au travail avec de l’aide, secourut quatre autres hommes et les aida à se rendre au poste de secours. Pendant tout le temps où il travaillait, les bombardements se sont poursuivis et il risquait également d’être enterré vivant, car tous les supports de l’entrée creusée étaient desserrés ou brisés et le toit menaçait de s’effondrer. Tout au long, il a fait preuve d’un sang-froid et d’un mépris du danger absolus et a sans aucun doute sauvé la vie de cinq hommes.
Sergent-major de batterie H Smith DCM
Sergent quartier-maître de batterie William Snell DCM
Pour sa bravoure et sa détermination remarquables lors d’opérations près de la ligne Drocourt-Queant le 2 septembre 1918. Le sergent et l’équipage d’un détachement étant devenus des victimes, cet adjudant a sorti les blessés sous un feu nourri et a gardé ses armes en action jusqu’à ce qu’une équipe de secours soit réunis. Plus tard, il a amené les canons avec le plus de succès dans une nouvelle position sous des tirs d’obus nourris.
Sergent Frederick Albert Southcott DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent James Spence DCM
Il s’est toujours acquitté de ses fonctions avec beaucoup de bravoure et de dévouement. Son sang-froid sous les tirs d’obus a été à maintes reprises le moyen d’épargner des pertes au personnel, aux animaux et au matériel.
Sergent James Clark Stackhouse DCM
Pour galanterie ostentatoire. Alors qu’un obus venait d’être percuté, il a entendu un bruit et s’est rendu compte que la mèche s’était enflammée. Il a immédiatement arrêté la mise en place de la cartouche, a ordonné à l’équipe de tir de se mettre à l’abri, a appuyé sur le pistolet le plus rapidement possible et l’explosion s’est déroulée sans danger. Sa rapidité et son courage ont sauvé de nombreuses victimes.
Sergent-major de batterie Percy Howard Stanley DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent-major de batterie Ernest Ellmore Stevenson DCM
Pour le dévouement au devoir. A maintes reprises, depuis le 16 septembre jusqu’à la cessation des hostilités, il a réussi à faire accomplir des travaux très difficiles et dangereux qui se sont avérés de la plus grande valeur.
Artilleur Stanley Stickland DCM MM
Pour sa bravoure remarquable en tant que monteur de lignes téléphoniques de batterie. Pendant les opérations, il était constamment sous le feu des obus et des fusils, patrouillant et réparant les lignes de batterie, jusqu’à ce qu’il soit finalement blessé par des éclats d’obus alors qu’il était en service comme téléphoniste dans une tranchée d’infanterie avancée.
Sergent-major de batterie Patrick Studdert DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Lorne Bryson Taylor DCM
Pour bravoure remarquable et dévouement au devoir à plusieurs reprises depuis le 25 février 1918, en particulier le 29 août 1918. Il était responsable d’un canon d’une section anti-aérienne qui a été lourdement bombardée par des canons de gros calibre, les deux canons ont été fixés en feu et incapable de bouger, et malgré les tirs nourris et les éclats d’obus dans les râteliers à munitions, il a procédé à l’extinction du feu en lançant des pelletées de sable sur les râteliers. Sa conduite galante était principalement responsable de sauver les canons de la destruction.
Sergent-major de batterie Percy Thorne DCM MM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent d’état-major Robert Todd DCM
Du 27 septembre au 6 novembre 1918, il a fait un excellent travail dans les opérations près de Cambrai, Drury et Valenciennes. À de nombreuses reprises, il a visité des batteries et traversé des zones fortement bombardées. Le petit nombre d’armes hors de combat à un moment donné était dû à son dévouement sans faille au devoir.
Adjudant 2e classe Thomas Tomkinson DCM
A Kodema, le 15 décembre 1918, tous les sergents de la batterie étant chargés d’autres canons sur d’autres fronts, il a agi en tant que n° 1 du canon employé dans cette opération avec un grand succès et un courage marqué à une distance de 800 yards sous le feu nourri des fusils et des mitrailleuses.
Sergent Ernest Turnbull DCM
Pour un dévouement remarquable au devoir. Il a toujours fait du bon travail et a toujours donné un exemple splendide.
Sergent-major de batterie John Turton DCM
Il est avec sa batterie depuis juin 1915. Pendant la bataille de Passchendaele, son arme a été touchée et plusieurs membres de l’équipage ont été blessés et des munitions ont été incendiées. Il se mit immédiatement au travail pour retirer et panser les blessés et éteindre les munitions enflammées. Bien que blessé, il a continué sous les lourds bombardements ennemis, faisant preuve d’un grand courage et d’un sang-froid.
Sergent-major de batterie Frederick Moore Vagg DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a toujours fait du bon travail et a toujours donné un exemple splendide aux hommes.
Bombardier John Matthew Varey DCM
Pour grande bravoure et dévouement au devoir, notamment le 30 septembre 1918, devant Mouchy. Il a fait une reconnaissance de jour très difficile sous un feu nourri, puis est retourné à la batterie, a obtenu du fil et de l’aide, et a posé du fil au-dessus de la reconnaissance jusqu’au poste d’observation.
Sergent James Ward DCM
Pour bravoure remarquée pendant les opérations. Lorsque la colonne de munitions de la brigade a été chassée de deux positions successives par des tirs nourris d’obus et de fusils, le sergent Ward a maintenu la communication avec l’officier commandant la brigade et ses rapports ont été très précieux. Il a livré des fournitures de munitions directement à l’infanterie dans les tranchées, bien que son cheval ait été abattu sous lui.
Sergent-major de batterie Frank Wardell DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Alors que la position de la batterie était sous des tirs d’obus nourris, il a déterré et extrait quatre hommes qui avaient été emprisonnés dans un abri, puis a procédé à l’extinction de certaines charges enflammées dans l’une des fosses à canons à de grands risques personnels. Lors d’une précédente occasion, alors qu’il était responsable d’attelages et de chariots sous un lourd bombardement de gaz, il a fait preuve d’un grand sang-froid et d’une grande galanterie pour les éloigner, restant lui-même pour évacuer les blessés. Il a de tout temps donné un magnifique exemple aux hommes de sa batterie.
Sergent quartier-maître de batterie John Arthur Ware DCM
Pour sa bravoure et son dévouement remarquables à de nombreuses reprises sous un feu nourri d’obus. Son courage indéfectible, son énergie et sa bonne humeur ont grandement contribué à inspirer tous les membres de son rang.
Bombardier Guy Edward Wells DCM MM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. Il a fait preuve d’une grande bravoure tout au long de la journée et a été en grande partie responsable de repousser une contre-attaque ennemie.
Sergent Arthur Westlake DCM
Pour la galanterie remarquable et le dévouement au devoir. À une occasion, lorsqu’il était chargé des travaux nécessaires pour rendre la route de planches à l’arrière de sa batterie pratique pour déplacer les canons, il a montré la plus grande énergie et le plus grand dévouement au devoir pour surmonter les difficultés des conditions météorologiques et de la boue, et son courage froid sous les tirs d’obus lourds de l’ennemi étaient visibles. Au cours de la période considérée, ces qualités ont été très marquées dans la conduite de ce sous-officier. en tout temps, et son exemple a été d’une grande valeur pour sa batterie.
Sergent-major de batterie Creswick Claude Whebell DCM
Il a fait preuve d’un courage et d’une ingéniosité constants lors des bombardements et des tirs d’obus, notamment à La Folies, Vis-en-Artois et au bois de Feounlon. Le 30 août 1918 à Arras, alors que les hommes et les chevaux de sa section étaient tués et blessés par des tirs d’obus, il a fait preuve d’une grande initiative en déplaçant la section et a sans doute sauvé plusieurs victimes.
Caporal Frederick Ernest Wheeler DCM
Pour une bravoure remarquable en action. Il a fait un excellent travail dans la première phase de l’attaque. Il rassembla un certain nombre de chauffeurs autour de lui et recula lentement à travers la ville, infligeant des pertes à l’ennemi et lui-même en comptabilisant six. Ce premier échec à l’ennemi a beaucoup contribué à sauver la situation. Plus tard, il a emmené une fête à la plage et a ramené des munitions pour armes légères bien que fortement tirées tout le long du chemin.
Artilleur William Russel White DCM
Le 26 octobre 1918, en tant qu’éclaireur de la section mobile de sa batterie, il effectue des reconnaissances audacieuses devant Arras et permet à son commandant de section d’engager efficacement les appareils et 77 mm ennemis. canon qui freinait l’avance. Le 3 septembre, lorsque l’officier commandant sa batterie a été grièvement blessé, il a traversé un barrage intense et a sécurisé une civière et l’a transporté en lieu sûr. Son courage et son dévouement au devoir ont été remarquables tout au long des opérations.
Sergent-major de batterie Richard Wildgoose DCM
Pour sa bravoure remarquée, notamment lors de trois opérations importantes, il s’acquitta de ses fonctions avec bravoure et ressource et ferra preuve d’un dévouement marqué au devoir en toutes occasions.
Artilleur Harry Edward Wilkinson DCM
Pour conduite galante et dévouement au devoir particulièrement les 8 et 9 mai 1915, près d’Ypres. Agissant comme téléphoniste, il a maintenu la communication avec le quartier général de la brigade et de l’infanterie sous un feu très nourri d’obus et de fusils, et a fait preuve de beaucoup de courage et de ressources.
Artilleur Alexander Wilson DCM
Au cours de ses deux ans et demi de service dans la ligne, il a constamment fait preuve d’une grande bravoure et d’un dévouement au devoir. À deux reprises, alors qu’il était responsable de la charrette à eau, il l’amena en position de batterie sous un feu d’artillerie très nourri. À une occasion, ses deux chevaux ont été grièvement blessés.
Sergent Arthur Cecil Wimberley DCM
Les circonstances de cette médaille restent à découvrir.
Sergent Claude Drone Winegard DCM
Pour bravoure remarquable et bon travail. Le 1er mars 1919, à Vistafka, de violents tirs d’obus ennemis provoquèrent un incendie dans les cantonnements, les écuries et le dépôt de munitions. Il rassembla les conducteurs et les artilleurs de réserve et sauva tous les chevaux et une quantité considérable de munitions. Le 3 mars, à Vistafka, alors que l’ennemi avait encerclé la position, il forma avec deux autres hommes une patrouille et, rampant jusqu’à 50 mètres de l’avant-poste ennemi, il le força à se retirer sous le feu des mitrailleuses. Cet exploit lui a permis d’obtenir des renseignements très précieux.
Caporal Thomas Yardley DCM
Du 17 septembre au 11 novembre 1918, il fait preuve d’un excellent jugement et d’un sens aigu du devoir. À plusieurs reprises, il a conduit des wagons de munitions à travers de lourds barrages ennemis, et c’est principalement grâce à son courage et à sa bonne gestion que des pertes ont été évitées.
Caporal Joseph William Young DCM
Pour bravoure constante et bon travail à partir de mai 1916. Il a participé à toutes les opérations depuis mai 1916 et, au cours des dix-huit derniers mois, il a été le numéro 1 d’un équipage de canons. Dans les opérations d’Amiens, de Drocourt-Queant et de Cambrai, il dirigeait l’un des équipages de volontaires qui accompagnait l’infanterie et manœuvrait les canons capturés.